La serenadeChez Pierre Ribou, Quay des Augustins, à la descente du Pont-Neuf, à l'Image Saint-Louis., 1708 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 39
Página 4
... n'en a pas plutôt fait l'emplet- te , qu'on voudroit en estre défait à moitié de perte . MARINE , leur ( Ouy , mais ceux qui font des mariages ne s'emba- raffent gueres du fuccés ; & quand ils o ont reçu pot de vin , & que le poiffon ...
... n'en a pas plutôt fait l'emplet- te , qu'on voudroit en estre défait à moitié de perte . MARINE , leur ( Ouy , mais ceux qui font des mariages ne s'emba- raffent gueres du fuccés ; & quand ils o ont reçu pot de vin , & que le poiffon ...
Página 12
... n'en fuis point en peine , & je vous laisse le Co- lier , Monfieur Grifon . SCAPIN . Un Colier de trois mil huit cent livres ! Le friand morceau ! SCENE V I. Mr. GRIFON , VALERE , SCAPIN . Mr. GRIFON . H , vous voila , mon fils ; que ...
... n'en fuis point en peine , & je vous laisse le Co- lier , Monfieur Grifon . SCAPIN . Un Colier de trois mil huit cent livres ! Le friand morceau ! SCENE V I. Mr. GRIFON , VALERE , SCAPIN . Mr. GRIFON . H , vous voila , mon fils ; que ...
Página 48
... n'en demeure qu'un fort petit , Mr. LA MONTAGN E. Le Marchand ... Mais ce n'eft pas ma faute , MERLIN . Se peut - il volerie aussi haute ? De l'or & des grandeurs je n'en demande pas , Jufte Ciel ; feulement fais qu'avant mou trépas ...
... n'en demeure qu'un fort petit , Mr. LA MONTAGN E. Le Marchand ... Mais ce n'eft pas ma faute , MERLIN . Se peut - il volerie aussi haute ? De l'or & des grandeurs je n'en demande pas , Jufte Ciel ; feulement fais qu'avant mou trépas ...
Página 52
... n'en faut point prendre . MERLIN . Si tu voulois de moy faire un petit effay , J'ay du montant de refte , & le vin affez guay . Mais je m'arrefte trop , & je laiffe mon Maître Se distiller en pleurs , & s'enyvrer peut - être . Je te ...
... n'en faut point prendre . MERLIN . Si tu voulois de moy faire un petit effay , J'ay du montant de refte , & le vin affez guay . Mais je m'arrefte trop , & je laiffe mon Maître Se distiller en pleurs , & s'enyvrer peut - être . Je te ...
Página 60
... . Voudriez - vous m'entendre ? : LEONORE . Oh , je n'ay pas le temps . De chagrins trop cuifans j'ay l'ame penetrée . MERLIN . Tant mieux , je vous voudrois encor defefperée.- 1 LISETTE . Elle n'en eft pas loin . MERLIN . 60 TLE BAL ,
... . Voudriez - vous m'entendre ? : LEONORE . Oh , je n'ay pas le temps . De chagrins trop cuifans j'ay l'ame penetrée . MERLIN . Tant mieux , je vous voudrois encor defefperée.- 1 LISETTE . Elle n'en eft pas loin . MERLIN . 60 TLE BAL ,
Términos y frases comunes
Adieu affez AGATHE ainfi allons Amant amour ANGELIQUE auffi aujourd'huy avez befoin BERTRAND c'eft c'eſt CARLIN cens CHAMPAGNE CHEVALIER chofe CLARICE CLITANDRE cœur Colin COMTESSE Coufin croy diable difcours DORANTE efprit eft-ce eftes eftre eſt êtes fage fans fçais fçait fçavoir fçay fens feray feroit fervir feul fille fœur foit fommes font fous fouvent fuis fujet GERONTE grace GROGNAC HECTOR homme ISABELLE j'ay JAQUINET jour joye jufte l'amour l'efprit laiffe Laiffez-moy LEANDRE LEONORE Lifette LISETTE luy donner m'en Madame maiſon Maître Maîtreffe maraut mariage MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN mille écus Monfieur Grifon Muficien n'ay n'eft n'eſt NERINE paffer parbleu PASQUIN penfe Pere perfonne plaifir Portrait prefent preft Quoy raifon ravy RESSOURCE rien s'il vous plaift SCAPIN SCENE VIII Serenade SOTANCOUR Trictrac vais VALERE verray veux vin de Champagne voicy voila vray vrayment
Pasajes populares
Página 161 - N'es-tu pas fait à peindre? Est-il homme à la cour Qui de la tête aux pieds porte meilleure mine, Une jambe mieux faite, une taille plus fine? Et pour l'esprit, parbleu, tu l'as des plus exquis : Que te manque-t-il donc? Allons, saute, marquis. La nature, le ciel, l'amour et la fortune...
Página 202 - Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles, Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos...
Página 150 - J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, Qui, pour porter au jeu son tribut volontaire, Vous laissera manquer même du nécessaire, Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, Des singes, des pavés, un chantier, du charbon ; Qu'on voit à chaque instant prêt à faire querelle Aux bijoux...
Página 202 - ... vous tenez à peine, Sur un théâtre alors vous venez vous montrer : Là parmi vos pareils on vous voit folâtrer ; Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles. Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos exploits, Plus haut que les acteurs vous élevez la voix ' ; Et tout Paris, témoin de vos traits de folie , Rit plus cent fois de vous que de la comédie.
Página 86 - Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé, Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille ', Un chapeau chiffonné qui tombe sur l'oreille, Une longue steinkerque...