DE LA DYSSENTERIE, DANS LEQUEL ON DONNE decine, qui s'accorde également Par M. MAUBEC, Medecin ordinaire de decine de la Faculté de Montpellier. AZ 1343 MDCCXVIII. F'ay toûjours été infiniment sensible dux bontez dont vous avez bien woulú m'honorer; dc'elle pour vous donner une marque publique de ma parfaite reconnoisance , que j'ay l'honneur de vous dédiercet ouvrage. Je n'ay rien oublié, MONSIEUR , pour le rendre digne de Vous étreprefenté. & jeme suis d'autant plus appliqué à mériter votre approbation, que je sçai qu'il n'eft pas posible de la sürprendre. Lamatiere que j'y traite eft d'une grande étenduë : il est vrai que c'est une maladie particuliere qui en eft le principal sujet ; mais toutre qu'elle est populaire & des plus dangereuses, elle m'engage à donner le plan d'un nouveau Systéme de Médecine, par consequent à traiter en abregé ce qu'il y a de plus effentiel dans les diverses parties de cette Science. Les principes de ce Syfténe sont fondés sur les observations des Anciens, sur les découvertes des Modernes sa il me semble que les conséquences que j'en tire, font neceßaires, &fe presentent , pour ainsi dire, d'ellesa |