Zayre, tragedie: Representée a Paris aux mois d'aoust, novembre & decembre 1732, Volumen3Chez Jore Pere & Fils, 1733 - 95 páginas |
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... de fes aîles La vertu du Très - Haut qui nous fauve aujourd'hui , Aplanifoit la route , & marchoit devant lui , Et des triftes Chrétiens la foule délivrée , Vint porter B 4 TRAGEDIE . 23 Quel indigne foldat voudroit briser sa chaine, ...
... de fes aîles La vertu du Très - Haut qui nous fauve aujourd'hui , Aplanifoit la route , & marchoit devant lui , Et des triftes Chrétiens la foule délivrée , Vint porter B 4 TRAGEDIE . 23 Quel indigne foldat voudroit briser sa chaine, ...
Página 24
... porter avec nous fes pas dans Cefarée , Là , par nos Chevaliers d'une commune voix Lufignan fut choisi pour nous donner des loix . O mon cher Nérestan ! Dieu qui nous humilie , N'a pas voulu fans doute , en cette courte vie , Nous ...
... porter avec nous fes pas dans Cefarée , Là , par nos Chevaliers d'une commune voix Lufignan fut choisi pour nous donner des loix . O mon cher Nérestan ! Dieu qui nous humilie , N'a pas voulu fans doute , en cette courte vie , Nous ...
Página 47
... percer le mien . Ciel tandis que Louis , l'exemple de la terre , Au Nil épouvanté , ne va porter la guerre , Que pour venir bien - tôt , frapant des coups plus fûrs , Délivrer ton Dieu même , & lui rendre ces murs TRAGEDIE 47.
... percer le mien . Ciel tandis que Louis , l'exemple de la terre , Au Nil épouvanté , ne va porter la guerre , Que pour venir bien - tôt , frapant des coups plus fûrs , Délivrer ton Dieu même , & lui rendre ces murs TRAGEDIE 47.
Página 50
... , quoi ! dans ce trouble extrê- me , L'Univers m'abandonne ! on me laisse à moi - même ! Mon cœur peut - il porter feule & privé d'apui , Le fardeau des devoirs qu'on m'impose aujourd'hui , A taloi , Dieu puiffant , oui , mon ame 50 ZAYRE ,
... , quoi ! dans ce trouble extrê- me , L'Univers m'abandonne ! on me laisse à moi - même ! Mon cœur peut - il porter feule & privé d'apui , Le fardeau des devoirs qu'on m'impose aujourd'hui , A taloi , Dieu puiffant , oui , mon ame 50 ZAYRE ,
Página 88
... porter sa hardieffe ! Tu ne connoiffois pas mon cœur & ma tendresse , Combien je t'adorois ! quels feux ! ah , Corafmin !? Un feul de fes regards auroit fait mon deftin . Je ne pûs être heureux , ni fouffrir que par elle . Prens pitié ...
... porter sa hardieffe ! Tu ne connoiffois pas mon cœur & ma tendresse , Combien je t'adorois ! quels feux ! ah , Corafmin !? Un feul de fes regards auroit fait mon deftin . Je ne pûs être heureux , ni fouffrir que par elle . Prens pitié ...
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Términos y frases comunes
affez affreux aimé Allez Amant amour augufte ayeux barbare bien-tôt bienfaits bonheur bras brifer c'eft c'eſt CHATILLON cher Chevaliers coeur connoiffez connois connoître CORAS CORAS MIN CORASMIN crime cruel d'Orofmane deftin déplaifir Dieu efclave Chrétien Eft-ce enfans eſt étoit fainte fang fans doute FATIME fçait fecret fein fens fentimens fermens fers fervi fes yeux feul fille flâme fœur foibles foin foit fon ame fon cœur font fouffrir foupçon foupirs fous François fuis fuivre fuperbe fuplice Garde des Sceaux grace Hélas heureuſe hymen j'ai Jourdain jufte L'ESCLAVE l'horreur laiffe larmes lieux Lorſque Lufignan LUSIGN m'aimez Madame main MANE MELEDOR momens Mufulmane n'eft Néreftan NEREST NERESTAN ô Ciel OROS OROSMANE OSMANE parler peux pleurs Prefentes PREMIERE puiffant rapelle refte RESTAN Rois Saladin SCENE Seigneur Sérail ſes Solime ſon Soudan tems tendreffe tendreſſe trahis tremble trifte Trône trouble vertu vois voudrois vûe Zaïre ZAYRE
Pasajes populares
Página 37 - Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée! Tes frères, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs bras sanglants, tendus du haut des cieux.
Página 8 - La coutume, la loi, plia mes premiers ans A la religion des heureux musulmans. Je le vois trop : les soins qu'on prend de notre enfance Forment nos sentiments, nos mœurs, notre croyance.
Página 36 - Mon Dieu ! j'ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J'ai vu tomber ton temple, et périr ta mémoire; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans , Mes larmes t'imploraient pour mes tristes enfants Et lorsque ma famille est par toi réunie , Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie!