Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
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... mort affervit le Jourdain , 10 Et moi foible héritier de la grandeur nouvelle , Maître encore incertain d'un Etat qui chancelle , Je vois ces fiers Chrétiens , de rapine altetés , Des bords de l'Occident vers nos bords attirés ; Er ...
... mort affervit le Jourdain , 10 Et moi foible héritier de la grandeur nouvelle , Maître encore incertain d'un Etat qui chancelle , Je vois ces fiers Chrétiens , de rapine altetés , Des bords de l'Occident vers nos bords attirés ; Er ...
Página 23
... morts entaffés , Terrible , & d'une main reprenant cette épée , Dans le fang infidéle à tout moment trempée , Et de l'autre à nos yeux montrant avec fierté De notre fainte foi le figne redouté , 2 : Criant à haute voix François , foïez ...
... morts entaffés , Terrible , & d'une main reprenant cette épée , Dans le fang infidéle à tout moment trempée , Et de l'autre à nos yeux montrant avec fierté De notre fainte foi le figne redouté , 2 : Criant à haute voix François , foïez ...
Página 34
... mort fur cette Croix , & qui revit pour nous , Parle , acheve , & mon Dieu ! ce font - là de tes coups Quoi ! Madame , en vos mains elle étoit demeurée ? Quoi ! tous les deux Captifs , & pris dans Césarée ? ZAYRE . Oui , Seigneur . NE ...
... mort fur cette Croix , & qui revit pour nous , Parle , acheve , & mon Dieu ! ce font - là de tes coups Quoi ! Madame , en vos mains elle étoit demeurée ? Quoi ! tous les deux Captifs , & pris dans Césarée ? ZAYRE . Oui , Seigneur . NE ...
Página 37
... mort en ces lieux mêmes , En ces lieux où mon bras le fervit tant de fois , En ces lieux où fon fang te parle par ma voix . Voi ces murs , voi ce temple envahi par tes Maitres , Tout annonce le Dieu qu'ont vangé tes Ancêtres : Tourne ...
... mort en ces lieux mêmes , En ces lieux où mon bras le fervit tant de fois , En ces lieux où fon fang te parle par ma voix . Voi ces murs , voi ce temple envahi par tes Maitres , Tout annonce le Dieu qu'ont vangé tes Ancêtres : Tourne ...
Página 45
... fermens , & que l'eau du Baptême , Ne vous aporte point la mort & l'anatême ; Obtenez qu'avec lui je puiffe revenir ; Mais à quel titre , ô Ciel ! faut - il donc l'obtenir A qui le demander dans ce Sérail profane ? .... TRAGEDIË 45.
... fermens , & que l'eau du Baptême , Ne vous aporte point la mort & l'anatême ; Obtenez qu'avec lui je puiffe revenir ; Mais à quel titre , ô Ciel ! faut - il donc l'obtenir A qui le demander dans ce Sérail profane ? .... TRAGEDIË 45.
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Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!