Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 15
Página 23
... filles & nos femmes Aux pieds de nos Autels expirans dans les flâmes Et notre dernier Roi courbé du faix des ans Maffacré fans pitié fur fes fils expirans ! Lufignan , le dernier de cette augufte race , Dans ces momens affreux ranimant ...
... filles & nos femmes Aux pieds de nos Autels expirans dans les flâmes Et notre dernier Roi courbé du faix des ans Maffacré fans pitié fur fes fils expirans ! Lufignan , le dernier de cette augufte race , Dans ces momens affreux ranimant ...
Página 32
... fille , trois fils , ma fuperbe espérance , Me furent arrachés dès leur plus tendre enfance ; O mon cher Châtillon , tu dois t'en fouvenir . Ne peut CHATILLON . De vos malheurs encor vous me voïez frémir . LUSIG NAN . Prifonnier avec ...
... fille , trois fils , ma fuperbe espérance , Me furent arrachés dès leur plus tendre enfance ; O mon cher Châtillon , tu dois t'en fouvenir . Ne peut CHATILLON . De vos malheurs encor vous me voïez frémir . LUSIG NAN . Prifonnier avec ...
Página 33
... fille à peine en fon berceau Ne pouvant la fauver , Seigneur , j'allois moi - même Répandre fur fon front l'eau fainte du Baptême , Lorsque les Sarrazins de carnage fumans Revinrent l'arracher à mes bras tout sanglans : Votre plus jeune ...
... fille à peine en fon berceau Ne pouvant la fauver , Seigneur , j'allois moi - même Répandre fur fon front l'eau fainte du Baptême , Lorsque les Sarrazins de carnage fumans Revinrent l'arracher à mes bras tout sanglans : Votre plus jeune ...
Página 35
... fille mon chef fils ! embraffez votre pere . CHATILLON . Que d'un bonheur fi grand mon coeur fe fent toucher ! } LUSIGNAN . De vos bras , mes enfans , je ne puis m'arracher ? Je vous tevois enfin , chere & trifte famille , C 2 TRAGEDIE ...
... fille mon chef fils ! embraffez votre pere . CHATILLON . Que d'un bonheur fi grand mon coeur fe fent toucher ! } LUSIGNAN . De vos bras , mes enfans , je ne puis m'arracher ? Je vous tevois enfin , chere & trifte famille , C 2 TRAGEDIE ...
Página 36
... fille ! ་ J Diffipez mes foupçons ; ôtez - moi cette horreur , Ce trouble qui m'accable au comble du bonheur . Toi qui feule as conduit fa fortune & la mienne , Mon Dieu qui me la rends , me la rends - tu Chrétienne ? Tu pleures ...
... fille ! ་ J Diffipez mes foupçons ; ôtez - moi cette horreur , Ce trouble qui m'accable au comble du bonheur . Toi qui feule as conduit fa fortune & la mienne , Mon Dieu qui me la rends , me la rends - tu Chrétienne ? Tu pleures ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!