velle, & ne paroilloit pas encore bien affermie. Il lui parle auffi des devoirs d'une veuve Chrétienne. 92 XII. Let. A Mlle D. malade dangereufement d'une maladie de langueur. Du bon ufage qu'elle dois faire de fon état. Des éxercices de pieté qu'on peut pratiquer dans la maladie. Qu'il ne lui confeille point d'ajouter à fon teftament une profeffion de foi, & les raifons pour lesquelles il ne peut approuver cette profeffion pour une perfonne du fexe. Que tout ce qui eft fingulier lui fait de la peine. 98 XIII. Let. A un Eccléfiaftique,furla néceffité de fe faire un ordre, & de le fuivre. Que c'est un devoir pour tous, & une obligation plus étroite pour ceux qui aiment l'indépendan-ce. Sorte d'étude proportionnée à fon peu de loifir. 1054 · XIV.Let. A Mad.la Comteffe de... Il lui parle de fon Ecrit fur les Exorcifmes,qui fit changer de fentiment à Geux qui revoyoient le Rituel de Pa-ris, qui les avoient retranchez, & qui les rétablirent après l'avoir lu Il lui parle enfuite de la foi, & de l'efperance de poffeder les biens futurs & invifibles aux fens. 116 XV. Let. A un Eccléfiaftique qui lui avoit expofe fes difpofitions. Il lui repréfente qu'il confond les dons de Dieu avec fes imperfections,& qu'il oublie ce qu'il a reçû parce qu'il fent trop ce qui lui manque. 123 XVI. Let. A Mad. la Comteffe de.... Il lui dit des nouvelles de la fanté d'un ami commun, & lui parle enfuite des devoirs & des obligations d'une mere chrétienne. XVII. Let. A un jeune Eccléfiaftique.. Qu'il éprouvera qu'en devenant plus humble, ou il n'aura point d'ennemis, ou il les vaincra fans effort;: &que le Fils de Dieu a declaré que le defir de la louange & de l'approbation qui vient des hommes, eft incompatible avec la foi. 138 138 XVIII. Let. Au même. Il lui donne differens avis,& finit en éxaltant le bonheur de ceux qui ont une confianse particuliere en la Ste Vierge.141 XIX.Let. A une Demoiselle. Qu'elle eft exacte dans ce qu'elle dit d'elle, mais qu'il y a de l'excès dans le jugement qu'elle en porte. Que les difpo fitions qui l'affligent, font en partie des épreuves, & en partie des châtimens. Que l'oppofition qu'elle éprouve à une pieté intérieure & confolante, eft l'effet des défauts de fa vie paffée. Que le moyen de la faire ceffer, eft de reconnoître avec bumilité qu'on l'a meritée: Utilité de cette conduite de Dieu fur elle. Que rien n'est plus jufte que de gémir de ce qui l'occafionne, mais non d'en tirer des conféquences contraires à l'efperance. Il en fait voir le faux, & explique ce que dit faint Paul aux Hébreux,chap. 6. Qu'il eft impoffible que ceux qui ont été une fois éclairez, &c. foient renouvellez par la Pénitence.144 XX. Let. A un Eccléfiaftique qui le confultoit fur des éxercices particuliers de pénitence; & für les tems où il devoit monter à l'autel. 165 XXI. Let. A M. Boileau, fur la 169 'maladie de M. fon frere. XXII. Let. Ou fragmens contenant quelques avis fur les études d'un Eccléfiaftique,qui fe font trouvez. Séparez de ce qu'on a donné au pu blic. 17 K 190, XXIII. Let. Autre Fragment fur le même sujet. XXIV. Let. A une Religieufe, fur fon changement de Maifon. Qu'il eft bien difficile de lui donner conseil fans connoître mieux fes difpofitions, fecrettes, fes peines & fes vûes.. Qu'il craint de la décourager, ou de la trompers mais que fon deffein eft de la confoler, & de la rendre heureufe par la piété. Divers moyens pour cela. Elle ne doit pas juger de· fa vocation à la vie Religieufe par les oppofitions qu'elle y a. Vraies fources & vrai remede de fes pei nes. 197 XXV. Let. A Madame la Marquise de V. Il lui marque l'heure qu'il ira chez elle, & l'inquiétude que lui caufe la maniere obfcure dont elle lui parle dans un Billet. 207 208 XXVI. Let. A la même, fur la ma→ ladie de Mademoiselle de... fa fœur. Qu'il ne peut l'en confoler, que par la foumiffion qu'elle a aux ordres de Dieu. Signes précieux de la crainte qu'elle a de manquer de patience. Que l'humilité & la: priere en font la fource. Inftructions Salutaires que J. C. nous donne par les fouffrances.Ce qu'ont de particulier celles de la malade dont il parle, & ce qu'une telle diftinction lui doit infpirer de courage.. XXVII. Let. A la même, fur la mort de Mlle fa fæur. De l'usage qu'elle en doit faire, pour apprendre à ne fe repofer fur rien de tout ce qui palle. Qu'un appui qui fond fous la main, n'en est pas un. Etat déplorable d'un cœur qui n'en avoit point d'autre,& qui l'a perdu. Que cet état néanmoins vaut encore mieux que celui où l'on étoit féduit, fi l'on en fçait profiter. XXVIII. Let. A la même, fur un : Exercice de M.de...fon neveu. Il en loue le plan, & porte de tout: 2.14 |