Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
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... qu'en nous foutient la modestie , Dans mon coeur à ce point ne s'eft pas démentie . Plutôt que jufques là j'abaiffe mon orgueil Je verrois fans pâlir les fers & le cercueil , T Je m'en vais t'étonner , fon fuperbe courage A mes 6 ZAYRE ,
... qu'en nous foutient la modestie , Dans mon coeur à ce point ne s'eft pas démentie . Plutôt que jufques là j'abaiffe mon orgueil Je verrois fans pâlir les fers & le cercueil , T Je m'en vais t'étonner , fon fuperbe courage A mes 6 ZAYRE ,
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... fon fuperbe courage A mes foibles apas prefente un pur hommage Parmi tous ces objets à lui plaire emprellés J'ai fixe les regards à moi feule adreffés Et l'hymen confondant leurs intrigues fatales , Me foumettta bien - tôt fon cœur ...
... fon fuperbe courage A mes foibles apas prefente un pur hommage Parmi tous ces objets à lui plaire emprellés J'ai fixe les regards à moi feule adreffés Et l'hymen confondant leurs intrigues fatales , Me foumettta bien - tôt fon cœur ...
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... coeur furpris de refpect & d'effroi ; J'ofois l'invoquer même avant qu'en ma pensée , D'Orofmane en fecret l'image fut ... fon cœur ! De toute ma foibleffe il faut que je convienne : Peut être que fans lui j'aurois été Chrétienne , Peut ...
... coeur furpris de refpect & d'effroi ; J'ofois l'invoquer même avant qu'en ma pensée , D'Orofmane en fecret l'image fut ... fon cœur ! De toute ma foibleffe il faut que je convienne : Peut être que fans lui j'aurois été Chrétienne , Peut ...
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... cœur aime Orofmane , & non fon Diadême , Chere Fatime , en lui je n'aime que lui - même . Peut - être j'en crois trop un penchant fi flateur ; Mais fi le Ciel fur lui déployant fa rigueur , Au fers que j'ai portés eut condamné la vie ...
... cœur aime Orofmane , & non fon Diadême , Chere Fatime , en lui je n'aime que lui - même . Peut - être j'en crois trop un penchant fi flateur ; Mais fi le Ciel fur lui déployant fa rigueur , Au fers que j'ai portés eut condamné la vie ...
Página 13
... cœur A fur mes fentimens pu fonder fon bonheur , S'il dépend en effet de mes flâmes fecrettes , Quel mortel fut jamais plus heureux que vous l'êtes Ces noms chers & facrés , & d'Amant & d'Epoux , Ces noms nous font communs , & j'ai ...
... cœur A fur mes fentimens pu fonder fon bonheur , S'il dépend en effet de mes flâmes fecrettes , Quel mortel fut jamais plus heureux que vous l'êtes Ces noms chers & facrés , & d'Amant & d'Epoux , Ces noms nous font communs , & j'ai ...
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Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!