té ce Vers & le suivant aux raisons qu'A. nacreon avoit de croire que c'étoit Europe fille d'Agenor Roi de Phenicie. L'histoire de cette Princesse est dans le livre fixiéme des Metamorphoses d'ovide. Si fier , si satisfait , &c.] Ce Vers qui est de moi , me semble être une confirmation du jugement qu'Anacreon fait en voiant ce tableau. ODE XXX VI. SON CH A GRIN contre un homme qui parloit U veux m'enseigner les détours, Sait embarrasser un discours. Enseigne-moi plutôt comment Je puis me faire un sort charmant A boire, à folâtrer auprès d'unc' Maîtresse. Garçon , vîte de l'eau, du vin. Verse fans cellca Dans cet aimable jus noions nos déplaisirs, The fuzlu nou xbiegosor. REMARQUES SUR L'ODE XXXVI Sauce Ous le poids de mes ans tu vois que je succombe. ] Anacreon dit tonede séprot xágær, les cheveux blancs couronnent ma tête ; ce qui est toujours dire qu'il est vieux, Sous le poids de mes ans tu vois que je suc combe; Et toi-méme bien-tôt me mettras dans la tombe, Où finiflent tous nos desirs. vieux, & il n'entendoit pas autre chose. Il est étonnant que d'habiles Commentateurs n'aient point trouvé de sens à ce paffage qui ne souffre pas la moindre difficulté. Auprès d'une Maîtresse. ] L'original dit avec la belle Venne. C'est la même chose. Ι: "Δε πώς έαρος φανέντος OD XXXVII. LE PRINTEMS. V Diez les Graces au Printems Neptune éloigner les tempêtes. Et dislipe les sombres nuës. Tout brille dans nos champs d'herbe & de fleurs couverts. Déja l'olivier pousse, & la vigne rampante E’tend , contre le chaud, sur la giappe naissante L'abri de ses feüillages verds. Tout rit, tout nous promet une année abondante. |