Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
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... est plus terni de larmes , Vous ne les tournez plus vers ces heureux Climats Où ce brave François devoit guider nos pas ; Vous ne me parlez plus des ces belles contrées Où d'an Peuple polir les femmes adorées , Reçoivent cet encens que ...
... est plus terni de larmes , Vous ne les tournez plus vers ces heureux Climats Où ce brave François devoit guider nos pas ; Vous ne me parlez plus des ces belles contrées Où d'an Peuple polir les femmes adorées , Reçoivent cet encens que ...
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... est - il A ft - il point en fecret de frein qui vous retienne ! 2001 200 Ne vous fouvient - il plus que vous fûtes Chrétienne ? ZAYRE b sc Ah ! que dis - tu ? pourquoi rapeler mes enmuis ? Chere Fatime , hélas ! fçai - je ce que je suis ...
... est - il A ft - il point en fecret de frein qui vous retienne ! 2001 200 Ne vous fouvient - il plus que vous fûtes Chrétienne ? ZAYRE b sc Ah ! que dis - tu ? pourquoi rapeler mes enmuis ? Chere Fatime , hélas ! fçai - je ce que je suis ...
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... est - elle demeurée Comme un gage fecret de la fidélité , Que vous deviez au Dieu que vous avez quitté . ZAYRE . Je n'ai point d'autre preuve , & mon cœur qui s'i- gnore , IT Peut - il fuivre une foi que mon Amant abhorre ? La Coutume ...
... est - elle demeurée Comme un gage fecret de la fidélité , Que vous deviez au Dieu que vous avez quitté . ZAYRE . Je n'ai point d'autre preuve , & mon cœur qui s'i- gnore , IT Peut - il fuivre une foi que mon Amant abhorre ? La Coutume ...
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... est épris , Je viens vous époufer , mais c'eft à ce feul prix , Er du noeud de l'hymen l'étreinte dangereuse , Me rend infortuné s'il ne vous rend heureuse . ZAYR E. Vous , Seigneur , malheureux ! Ah ! fi votre grand cœur A fur mes ...
... est épris , Je viens vous époufer , mais c'eft à ce feul prix , Er du noeud de l'hymen l'étreinte dangereuse , Me rend infortuné s'il ne vous rend heureuse . ZAYR E. Vous , Seigneur , malheureux ! Ah ! fi votre grand cœur A fur mes ...
Página 15
... est à toi d'y souscrire , Je te fais aporter la rançon de Zaïre , Et celle de Fatime , & de dix Chevaliers , Dans les murs de Solime illuftres prifonniers . Leur liberté par moi trop long - tems retardée , Quand je reparoîtrois leur dût ...
... est à toi d'y souscrire , Je te fais aporter la rançon de Zaïre , Et celle de Fatime , & de dix Chevaliers , Dans les murs de Solime illuftres prifonniers . Leur liberté par moi trop long - tems retardée , Quand je reparoîtrois leur dût ...
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Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!