S. III. De l'influence des variations de l'atmosphere, fur le nombre des morts & fur celui des morts fubites. Le rapport fingulier qu'on a apperçu jus qu'à préfent entre les variations de l'atmofphere, occafionnées par quelques-uns des dix points lunaires, & différens accès & paroxismes de quelques maladies, eft frappant même pour ceux qui font les plus familiarifés avec les phénomenes & les fingularités de la nature. La correfpondance qu'on découvre encore entre le plus grand nombre des morts & les morts fubites, quelles qu'en foient les causes & les perturbations de l'atmosphere, dépendantes de la combinaison de quelques-uns des points de la lune, est encore une cause d'étonnement à laquelle on ne s'accoutume que difficilement ; c'est au moins celle dont l'impreffion fubfifte plus longtems, parce qu'elle femble menacer tous les êtres vivans qui habitent le globe de la terre, & que ceux qui paroiffent jouir de la meilleure fanté, font exposés comme les autres à cette influence funefte. La table fuivante, qui a été prife au hafard, eft une preuve péremptoire de cette vérité; elle fait con |