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valerghë; & cent autres feroient les mêmes qu'en latin; (Junii ager, Flavii-ager, Call-Marii ager, Manlii-ager, Salvii ager, Porcii-ager, Valenii-ager; c'està-dire, champs ou maifon des champs de Junius, de Manlius, de Marius, &c...

ARGNA. Voy. árno. ARGOULE; Un arquebufier à cheval. Argoule ou gringale; homme de petite & de balle

mine.

ARGUMENTA. On ne dit pas argumenter quelqu'un, ni argumenter une thefe, mais argumenter contre quelqu'un & contre une these, ou contre une telle pofition: ainfi c'eft un gafco nifme de dire, je l'ai argumenté fur une telle thefe, ou j'ai argumenté telle questions au lieu de, j'ai argumenté, & fur telle queftion.

ARI, ou à très long; Haï: cri qu'on fait aux ânes pour les faire avancer. Rabelais dit fans façon, ari bourriquet. Les Italiens le difent de même. En efpgl. harre. En celtique, ari; âne.

ARIAT, Ane, baudet. Dé

tivé d'âri.

ARIBA, ou apapâiffouna; Donner à manger aux animaux; jeter aux vers à foie la ration ou le repas de feuille. : Apâter un enfant, un vieillard, un para. lytique, qui ne fauroient s'aider de leurs mains. Ieft fi vieux, dit-on, qu'il faut l'apâter.

ARIBADO; Repas, ration qu'on donne: aux animaux, & en particulier aux vers à foie. Douna un'aribâdo; jeter la feuille d'un repas, jeter une tation. Qan dounas. d'aribâdas? Combien de fois donnez-vous de la feuille? ou donnez-vous à manger, ou combien de repas font vos vers. ARIBAIRE; Celui qui fért-les

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renne, dont les feuilles, taillées en cœur, font roides & liffes, & ne tombent qu'à mesure qu'elles font remplacées par de nouvelles.

Cette plante, demi-ligneufe donne de petites grappes de fleurs blanchâtres qui répandent au loin une odeur très fuave, 83 qui font fuivies de baies rouges. Notre falfepareille et employés aux mêmes ufages que celle d'A mérique, mais en plus forte dofie.

ARIES, ou ës-ariés; en arriere, & non érriére. ARIGOT, ou larigot; Sorte de fifre.

ARIGOU. Voy. Fanabrêgou. ARIGOULA, ou rigoula; Gorger, fouler. S'arigoula fe régaler.

ARIGOULA; Ennuyer, plaire, incommoder. ARISCA, ou alifca; Joli, propre, paré. En grec, areskëin plaire, fe rendre agréable.

ARJHEIROLO, L'azéroles fruit bon à manger de l'azérolier: arbre du genre des néfliers, comme on peut le voir par les offelets de fon fruit. Celui de l'alifier a des pepins pareils à ceux de la forbe. L'alifier d'ailleurs & l'azérolier vulgaire, fe reffemblent un peu par la feuille.

ARJHELAS, ou aljhelas; Le genet épineux: fous-arbrisseau qui donne des fleurs jaunes légumineufes. Il vient dans nos landes & fert à faire des bouchetares pour les clôtures des vignes. Ce terme eft, dit-on, arabe d'origine,

ARJHÉLAS, augmentatif d'arjhêlo; Terrein argilleux dans lequel croît la plante précédente, & qui en fait ordinairement connoître la qualité.

ARJHELIÊRO; Une glaifiere d'où l'on tire l'argile.

ARJHËNTARIÉ. n. pr. de rue qui répondoit autrefois à ce qu'on appelle à préfent, rue des orfévres.

ARJHËNTIE. On appelloit en v. fr., argentiers, ceux qu'on a

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depuis appellé orfévres, parce qu'au temps de la prémiere dénomination on travailloit fans comparaison beaucoup moins d'or qu'à préfent, où ce dernier métal devenu plus commun, le nom qui en dérive a plus flatté les artiftes qui le travaillent.

ARJHENTIERO. v. 1. Mine d'argent. C'est d'une mine de cette efpece que tire fon nom une petite ville du Vivarais.

en

ARJHEN-VIOU; Du vif argent, & non de l'argent-vif; cette tranfpofition du substantif avant l'adjectif, dans les termes qui les lient en un feul mot, change quelquefois la fignification; ainfi fage-femme & mort bois ne font pas les mêmes que femme-fage & bois mort: il eft très vrai auffi qu'on peut être un homme mal-honnête, & n'être cependant pas un mal-honnête homme; ce qui eft fort différent: cette derniere injure étant tout autrement grieve que la premiere.

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11 faut dire de même, blancfeing, blanc manger, blanc-bec, folle avoine, blanc-manteau; & non feing-blanc, manger-blanc, avoine-folle, bec-blanc, &c.

ARJHILIÉ, ou arjhëlie. n. pr. d'homme, & mafculin d'arjhiliêiro, ou arjheliêiro. Arjhilié auroit-il fignifié ceux qui travaillent en grand fur l'argile, tels que les Fuiliers, les briquetiers, &c.?

ARKA I. n. pr. d'homme. Arcdi en grec, ancien.

ARKE, ou arcoula; L'arcen-ciel : l'itis des poëtes & de la fable. On dit au mafculin un iris en parlant des couleurs qui imitent celles de l'arc-en-ciel. Ce nom eft féminin fi l'on parle de la déeffe Iris.

ARKË de voulan; Archet ou étui de faucille. On dit auffi un archet de violon, le jeu des archets, &c.

ARKEMINO; L'alchimie, la philofophie hermétique.

ARKETA; Ajufter, parer.
ARKIE, ou arquié, n. pr.

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d'homme; il fignifioit autrefois tireur d'arc ou archer. En lat. (fagitarius ou arcarius. ) C'eft du nom arqié que s'eft formé peut-être par corruption, arghie ou l'arghie.

ARKIÊIRO, ou archêiro; Une barbacane ou chante - pleure, terine de maçonnerie : égouts qu'on pratique dans les murs de terrafle, pour l'écoulement des eaux, lefquelles occasionnent des éboulemens qu'on prévient par ce

moyen.

ÁRKIÊIRO; Soupirail d'un fuoir à châtaignes pour l'échappement de la fumée. Lucarne pareille à la précédente, longue & étroite, pour éclairer quelque endroit d'une maison.

Les arkieres ou archieres reffemblent aux meurtrieres d'où les archers tiroient fur l'ennemi : c'eft de là que ce terme dérive. On difoit en v. fr. archiere, témoin ce diftique du roman du Renard.

Les archieres font à quarniaux, Par où ils traient les quariaux.

ARIALA; Nettoyer un canal pour faciliter le cours de l'eau.

ARÎSCLË. Voy. Arëfclë.

ARLAN; Cri des foldais pour s'exciter au pillage, d'où eft formé arlandie, pillard.

ARLÊRI; Du fretin, du rebut, chofe vile. Volë jhës d'aqëlës arlêris; je ne veux point de ces guénilles. = Arlêri; attirail. Aqi ia fofs'arlêris; voilà bien de l'at tirail.

ARMAGNA; Un almanac.

ARMAS, trefcan ou garigo; Une lande, une friche, terre vacante ou déferte, qu'on appelle autfi dans quelques endroits, terres vagues & vaines, où il ne croît que des bruieres, du genêt, du thin, de la lavande. On ne trouve point dans ce fens le terme, va

cant.

On difoit autrefois erme, dérivé, de même qu'armas, du lat. (eremus);

(eremus); défeit. Ne confondez point lende avec lente. ARMAZI. Voy. Placar. ARMETELO. Voy. Pimpanêlo. ARMËTO; Une ame du purgatoire; & dans le ftyl. fam. une ame en peine. Armëto est le diminutif d'armo.

ARMO; L'ame. N'aouzo pa dirë që l'ârmo fié ou fiégo siouno; il n'ofe pas fouffler. Aourias-ti l'armo tan negro? Seriez-vous capable d'une telle noirceur, de cette attrocité? Seriez-vous affez imprudent, affez effronté? Fêsto d'armos; le jour des morts ou des trépaffés.

On difoit en v. 1. arma. Ai dounat é áoutourgat moun cor é ma arma à Dêou. Arma étoit auffi françois & l'on difoit, s'arma, au lieu de, fa arma, pour éviter l'hiatus; c'eft pour cette raifon qu'on a dit dans la fuite, fon ame, quoique fon & ame foient de différens genres. ARMO-LÂSSO. Vái à l'armolafo. On le dit d'une perfonne qui va à pas lents, qui femble avoir peine à mettre un pied devant l'autre, comme fi elle fortoit d'une longue maladie.

ARMOL ou armôou; La bonne-daine ou l'arroche des jar'dins, toute forte d'arroche. La 'bonne-dame eft une plante émolliente: elle eft excellente pour le potage qu'elle dore. En efpgl. armuellas.

ARNA; Rongé, percé par les teignes, piqué des vers. = árna; v. I. teigne. Voy. Rozil.

ARNADURO; Mangeure de vers, de teignes.

ARNAVES, arnives ou arnavêou; L'argalou, en lat. paliurus: arbrilleau dont le port extérieur differe peu du jujubier: leurs fleurs font les mêmes: fa tige eft hériffée de deux fortes de piquans. De là on donne le nom d'arnavés à un homme d'une humeur difficile, acariâtre, hétiffé de difficultés.

On emploie les branches de
Tome I.

l'argalou pour les échaliers & les bouchetures. On affure que la ti fane de fes coques eft rrès bonne contre la gravelle & pour les maladies de la veffie.

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Un habile Botanifte Suédois, qui avoit voyagé en Palestine dont il connoiffoit tous les arbuftes épineux, dit qu'il n'y avoit aux environs de Jérufalem qu'une efpece particuliere de paliurus qui eût pu fervir à faire la couronne de notre Sauveur au temps de fa paffion.

ARNIÉ. Voy. Vërdié.

ARNO, ou árgno, en v. 1. argna; La teigne ou la gerce : infecte qui ronge les étoffes de laine & les pelleteries. M. de Reaumur a appris à s'en garantir en mettant, dans les plis des habits qu'on quitte, du papier frotté d'efprit de thérébentine.

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ÂRNO; au figuré, un cousin ou un hôte importun qui, fous prétexte de parenté ou d'amitié, vient, fans être prié ou defiré loger chez quelqu'un & le gruger. Un tâou a un'arno; un tel a chez lui un coufin; c'est-à-dire, un parafite.

ARO, aras ou ôros; Apréfent. A për áro! Ah pour le coup! Venién un âro l'doutrë piêi; ils arrivoient tantôt l'un tantôt l'autre, ou à différens intervalles. Pâgo un pásu âro un paou piêi; il paie par parcelles. Travalia un paou áro un paou piêi; travailler par échappées. D'aro ni d'áro; de long-temps. D'arënla; dorénavant, & non d'hors en avant, du lat. hora. en ital. aora, en v. fr. aras.

AROBAS; Reste à favoir. ARÔFO; La balle de l'avoine! Voy. Poûfsës.

ÁRO-MEMO, aromëtis, aromëten ou adefáro; tout à l'heure. Aromëmëto; dans l'inftant. Aromëtis fe rapporte davantage au lat, hora metipfa.

AROS; Arthes, substantif féminin, & non érrhes: on prononce & on écrit arrhes au propre G

& au figuré. Donner des arthes ou arther, les arrhes ou les gages de la vie éternelle.

AROUKI; Pétrifié. S'aroukt; fe pétrifier, fe grumeler. Certaines chaux maigres n'ont befoin que de peu d'eau pour être éteintes: fi l'on en met autant que pour les graffes elles forment des grumeaux qui ont la dureté de la pierre.

ARPA, ou grâoupigna. Voy. Arpi.

ARPADO; Coup de griffe. ARPATEJHA; Se démener, fe débattre des pieds & des mains. Tâtonner, marcher en tâtonnant, chercher à fe prendre à quelque chofe, comme un homme qui fe noie.

ARPËJHA; Chercher à fe prendre des mains, ou fe griffer à quelque chofe. = Arpëjha. Voyez Arpi; dérivé d'ârpo. AKPETO, diminutif d'arpo; Croc de batelier.

ARPI, arpëjha; Saifir, empoigner.

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ARPI, ou gráoufigna; Égratigner donner des coups de griffe, fe prendre aux cheveux avec quelqu'un. Së fou arpis; ils fe font harpés ou harpillés. Acad. en lat. arripio. De là, arpo; griffe.

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ARPIAN. Voy. Câbro. ARPIOU; Ongle d'oiseau les ongles du lion, les griffes des chats, les ferres des grands oifeaux de proie. Ongle eft mafculin. Un ongle long & crochu. ARPO; Griffe. La griffe ou la patte de certains animaux tels que le chat & le tigre, eft armée d'ongles aigus & crochus, pour faifir leur proie & la déchirer. A bon'árpo dit-on au figuré; il a la ferre bonne. I-a bouta l'ârpo; il s'en eft faifi, il s'en eft emparé.

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ARPOS, terme de maçonnerie; pierres d'attente pour faire la liaifon d'un mur avec un autre. ARQUARS. v. 1. Tréforier. en

lat. Arcarius.

ARRACA lé bi; Tranfvalet le vin.

ARRAJHA, s'arrajha áou fourëls Se chauffer au foleil, & proprement aux rayons du foleil; dérivé de rájho; rayon.

ARROUÎ; Maigte, exténué. ARRUCA; Appuyé, foutenu, affermi. S'arruca; s'appuyer, s'adoffer contre quelque chofe pour dormir, pour repofer, pour rêver.

S'arruca; Se ranger, fe coller contre un mur pour laiffer paffer une voiture. S'attacher, fe prendre à quelque chofe.

S'arruca; Se retrécir, s'entaffer en foi même, s'amonceler, plier les épaules de crainte, de frayeur. Voy. Amouchouna.

ARSA. v. 1. & n. pr. Brûlé fait au pluriel, arfi. De là le nom d'une paroifle de Paris, appelée St. Pierre-des-Arfis. En v. fr. ars, arfé.

ARSAR. v. 1. Brûler. en v. fr. ardre.

ou

ARSENÎZO; L'armoise herbe de St. Jean: plante antihystérique. Sa décoction provoque les évacuations des femmes. Arsënîzo, corrompu, du lat. Artemifia; ou Artemife, Reine de Carie, qui l'employa, dit-on, la premiere pour les maladies des femmes nouvellement accouchées. ARSI; Soif, altération. ARTEL, arteou; Doigt du pied. On dit orteil, pour le gros doigt, pr. doi, ou plutôt, douè.

ARTELIA (s'); Se heurter les doigts du pied contre quelque chofe, fe bleffer aux doigts du pied par quelque choc.

ARTELIADO, pêirado, artëlidou; Heurt, coup, bleffure aux doigts des pieds : ce qui n'arrive guere qu'à ceux qui vont nu-pieds.

Si les payfans des environs de Paris n'avoient pas d'autre chauf fure, ou s'ils avoient moins d'aifance, ils fe heurteroient quelquefois les doigts du pied, & nous aurions des termes françois

propres qui répondiffent à s'artëlia & à artëliâdo; & il y a toute apparence qu'on auroit mis dans le dictionnaire de l'académie s'orteiller & orteliade, termes très-françois en Picardie. On peut en dire autant de beaucoup d'autres, qui, pour n'être pas ulités ou connus à Paris, manquent dans ce dictionnaire.

ou arterou

ARTÊRO, Adroit à quelque chofe, ou qui tire droit.

ARTIZOUS. Voy. Arcizous. ARUZA (s); Être fâché. ASCLA; Fendre. Fendu. Au figuré, un afcla, une tête fêlée, un homme qui a le timbre felé.

ASCLAIRE; Fendeur de bois.
ASPADO. Voy. Ancâdo.

ASSA; Çà, ou oh çà, or çà. On le dit au commencement du difcours. Ça dites-moi. Oh çà, que faut-il faire; or çà, conteznous cette hiftoire. L'r d'or-çà eft muet. Le peuple dit çà pour cela. On doit dire, cela va bien, & non, çà va bien, &c. ASSACHOMËN. Voy. Adou

badou.

ASSADOULA; Souler un cochon, raffafier la faim.

ASSAIAR. v.1. Tenter, tâcher, fe difpofer. Përqë më affaiars ën ganadors? Quid me tentatis hy pocrita.) Affaiavo anar e Bitinia; ils fe difpofoient à pafler en Bi tinie; affaiavo fe aiuftar ab los defcipols; il cherchoit à fe join dre avec les difciples.

ASSAIGNOURI, ou affignouri. v. I. Rendu ou devenu maître. S'affaignourir, fe rendre maître, ASSALEJHA, ou falëjha; Donner le fel au bétail.

ASSANA; Cicatrifer, cicatrifé. Plago affanâdo; plaie cicatrifée. ASSAOUVAJHI; Devenu farouche. S'afsâouvajhi; prendre un air, une humeur fauvage, contracter des manieres dures & agreftes.

ASSASIN. On ne dit pas, commettre un affaliu, ni êtté

coupable d'affaffin, mais d'affaffinat. Affaffin fe dit des perfonnes; affaffinat de l'action de tuer de guet apens, ou d'attaquer fimplement avec avantage & de fon autorité privée, quoique la mort ne s'en foit pas fuivie : car celui qui à l'improvifte aura reçu des coups de bâton, & fur-cour des coups de coureau dira trèsbien qu'il demande justice de l'affaffinat commis en fa perfonne.

ASSATA; Affaiffer, battre, fouler. La terre s'affaifle d'ellemême. On la bat pour la faire. entaffer. Affata la pôrto; pouffer la porte fans achever de la fermer. Alfata ou affiéta la bugado encuver le linge de la lef five & l'abreuver d'eau pour le faire entaffer. On dit auffi d'une voûte ou d'un bâtiment faits récemment, S'ës affata; il a pris fon faix.

ASSATA un cop; Affener un coup. Affata un fouflë; appliquer

un foufflet. &

ASSEC, ën miech afsëc; Au milieu de l'ouvrage.

ASSEGNORIR. v. 1. Maitrifer, fe rendre maître. Cëls që fon vist afsegnorir de las jhënts; ceux qu'on regarde comme les maîtres du monde.

ASSEGUTA. Voy. Agâira.

ASSEIRË. v. 1. Se mettre for fon féant. E vife Pêirë afsëc së (& vifo Petro refedit.) ASSEMA; Affaifonner une viande ou toute autre chofe bonne à manger.

ASSEMBLAR. v. 1. Comparer. A cu afsemblarei; (cui affimi labo?) à qui comparerai-je ?

1

ASSENCIAT, affienfa; Savant, ou qui fait l'entendu. Induftrieux, adroit.

ASSENTAMEN. v. 1. Confen

tement.

ASSENTAT, ou sềnu; Sage, pofé, fenfé.

ASSENTI; Fêlé. Ce pot s'eft fêlé au feu. La fêlure eft moindre que la fente.

ASSERO, ou disero; hier au

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