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1649, à 39 ans. Sa veuve Elifabeth Angélique de Montmorenci, fœur du duc de Luxembourg, fut une des perfonnes les plus agréables & les plus ingénieufes de la cour de Louis XIV. Elle épousa, en 1664, le duc de Meckelbourg, & mourut à Paris, en 1695, à 69 ans; c'eft elle dont il eft queftion dans le roman fatyrique de Buffi - Rabutin. Elle avoit eu du duc de Châtillon un fils pofthume, mort en 1657, & en qui finit la poftérité mafculi ne de cette famille illuftre, COLIN, Voy. COLLIN & BLA

MONT.

COLLÉ, (Charles) secrétaire ordinaire & lecteur de Monfeigneur le duc d'Orléans, né à Paris en 1709, mort dans la même ville le 2 Novembre 1783, à 75 ans, étoit un homme auffi aimable qu'eftimable. Il réuniffoit dans fon caractère une difpofition finguliere à la gaieté & une fenfibilité rare; la mort d'une épouse chérie avança la fienne. Sans afficher la bienfaifance & l'humanité, il fut humain & bienfaifant. Le genre dramatique lui ayant plu dès l'enfance, il le cultiva avec fuccès. Sa Partie-de-Chaffe de Henri IV, excite.

COLIN MACLAURIN, Voyez ce quelquefois l'attendriffement le dernier mot.

COLINES, Voy. GRYPHIUS. COLLANGE, (Gabriel de) né à Tours en Auvergne, l'an 1524, fut valet-de-chambre de Charles IX. Quoique bon Catholique, il fut pris pour un Huguenot, & comme tel, affaffiné à la St.-Barthelemi en 1572. Il a traduit & augmenté la Polygraphie & l'Ecriture Cabaliftique de Trithême, à Paris, 1561, in-4°, qu'un Frifon, nommé Dominique de Honttinga, a donnée fous fon nom, fans faire mention ni de Trithême, ni de Collange ; à Embden 1620, in- 4°. Collange avoit auffi quelques connoiffances dans les mathématiques & dans la cofmographie.

COLLATINUS, (Lucius-Tarquinius) époux de Lucrèce, violée par Sextus fils de Tarquin. Il fut en partie caufe de cet outrage, par les éloges indifcrets qu'il lui fit de fa femme. Collatinus s'unit à Brutus, chaffa les Tarquins de Rome, & fut fait conful avec lui, l'an 509 avant J. C.; mais comme il étoit de la famille royale, on le dépofa quelque temps après. Voyez LUCRECE.

COLLATIUS, Voyez VII. APOL

LONIUS.

plus touchant, parla vérité des caracteres, & fur-tout par la fidélité du portrait de ce bon roi. Sa comédie de Dupuis & Defronais, piece dans le goût de Térence, eft dénuée peut-être de ce que l'on appelle le vis comica; mais elle attache tous les fpectateurs par des fentiments vrais, par des caracteres bien foutenus, par un dialogue naturel, enfin par des fcenes qui arrachent les larmes. Une autre comé-. die, intitulée : la Vérité dans le Vin, ou les Défagréments de la Galanterie, eft remplie de traits pétillants d'efprit & de gaieté. Il y a d'autres pieces de lui, où il peint, d'une maniere auffi faillante que vraie, les mœurs de fon temps; mais fon pinceau eft souvent auffi libre que ces moeurs. On lui reprochoit un jour qu'il ne drapoit pas affez fes portraits: Comment voudriez-vous qu'on reconnût une Vieille édentée, fi on lui donnoit la figure d'une Nymphe de 15 ans? Son talent, pour les chanfons, qui l'a fait nommer l'Anacréon du fiecle, égaloit fon mérite dramatique. Il avoit tout ce qu'il falloit pour réuffir dans ce genre: beaucoup d'efprit naturel, une tournure facile dans les vers, & une chute heureufe dans les cou

plets. On lui a defiré feulement plus du grâces & de décence. Sa Chanfon fur la prise de PortMahon, lui valut une penfion de 600 liv. de la cour. C'eft, je crois, le premier chanfonnier qui ait obtenu une pareille faveur; mais il la méritoit. Il étoit un des derniers furvivants de ces beaux-efprits francs & enjoués, qui avoient formé entr'eux une fociété appelée le Caveau. Cette affemblée, dit un journaliste, valoit bien une académie. Collé regrettoit beaucoup ce bon vieux temps, où l'efprit vivoit avec l'efprit; où les gens de- lettres, libres & indépendants, n'étoient ni les triftes parafites d'un épais financier, ni les bas efclaves d'un grand feigneur, qui fouvent les méprife. Les ouvrages de cet aimable écrivain font réunis en 3 vol. in-12, fous le titre de Théâtre de Société; mais il en a laiffé plufieurs autres en manufcrit, qui ne font ni moins piquants, ni moins ingénieux. Il est à fouhaiter qu'on ne publie que ceux qui peuvent infpirer l'enjouement fans corrompre les mœurs. Cet écrivain a encore rendu un fervice au théâtre en rajeuniffant plufieurs anciennes comédies qui ont vieilli, pour les adapter à nos moeurs actuelles: ces pieces font le Menteur de Corneille, la Mere coquette de Quinault, l'Andrienne de Baron, l'Esprit Follet de Hauteroche... Collé étoit coufin du poëte Regnard, dont il fe rapprocha par fon originalité piquante, comme la nature l'en avoit rapproché par le fang.

COLLÉONI, voy. COGLIONI.. I. COLLET, (Jean) voy. COLET. 11. COLLET, (Philibert) né en 1643, avocat au parlement de Dombes, paffa quelque temps chez les Jéfuites. Il mourut à Châtillon-lès-Dombes, fa patrie, en 1718, à 76 ans. Il étoit très-laborieux;

mais il avoit des opinions fort fingulieres, même fur la religion. Il paffa long-temps pour n'en point avoir, quoique fon impiété fût plutôt fur fa langue que dans fon coeur. On a de lui: I. Un Traité des Excommunications, en 1689, in-12. C'eft une hiftoire de l'excommunication de fiecle en fiecle. L'auteur étoit dans les cenfures lorfqu'il pu blia cet ouvrage, pour avoir empêché, avec violence, qu'on n'enterrât une perfonne dans une chapelle dont il étoit patron. II. Un Traité de l'Ufure, in-8°., 1690, dans lequel il défend, contre quelques Miffionnaires, l'ufage de la Breffe, de ftipuler les intérêts avec le capital d'une fomme exigible. III. Entretiens fur les Dímes & autres libéralités faites à l'Eglife, in-12. It veut y prouver que les dîmes ne font ni de droit divin, ni de droit eccléfiaftique, mais de droit domanial. IV. Entretiens fur la Clôture des Religieufes, in-12, dans lefquels il combat pour la liberté de la clôture, contre le cardinal le Camus, évêque de Grenoble, qui venoit de gagner fon procès avec les religieufes de Montfleuri. V. Des Notes fun la coutume de Breffe, 1698, in-fo.; & plufieurs ouvrages manufcrits. La figure de Collet étoit originale, ainfi que fon efprit : il avoit l'air d'un philofophe de l'ancienne académie. Tout ce qui s'éloignoit des opinions communes lui plaifoit, & il foutenoit fes idées avec feu. Ceux qui vivoient avec lui, étoient charmés de l'étendue de fa mémoire & de la vivacité de fa péné→ tration; &, ce qui vaut encore mieux, ils trouvoient en lui un homme officieux, & un ami ardent & fincere.

III. COLLET, (Pierre) prêtre de la congrégation de la Miffion docteur & ancien profeffeur de théologie, né à Ternay dans le

Vendomois, le 6 septembre 1693, & mort le 6 octobre 1770, à 77 ans, s'est fait un nom diftingué parmi les théologiens, & a mérité l'eftime des perfonnes pieufes par fes écrits & par fes moeurs. Ses ouvrages font en grand nombre. Les principaux font les fuivants : Vie de St-Vincent-de-Paul, 2 vol. in4°, 1748. Hiftoire abrégée du même, 1 vol. in-12, 1764. L'Abrégé vaut mieux que la grande Histoire, qui eft faftidieuse par une multitude de détails minutieux qui n'intéreffent prefque perfonne : ce défaut eft celui de prefque tous les ouvrages hiftoriques de cet écrivain. Vie de M. Boudon, 2 vol. in12, 1754. La même abrégée, 1 vol. in-12, 1762. Vie de S. Jean de la Croix, 1769, I vol. in-12. Traité des Difpenfes en général & en particulier, 3 vol. in-12, 1753. Cet ouvrage eft unique en son genre, & rempli de recherches. Traité des Indulgences & du Jubilé, 2 vol. in-12, 1770. Traité de l'Office Divin, 1 vol. in-12, 1763. Traité des faints Myfteres, 2 vol. in-12, 1768. Traité des Exorcifmes de l'Eglife, 1 vol. in-12, 1770. Ces différents Traités font bons, & on les confulte avec fruit. Abrégé du Dictionnaire des Cas de Confcience, de Pontas, 2 vol. in8°, 1764 & 1770. Morénas avoit donné un Abrégé de Pontas, en 2 pe tits vol. in-8°: Collet s'en empara, le corrigea, l'augmenta de plus d'un tiers, & le publia en 2 vol. in-4°. Il accufe Pontas de fe contredire; on lui a fait le même reproche; mais, en général, l'Abrégé de Collet eft bien fait & utile. Lettres critiques, fous le nom du Prieur de SaintEdme, I vol. in-8°, 1744. L'abbé de St-Cyran y est très-peu ménagé. Bibliothèque d'un jeune Eccléfiaftique, 1 vol. in-8°. Cette brochure eft peu de chofe; l'auteur n'indique pas toujours les meilleurs livres, foit

foit que

qu'il ne les connût pas, fa prévention, contre certains écrivains, lui fît rejeter quelques-uns de leurs ouvrages. Theologia moralis univerfa, 17 vol. in-8°. Inftitutiones Theologica, ad ufum Semina riorum, 7 vol. in-12, 1744 & suiv. Eadem, breviori formâ, 4 vol. in12, 1768. De Deo, ejusque divinis attributis, 3 vol. in-8°, 1768. Les Devoirs des Pafteurs, I vol. in. 12, 1769. Devoirs de la Vie Religieufe, 2 vol. in-12, 1765. Traité des Devoirs des Gens du Monde, I vol. in12, 1763. Devoirs des Ecoliers, I vol. p. in-12. Inftructions pour les Domestiques, I vol. in-12, 1763. Inftructions à l'ufage des Gens de la Campagne, petit in-12, 1770. Ces différents traités font folides, mais ils manquent un peu d'onction. Sermons & Difcours Eccléfiaftiques, 2 vol. in - 12, 1764, écrits avec plus de netteté que d'éloquence. Méditations pour fervir aux Retraites, 1 vol. in-12, 1769. La Dévotion au facré Cœur de Jefus, établie & réduite en pratique, I vol. in-16, 1770. Il préparoit, lorqu'il mourut, d'autres ouvrages. On voit par ce catalogue que la plume de cet écrivain étoit très - féconde; mais fon ftyle eft dur en latin, & incorrec en françois. Le P. Collet avoit, dans la converfation, de l'efprit & du feu: on remarque ces deux qualités dans quelques-uns de fes livres. Il mêle quelquefois la plaifanterie aux fujets les plus férieux; mais malheureufement fes railleries fentent le college, & ne font gueres à leur place. Il s'étoit corrigé, dans fa vieilleffe, de ce défaut ; & à tout prendre, fes livres font estimables, par l'abondance des recherches, & par l'ordre qu'il a fu y mettre.

I. COLLETET, (Guillaume) avocat au confeil, l'un des 40 de l'académie Françoife, naquit à Paz

ris en 1598, & mourut dans cette ville, le 10 février 1659, à 61 ans, laiffant à peine de quoi le faire enterrer. Le cardinal de Richelieu le mit au nombre des cinq auteurs qu'il avoit choifis pour la compofition des pieces de théâtre. Colletet fit feul Cyminde, & travailla aux comédies intitulées l'Aveugle de Smyrne & les Tuilleries. Il lut le monologue de cette derniere piece au cardinal, & lorfqu'il fut à l'endroit qui commence par ce

vers:

La Canne s'humectant dans la bourbe

de l'eau...

Richelieu lui fit préfent de 600 liv. pour fix mauvais vers qui fuivoient celui-là. Sur quoi Colletet fit ce diftique :

Armand, qui pour fix vers m'as

donné fix cents livres, Que ne puis je à ce prix te vendre tous mes Livres !

En lui faifant ce préfent, le cardinal lui dit que les 600 francs n'étoient que pour les fix vers, qu'il trouvoit fi beaux, que le Roi n'étoit pas affez riche pour payer le refte. Mais il ne renonça pas à fon droit de protecteur & de connoiffeur; il ne voulut pas payer ces vers fans les critiquer au lieu de s'humecter de la bourbe de l'eau, il prétendit que Colletet devoit mettre barboter dans La bourbe de l'eau... Colletet réfifta à cette critique; & non-content d'avoir défendu fon vers en préfence du cardinal, il lui écrivit encore à ce fujet en rentrant chez lui. Comme le cardinal achevoit de lire fa lettre, des courtifans vinrent le complimenter fur le fuccès des armes du roi, en difant que rien ne pouvoit réfifter à fon éminence!.. Vous vous trompez, leur repondit-il, en riant; car, même à Paris, je trouve des perfonnes qui me réfiftent. On lui demanda quels étoient ces audacieux? C'eft Colletet, dit-il; car,

après avoir combattu hier avec moi fur un mot, il ne fe rend pas encore, & voilà une grande lettre qu'il vient de m'en écrire. Cette opiniâtreté n'irrita pas le miniftre, qui continua de le protéger. Colletet eut d'autres bienfaicteurs. Harlay, archevêque de Paris, récompenfa géné reufement fon Hymne fur l'Immaculée-Conception; il lui envoya un Apollon d'argent... Colletet avoit épousé, en fecondes noces, Claudine, auparavant fa fervante; & pour tâcher de juftifier fon choix aux yeux du public, il fit paroître, fous fon nom, plufieurs pieces de poësie: mais les honnêtes gens fentirent fa petite rufe, & fe moquerent de la Sapho fuppofée & du dieu mefquin qui l'infpiroit. Ce mariage, joint à deux autres qui ne furent pas plus avantageux, aux pertes qu'il fit pendant les guerres civiles, & à fon caractere diffipateur, le réduifirent à une extrême pauvreté. Les Quvres de Colleter parurent en 1653, in-12: ce font des Odes, des Stan ces, des Sonnets, & quelques ouvrages en profes (tels qu'une traduction du roman d'lfmene & Ifmenias) qui font depuis long-temps au nombre des livres qu'on ne lit plus. Quelques-unes de fes Poëfies, fans être du premier mérite, prouvent de l'esprit, de la fécondité, & font quelquefois d'une tournure agréable.

II. COLLETET, (François) fils du précédent, n'eft gueres connu que par la place que Boileau lui a donnée dans fes Satyres. Il fit, comme fon pere, des vers & de la profe, des Cantiques fpirituels, & des Pieces bachiques, amoureufes & burlesques. Sa Mufe coquette eft en 4 parties in 12. Il vivoit encore en 1672.

COLLIER, (Jérémie) né à Stowqui dans la province de Cambridge en 1656, devint lecteur de

Grays-Inn; mais ayant refufé de prêter le ferment du Test, il perdit cette place. Les écrits qu'il publia pour défendre fon procédé, lui attirerent la difgrace & les reproches des grands. On lui promit inutilement, fous la reine Anne, des récompenfes confidérables. Il vécut & mourut zélé non-Conformifte. Il réuniffoit parfaitement l'efprit de retraite du Chrétien, avec la politefic du gentilhomme. Egalement profond dans la philofophie, la théologie, l'éloquence, les antiquités facrées & profanes, il a enrichi fa nation de plufieurs ouvrages eftimables. I. D'un Dictionnaire hiftorique, géographique, généalogique, traduit en partie du Moréri, & augmenté d'un grand nombre d'articles, en 4 vol. in-fol. II. Des Effais de Morale fur différents fujets. III. D'un Traité où il démontre que Dieu n'eft pas l'auteur du mal. IV. De la Critique du Théâtre Anglois, comparé aux théâtres d'Athènes, de Rome & de France; avec l'Opinion des auteurs, tant profanes que facrés, touchant le Spectacle traduit en françois par le P. de Courbeville, jéfuite. Collier mourut le 26 avril 1726, à 76 ans.

I. COLLIN, (l'abbé N...) mort en 1754, tréforier du chapitre de l'églife de Paris, étudia de bonne heure les fineffes de la langue Latine & celles de la Françoise. Cette connoiffance lui fervit à traduire, avec autant d'exactitude que d'élégance, l'Orateur de Cicéron, in-12. Cette verfion, le fruit du travail long, pénible & affidu d'un homme d'efprit, parut avec une excellente préface, qui eft en même temps un commentaire raifonné fur l'ouvrage, & un folide abrégé de rhétorique. On y trouve des jugements fur nos orateurs modernes, & des réflexions fur les rhé

teurs de l'antiquité. Il avoit rema porté trois prix à l'académie Fran çoife. On a encore de lui la Vie de Marie Lumague, inftitutrice des filles de la Providence, 1744, in-12. II. COLLIN DE VERMOND, (Hyacinthe) membre de l'académie royale de peinture pour la partie de l'histoire, naquit à Verfailles. Il étoit filleul & éleve du fameux Rigaud,qui démêla fon talent. Il fit d'excellentes études en Italie : il en rapporta le bon goût du deffin, dont l'art confifte autant à préfenter la nature fous des afpects favorables, qu'à la rendre avec élégance & avec pureté. Dans fes exercices de profeffeur, il réuffit à pofer fupérieurement le modele, à le deffiner correctement, & à remplir avec habileté toutes les fonctions de l'école. Ses ouvrages refpirent la douceur, l'honnêteté la décence de fon caractere. Les principaux font: I. La Préfentation au Temple, placée à St.-Louis de Verfailles. II. La Maladie d'Antiochus. III. Plufieurs Tableaux, dans la nef des Capucias du Marais. IV. L'Annonciation, à St.-Médéri. V. La Manne qui tombe dans le Défert, à St.-Jean-en-Grève. Collin mourut à Paris en 1761, à 68 ans.

COLLIN, voyez BLAMONT & MACLAURIN.

I. COLLINS, (Antoine) né à Hefton, à dix milles de Londres, le 21 juin 1676, d'une famille noble & riche, occupe une place dans la lifte des incrédules. On devient ordinairement impie par un excès de perverfité, ou de libertinage; Collins le devint par bonté de caractere. Le tableau des maux qu'avoient occafionnés les abus que des hommes ambitieux avoient faits de la religion, l'ayant indifpofé contre elle, il l'attaqua avec beaucoup de hardieffe. Son impiété lui attira plufieurs adverfaires; mais, loin

de

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