Le gentilhomme cultivateur, ou corps complet d'agriculture, Volumen16

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chez Chapuis l'ainé, 1764

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Página 444 - A CES CAUSES , voulant favorablement traiter l'Expofant, nous lui avons permis & permettons, par ces Préfentes, de faire imprimer ledit Ouvrage autant de fois que bon lui femblera , & de le faire vendre & débiter...
Página 444 - Ouvrage autant de fois que bon lui femblera , & de le faire vendre & débiter par tout notre Royaume, pendant le tems de dix années confécutives , à compter du jour de la date des Préfentes ; Faifons défenfes à tous Imprimeurs , Libraires...
Página 444 - A la charge que ces Préfentes feront enregiftrées tout au long fur le Regiftre de la Communauté des Libraires & Imprimeurs de Paris dans trois mois de la...
Página 445 - Ouvrage , fera remis dans le même état où l'Approbation y aura été donnée, es mains de notre très-cbec & féal Chevalier , Garde des Sceaux de France » le Sieur HUE DE MIROMENIL ; qu'il en fera enfuite remis deux Exemplaires dans notre Bibliothèque publique , un dans celle de notre Château du Louvre...
Página 444 - Expofant, ou de ceux qui auront droit de lui , à peine de confifcation des exemplaires contrefaits , de trois mille livres d'amende contre chacun des contrevenans...
Página 443 - France & de Navarre : A nos âmes & féaux Confeillers , les Gens tenans nos Cours de Parlement , Maîtres des Requêtes ordinaires...
Página 101 - Il faut donc envisager par d'autres côtés les produits de l'agriculture, portée au degré le plus avantageux. Les profits sur les bestiaux en forment la partie la plus considérable. La culture du blé exige beaucoup de dépenses. La vente de ce grain est fort inégale. Si le laboureur est forcé de le vendre à bas prix, ou de le garder, il ne peut se soutenir que par les profits qu'il fait sur les bestiaux. Mais la culture des grains n'en est pas moins le fondement et l'essence de son état...
Página 151 - ... souverain. Les productions de nos terres doivent être la matière première des manufactures et l'objet du commerce: tout autre commerce qui n'est pas établi sur ces fondements est peu assuré; plus il est brillant dans un royaume, plus il excite l'émulation des nations voisines et plus il se partage. Un royaume riche en terres fertiles ne peut être imité dans l'agriculture par un autre qui n'a pas le même avantage. Mais pour en profiter, il faut éloigner les causes qui font abandonner...
Página 120 - ... partage cette récolte par moitié avec le propriétaire, qui lui fournit les bœufs, les friches, les prairies pour la' nourriture des bœufs, le décharge du loyer des terres, lui fournit d'ailleurs quelques autres bestiaux dont il partage le profit. Ce métayer avec sa famille cultive lui-même et évite les frais des domestiques, une partie des frais de la moisson et les frais de battage: il fait peu de dépense pour le bourrelier et le maréchal, etc. Si ce métayer cultive trente...
Página 144 - ... ils favoriseraient la propagation et la conservation des hommes, surtout l'augmentation des habitants de la campagne. Les fermiers riches occupent les paysans, que l'attrait de l'argent détermine au travail : ils deviennent laborieux, leur gain leur procure une aisance qui les fixe dans les provinces, et qui les met en état d'alimenter leurs enfants, de les retenir auprès d'eux, et de les établir dans leur province. Les habitants des campagnes se multiplient donc à proportion que les richesses...

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