Chez CHAUBERT, à l'entrée du Quai des M. DCC. XXVIII. TA Avertissement de l'Anteur." N regardera peut-être écrire dans une langue que je pronon. ce fort mal, & que j'entens à peine dans la converfation. Il me femble que je fais à prefent ce que j'ai fait autrefois au College, lorfque j'écrivois en latin & en grec; car il est certain que nous prononçons d'un & Pautre d'une maniere pitoyable, & que nous ferions hors d'état d'entendre ces deux langues,fi ceux qui les parlent fuivoient la vraye prononcia tion des Romains & des Grecs. Au refte je regarde la langue Angloife comme une langue favante,qui mérite que les François l'étudient, avec la même application que les Anglois apprennent la langue Françoife..y Pour moi j'ai étudié celle des Anglois par une espece de devoir. |