precede, le justifie. Μάτίω δ' έχω βοείω" fe porte inutilement un bouclier, il ne peut pas me servir à parer les traits du dehors, puis gue le combat est au dedans. Anacréon ne songeoit qu'à se défendre, & non pas à offenler. Ainsi petamus, qui est une action offensive, n'étoit pas si juste que petamur. ODE XV. SES PLAISIR S. Gyges n'a Yges n'a rien que j'envie. pompeux Du parfum pour mes cheveux, Profiter dans les plaisirs Και σένδε τον Λυαίω, REMARQUES SUR L'ODE X V. Yges n'a rien que j'envie. ] Quelques I Interpretes ont soupçonné, parce qu'Anacréon parle de Gyges, qu'il a vécu du tems de ce Roi de Lydie. Mais fi je disois presentement: Je n'envie point les conquestesde Cesar, donnerois-je pour cela AWDWIDE Du cours peu seur de la vie. cela sujet de croire que j'eufse vécu du tems de Celar ? Cette Ode, comme plusieurs autres, contient une morale , done nôtre Religion nous découyre bien la fausseté. Σ Y μυ λέγεις τα Θήβης, Ο δ' αυ Φρυγών αυτας, E deux beaux yeux partent les traits.] L'Original dit : Il y a une autre efpece d'armée qui tire sur moi avec des yeux. Mais cela ne se pouvoit souffrir dans nô D tre 教號號號號號號蒂蒂號號號號號號號 ODE XVI. QUE L'AMOUR SEUL est le fujet de ses Vers. Tu , U chantes les guerres Thebaines, ni sur la terre, Ne me vint declarer la guerre. De deux beaux yeux partent les traits , Dont mon cæur amoureux est blessé pour jamais. tre langue. Du moins je n'ai pas eu 'afsez d'adresse pour le traduire , & j'ai abandonné les mots, pour exprimer le fens. |