Lettres de Mr. de St. André, conseiller-medecin ordinaire du roy: à quelques-uns de ses amis, au sujet de la magie, des malefices et des sorciers

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Chez Robert-Marc Despilly, libraire, 1725 - 446 páginas

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Página 373 - INous vîmes les rapports qui avaient été « faits, sur lesquels avait été fondé leur jugement « par le premier juge : je ne sais pas la capacité ni la « fidélité de ceux qui avaient rapporté , mais nous ne « trouvâmes rien de ce qu'ils disaient, entre autres « choses qu'il y avait certaines places sur eux du tout « insensibles. Nous les visitâmes fort diligemment, « sans rien oublier de tout ce qui y...
Página 374 - ... dépravez de leur imagination, les uns qui ne se soucioient de mourir, et les autres qui le desiroient : nostre dire fut de leur bailler plustost de l'helebore pour les purger, qu'un autre remede pour les punir : ne voulant pas juger par la voye commune, mais par celle da la raison, et vaut mieux, ce me semble, es choses de difficile preuve, et dangereuse creance, pancher vers le doute que vers l'asseurance : la cour les renvoya suivant nostre rapport (•). » L'autre médecin a lu Pomponazzi...
Página 290 - ... &: ont entraîné avec eux les parties les plus malignes & les plus corrofives de la charge qui ont agi fur le corps de ce Berger comme elles faifoient fur ceux des animaux qui la flairoient.
Página 261 - Enfin, je pris congé d'elle, et auparavant je souhaitai de revoir sa main , qu'elle me donna fort civilement au travers de la grille. Alors la considérant bien , je lui fis remarquer que le rouge des lettres n'était plus si vermeil que quand elle était venue...

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