ou avant de ÂNCO, ou aco; Chez. anco ANFLA ; Appliquer un souf de roun pâirë, chez ton pere. flec. ÂNCO; La hanche. Ancos, ou ÂNFLË, téflë , coufal , ankiés, les hanches. baceou; soufflet sur la joue. ANCTA. v. 1. Injure af. ÂNFRË , ou défra. v. 1. Dans. front. Dë las andas é dë las Anfrë cin jhorns ; dans cing koutras injhurias la cort no së jours. ëntrëmëra , së l'una dë las parts ANGASTIÊIROS. Voy. Carno si clamara , é si courels ës: gaftieiros. trags , o doutras armas , o far:- ANGLÂDO. v. 1. Un coin cus era ëscampats për nafre ; la un angle, de là le n. pr. l’Ancort s'ën por ëntrëmërrë e dëou : glâde. përo ab la consëntëmën dels pro ANGLAR. v. I. & no pr. An gulaire. ANDRÎOU. n. pr. André. De agneaux. gneau avec l'archet ANDROUN, ou androtno, former la cape du chapeau. La Très-petite ruelle entre deux mais chaleur huaide & la pression fons où tombe l'égout des trois : donnent à cette forte d'étoffe en termes de coûtume , le tour appellée feutre , la forme & fa de l'échelle. En icalien. Androus confiance. na. En grec , andron ; lieu hu. En parlant d'une têre chauve mide. on dit par dérision sous gatriANDROÛNO, ou clãouzügo ; anissës į ses quatre brins de Un cu-de-fac. cheveux. ANDUZAT: Voy. Luchë. ANITOR ; Le Creflon des AN ECH , anêit ; Cecte jardins, le cresson alendis , le puit. nasitor : plante potagere antiANÈDO ; Le narcisse blanc fcorbutique; qu'on met dans de des prés,= Anëdo ; canne, oiseau bouillon &'dans la salade. Le aquatique. naliror fauvage entre dans le A NË KËLI ou avani ; remede de Mile. Stephens conAnéanii , exténué de faim , de "tre le calcul de la vellie , remede froid , de maigreur , &c. très-renommé & dont on ne parle ANÉLA ; Boucler les cheveux. plus. On dit proverbialement d'un ANIZA ('s'); Se nicher, faire homme avec qui, il est mal- fon nid., aisé de finir une affaire , a lou ANIZËTO ; De l'eau d'anis. mãou de la couo d'un por, anê. = de l'eau-de-vie d'anis.. lo toujhour é jhamâi noun nouzo. ANKËTO ana d'ankếtos ANFÉRS dé mouli dôli ; Forte Être déhanché. d'un pressoir à huile. = An- ANOÛ JHË ; Agneau d'un an. fers ; licu ou l'on serre cent ANOUNAT ; Mûr , au point choses de peu de valeur. Ou de maturité. * Troubarãi din mous anfers ; je ANOUNCIËS; Bancs de matrouverai cela dans mes bucoli- riage , ou annonces. A NOURI; Niéler le bled, gucs. ft. fam. Αου, ou ne dit pas , bled. Voyez Agani. ourrageux ; ( Contumeliofus. ) ANS, ou ënt. v. 1. Au con ãoufsë au pluriel, traire , mais bien plutôt. En v. doussës ; Toison de mouton fr. ains, ainçois. = Ans ou de bțébis ; elle eft coute ēnains. v. 1. Avant. d'une piece : on la vend fépaANSËNÊLOS; Baies de l'aube- rémenc des flocons détachés. épine. Une toison vauc environ un écu, ANSIN , antaou, ou ëntãou; J'ai vendu tant mes coifons. De cette façon. Për ansin; par- Lorsqu'on dépouille les brebis de tant, par conséquenc. Ës vostë leur "laine , un pâire , é për anfix li dëvés love faire la toison ; mais faire la Tëspé; c'est votre pere & par là tonte, ou tondre les brebis. Le vous lui devez le respect. temps de la tonte , ou les ton ANTA. v. 1. Outrage , affront, daiļles. En v. fr. Auts. injure acroce. Far antas ; faire ÄOUBALA; Fasser par l'ovale: outrage. Ab antas tramëtër ; sorte de moulinage s d'aprêc ( contumeliis afficere. ) Los apos- qu'on donne à la foie destinée tols aneresë ëngauzënis ; d'ëssër à en faire des bas de foie au agudi digns di Yufrir anta për lo mégier. nom de iehsu ; ( quoniam digni ÂOUBALAJHË ; Moulinage habiti sunt contumeliam paci pro des, fils pour les bas de soie. nomine Jefu. ) ÂOUBALËSTRIÉ ; Archer : ANTAN; L'an passé, l'année homme de guerre qui siroit de derniere. Davan antan ; il y a l'arbalete , ou qui se battoit avec deux ans. En lar. ( Ante annum.) l'arc. Terme de l'ancien roman. On ÃOUBALËSTRIE, au figuré; dit encore en fr. je m'en soucie Un grand dadais bouc décontecomme des neiges d'antan. nancé, sans grace , sans adrelle: ANTÂOU. Voy. Anfin. Ce terme de mépris eft une ANTAR; Insulter. Las antas Suite du décri ou étoient tomdë los antantés à tu , cagero fo- bés nos anciens archers, ou arprë mi ; les outrages de ceux. balêtriers. Ils manquoienr d'a* qui vous infulcoient sont tombés dreffe faure d'exercice faure fur moi ; (improperia imprope- d'éinulation : notre cavalerie les Tantium tibi ceciderunt fuper dédaignoit , la nation en faisoit e.) peu de cas , ce qui étoit fetal ANTIFO, Batrë antifo ; capable d'étouffer chez cette miBagere la campagne, Jice tout germe de courage , tour ÄNTO, ou garlando dë pous'; défir de fe distinguer. Leur nom La margelle d'un puits. Anto & jusqu'à celui du trait qu'ils Te dic aussi d'un garde - fou, lançoient appellé, matras, devind'un parapec de ponc , ou de rene chez nous des termes d'inquai. jure : les Anglois en avoient usé ANTOUROUN, la fi das Ar- autrement ; autli eurent - ils touroun ; Fin tragique. Les An: d'excellens archers ; ce qui leur meartriers qu'on fic valut, au rapport des historiens, périr à Montpellier dans les sup- les victoires de Créci & de plices. Poitiers. AONDANSA. v. I. Suffisance, ÂQUBALËSTRIÉ; Le grand capacité. La nostra condanfa martinet le moucardier venc dë Deu ; c'est Dieu qui l'Hirondelle noire. En lat. (hinous en rend capables. rundo apus :) oiseau plus grand AONDANT. V. do Suffisant, que l'hirondelle ordinaire. Il est capable. -touc noir à la reserve d'une ca. AONTOS. y. do Ennemi che blanche sous le bec. Les E me. tourons ? ou hours, des ailes longs effilés font, Il ne faut pas confondre ; d'où il se laisse tomber en fulion. tomber. ÄOUBERTHÉ; Un pavie: el#. Le grand martinet a de forres pece de pêcher dont le fruit apSerres, le bec un peu crochu. pellé de même, pavie (.& qu'on Qn le prend en l'air avec un prononce pavi ) ne quitte pas le hameçon caché sous une plume noyau. flotante. Il arrive après toutes ÂOUBÊRJHO ;, Un pavice les hirondelles & pare le premier. vulgairement une preise ; & - AQUBALESTRIE , terme de non , une auberge ; qui est une charpenterie ; Une ferme , ou maison où l'on donne à manger allemblage de quatre pieces.en à sans par repas. triangle dont une, qui est l'en- will y a une espece de peut trair est posée horizontalement au abrico precoce, appellé, alberbas de la ferme & sur laquelle ge : mais ce qu'on entend par portent , au milieu & à plomb, a uberjho est toujours un pavie, le poinçon & à chaque bout, fruit qui n'elt pas aulli lain que les-arbalétriers qui par leur bout la pêche qui guitre le noyau, supérieur vont s'emmortaiser au tour pareil d'ailleurs à celui du haye du poinçon. pavie. houb' aco; pour cela, oui. aon plante analogue aux cucurbi- ÂOUBECHË, ou aoubenco ; qui précéde l'aurore. Le même L'aubier d'un arbre ; ou la cou- dégré de lumiere après le couchę ligneuse extérieure entre l'é- cher du soleil eit appellé crépus. corce & le cæur de l'arbre, elle cule. Le crépuscule & l'autore ÂOU BEZOU ; Le quartz opa. longue & noire de la St. Jean. Candeléco. Farie per il l'dou ÂOUBIÊTRO; ou bárbarůsto. pour lui en quatre it. feroit AOUBRË dë gahi ; Le hu. ÂOUBIẾIRO; Lieu planté de mięr d'urvaisseau: peupliers blancs. Loubičiro ou la ÂQUBRË dë mouli-d'oli ; Le Loudièiro, n. pr. paroît être un mouton d'un prelloir à hailer nom · corronipú de l'âoubreiro. énorme piece de charpente , * cf'OUBIN ; voy. Qouberjhino. pece de levier qu'on abbaifle fut ÂOUBO ; L'aurore, * ou l'aube la pile des cabas qui contiendu jout. D'un' doub' à l'aoutro ; nenit la pâte d'olives. ***** coute la journée , autant que la ÂOUBRE jhazën de pouzardné journée peut s'étendre. "On voic co^;" L’årbré: horizoniat d'un par cette expresion qu'on ne ther- puiçs à rour. toit pas anciennement de diffé- ÂOUBRÉJHA ; Terme de rence (quant au degré de luiniere) cueilleur de fouille de sûriers de l'autore au crépuscule ; l'üne grimper lêsteinent d'une bran& l'autre ayant été appelléc "auChe à l'auưepour cuciltira les be , ou blastcheur. plus écartées. Sa bë ãoubrëjian, C'est d'aoubo ou de blanc il est habire à cueillir färrs rich que' Pont composés les n.' pr., laisser. Piirdoubo , ãoubo têro', doucë. doen ÂOUBRËSPI, ou doubë (pi ; nas, douban , doubër, doubërok, l'aub'épine l'épine blanche donc doubêchë , &c. &c. de fruit , ou les baies fonti aple ÀOUBO, & doubat ; L'orme- pellées, senelles.? mit it. 19% blaoć , le peupliei! blanc (& non ÂQUBRESSA; Un havre fac; l'aube J espece de peuplier de & non, habrefac , 'nin aubresac. baute-fùcaie , dont ler derriere l'Hèn eft aspirée. Un havre fac de la feuille et blanc. &'colo- de soldat , de garçon de mê. son bois eft d'un grand 'Tier; la carnalfiere d'un challeur. Yurage dans la 'ménuiserie. AOUC ; Le jars','ou mile de t'augmentarif d'âoubo est âou. l'oje. bënas. n. pri ÄOUCAT ou doucou ; VA ÄOUBO dë-mar ; L'algue de oison. **** mer: ÂOUCIR. v. I. Tuer, immò. AOUBOS, n. pr. corrompus ler, En lâc. (Occidere.) i d'afbos , ou d'alban. ** ÂOUCIZEDOR. V. l. Lideur, VÀOUBOVI"; "La vigne blan- bourreau. Imeurtrier, yun che, du ta viorne à large feuille : AOUCO ; Une Vie , la fe. *plante farmenteuse des haies, melte du jars : oiseau domef*cfpece de clématite. *tique. On dépouille toie' de son ÂOUBOULA ; Remuer , lou- duvet deux fois l'année. A tes levçi', changer de place. grandes pennes de les "ailes cer. ÂOUBRADOU ;, Un ouvroir , vene de plumes à écrire: äouco, un acelier ou agco, eft l'ancien nom franÂQUERË ; Arbre. En v. I. çois : témoin l'histoire fabuleuse diber, albıë, atber, d'où l'on de la 'reihe , pé-d'auque, ou a fait les ř. pr. Auber, Albet , "reine à patre d'oie. *&* l'augmentatif albertas & le L'oic sauvage est de couleur diminucif; doubrë, albrët. cendrée, elle a le milieu du bec A OUBRË d'dou pésrë. Voy. & les pieds jaanes; les bords de Pehrie. la langue & racine hériffés À OUBRË - DRË. Voyez de pointes' aiguës. Eij neux qu ou ÂOUCTA. v. 1. Dommage. Fa las doukéros ; jouer au ÃOUKIÊIRO ; Une oison- A OU LẤRI. n. pr. Sce. ÂO UDOULIÉ. n. pr. mascu- Eulalie. lin d'aoudoulièiro ; Scau de puits AOULCUS, ou doucus ; v. I. ou de cuisine. lous âoucus ; Cerrains, quelquesÂOUDOUS , ou doudourous uns ; & non les aucuns. Odoriférent , agréable. ÂOULË; Méchant. = Mau- AQUÉLIÉ., Berger. vais. = Fin , rusé. Têro d'aou. AQUÊLIO ; Ouaille ou bré. lé; juron , qui repond à , farbis. On voit l'affinité d'abëlié pedienne., avec aouelié , & celle de ouélio, ÂOULËZO.;, Malice. ou aouélio, en fr. ouaille  OU MË DO, omedo , ovaille ; avec le lat. ( ovis ; ) ou olmêdo ; Une ormoie : lieu brébis. Voy. Abëlié. planté d'ormes. Le n. pr. QouÂOUFEGA. v. 1. Étouffer. mëfas paroît, y appartenir. ÂOUGAN, ou aouan ; Cette  OU MË LO, ou trouch&année - ci. unganno , en pârois do; Omelette ; & non , amclette, florentin a la même significá- ni qumelette. tion. AOUMËNÂJHË. y. I. Home ÂOUGANÂSSO, augmentatif mage, dérivé d'homme, c'est d'âougan ; du temps du Roi proprement l'entier dévouement, Guillemor , du temps que. la ou la servitude d'un vassal á Reine Berthe filoit ; c'est-a-dire, fon Seigneur it devenoit son des temps fort reculés, ou , il homme par l'hommage & lui y a bien des années. On rend' appartenoir. L'hommage cette expression en pâtois flo- derne n'est qu'une ombre de tenzin par , unganaccio. l'ancien ; selon lequel un homme  OUGOU ; L'algue ,, ou n'étoit pas à roi. mousse marine. ÃO UMË NAS, augmentatif ÂOUGUNAS BĒTS; Quelques- dómë ; Grand & vilain homme. fois En ital. uomaccione. set, d'argile , de plâtre , &c. J'AOUJHEBI; Gros railin blanc, ÂQUMËNËN, Qoumënënco, doux & miéleux ; dont on fait un parla âoumënën ; Une voix en Provence le raisin sec. : d'homme, forte & rude dans AOUJHIAS , ou aoulsias. n. certaines femmes ; ce qui est pr. Elzéar. St. Elzéar comte souvent le symptôme d'un vi. d'Arian. goureux tempérament. On dit - ÂOUJHOL; Ayeul ; grand- aussi , une taille hommasse dans pere. I Vieillard antique, une femme , chez qui c'est un - ancien. Las fâiffous aoujhols ; défaut. les mours airiques. On appelle doumënênco, une  O.U JHO ULË T. diminutif fille garçonniere , qui fréquente d'aoujhol ; Un bon vieux petit les jeunes gens , qui les agasse, homme. qui a du tempérament. Ce n'est ÂOUKË ; : Donc interrogatif. pas le virago des Latins qui se Sés koukë tan coucha ? êtes-vous prénoit en bonne part. doumëdonc si pressé ?, nënco, & hommaste, font des  O'U KËTO , terme de injures. dénigrement > Petite femme. = ÂQUMËNTA · Augmentera mo |