1 mencement de vos études, me donne J'ai crû, MONSEIGNEUR, que Ecritures. Car il n'en est pas de l'étude de ee livre divin, comme de celle des fciences humaines & des auteurs profanes, dont il convient furtout aux Princes d'orner leur efprit, & de perfectionner leur raifon. Chaque Science aura fon temps pour vous, MONSEIGNEUR, & entrera dans le plan de vos exercices. Les Ecrivains de la Gréce & de Rome passeront fucceffivement fous vos yeux. Mais au milieu de ces études, dont chacune ne peut occuper que la moindre partie de votre jeuneße, il y en a une,& c'est l'étude des véritez de la Religion dans les livres faints,qui eft de tous les âges de la vie ; qui doit animer toutes les autres, & les confacrer par la piété ; la feule qui puiße vous préferver de la féduction |