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venoient les Druïdes.

P. 73 §. XVI. Sentimens & difpofitions des Celtes à Pégard des Grecs.

P. 74

§. XVII. Pythagore a reçu des Druïdes le dogme de l'immortalité de l'ame, & l'a défiguré. Injustice des anciens fur ce fujet à l'égard des Druïdes. p. 76 s. XVIII. Ravages que le vent de Borée faifoit dans la véritable Celtique. Les Gaulois donnoient à ce vent le nom de Circius. Augufte lui fit ériger un temple. La Colchide n'étoit point la région que les Hyperboréens occupoient. Ily avoir deux form tes d'Hyperboréens. Les monts Riphées étoient voifins de la mer glaciale.

P. 79

CHAPITRE III.

De toute antiquité les Gaules n'ont eu qu'un feul & même nom.

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CHAPITRE IV.

p. 94

DE L'ORIGINE des Gaulois. S. I. Vraie idée qu'on doit fe former des découvertes que Timagéne a faites fur l'origine des Gaulois. §. II. Ni les Aborigénes d'Italie, ni les Aborigénes des Gaules n'étoient Liguriens d'origine. Notion exacte du terme Aborigéne. §. III. Les Liguriens fe difoient Ambrons d'origine, & non pas Ombriens. Vraie étymologie du mot Ombrien.

P. 98

p. 101 §. IV. Abfurdités avancées touchant les Liguriens. p. 104 §. V. Etenduë exacte du pais, que les Liguriens ont occupé dans les Gaules. Ils y ont toujours été regardés comme étrangers. p. 106 §. VI. Paradoxe inoui fur la fignification du mot Ibere. Les

Liguriens fe font bien établis en Efpagne, mais non pas dans les païs, que les Volces des Gaules occupoient. P. 110 S. VII. Quel cas il faut faire du Periple de Scylax. Pourquoi la partie de la Celtique renfermée entre le Rhône & les Pyrenées étoit appellée Iberie. Ce que Scylax entend par les Ligu

riens & les Iberes mêlés enfemble.

p. 112

§. VIII. Vrai fens d'un Paffage de Plutarque. Pourquoi les Phocéens de "Marseille ont été quelquefois appellés Liguriens.

p. 123

f. IX. Les Liguriens étoient auffi différens des Volces d'Italie que le païs même qu'ils occupoient.

P. 125 §. X. Les habitans de la Gaule Aquitanique fe donnoient une

origine Grecque.

P. 127

§. XI. Les myfteres que les femmes des Amnites des Gaules célébroient, étoient étrangers à la Religion des Gaulois. Différence effentielle entre les Amnites &les Druïdes.

P. 128 §. XII. Les Druïdes, par la conftitution fondamentale de leur état, étoient & devoient être répandus dans toutes les Gaules. Leurs fonctions, leurs emplois, leurs prérogatives, &c. P. 130. §. XIII. La langue des Celtes n'avoit aucun rapport avec l'Hé

P. 137

breu. S. XIV. Si les Aquitains & les Espagnols defcendent les uns des autres, il eft plus vraisemblable que les Espagnols defcendent des Aquitains, › que les Aquitains des Espagnols. §. XV. Scylax n'a pû parler des Aquitains.

P. 138

P. 141

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