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en détail un jugement très-avantageux. Il finit en marquant l'efpérance que cet effai lui fait conce

voir.

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XXIX. Let. A la même, fur la maladie du même neveu dont il eft

parlé dans la précédente. La part

qu'il y prend, & l'avantage qu'il

efpere que le malade en tirera. 2 20

XXX. Let. A la même, fur un Ecrit qu'elle lui avoit communiqué.

Qu'il eft bon, mais que les mauvaifes difpofitions des hommes le

rendront inutile.

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XXXI.Let. A la même. Il la remercie d'un avis. Il loue la confiance d'une Demoiselle pour elle, & lui parle de celle qu'il a lui-même en Ja fidélité au fecret. XXXII. Let. A M. Boileau. Après avoir parlé de fa retraite, il répond a fon ami qui l'avoit confulté fur le retranchement de la coupe. 224 XXXIII. Let. Au même. Il lui parle de fa retraite comme d'un tombeau.

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XXXIV. Let. Au même. Il parle de

Tui-même en tierce perfonne, & il refufe de voir un de fes freres plus: lié avec M. Boileau, que les autres, de crainte de les bleffer par cette préférence. Il voyoit M. Boileau quelquefois le foir dans les derniers tems de fa retraite. 232 XXXV. Let. Au même. Il lui parle de fon retour de Flandres, & de quelques bienfaits. Sa reconnoissance, fon humilité & fa piété y font exprimées d'une maniere fort vive..

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XXXVI. Let. A M. l'Abbé Renaudot, fur l'Inftruction Paftorale de M. de Noailles, Archevêque de Paris, fur la Vie intérieure, imprimée en 1697. 238 XXXVII. Let. A un Eccléfiaftique. Que les rétributions pour les Meffes & pour les Neuvaines peuvent être féparées des abus. Qu'il eft jufte que le Miniftre qui fert à l'Autel, vive de l'Autel. Que cette maxime eft de Jefus-Chrift même. Que les Neuvaines ne peuvent déplane, que parce qu'elles paroif

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fent fuperftitieufes, & qu'il n'eft pas permis de regarder comme fuperftitieufe toute obfervation de jours, & pourquoi. XXXVIII. Let. A un Eccléfiaftique. Qu'on ne sçauroit donner des régles certaines pour l'usage plus ou moins fréquent de la Confeffion, à des perfonnes inftruites. Qu'il croit néanmoins que dans certains cas qu'il marque, il eft plus utile de fe préparer fouvent à fe confeffer, que de fe confeffer fouvent. De quelle maniere il faut interroger fur de certaines matieres. Qu'il faut plutôt parler de la vertu que du vice s en demandant, par exemple,fi l'on sonnoît tout le prix de la chasteté ; fi l'on fait combien elle est exacte & fevere, &c. Qu'il ne lui confeille pas de prendre aucune part aux réSolutions que peuvent prendre de jeunes Clercs ou Etudians, d'interrompre leurs Etudes, ou de s'enga~· ger dans un Monaftere ; il en marque les raifons. Qu'il ne peut juger e qu'il y a de ferieux dans l'état du

Religieux dont on lui parle. Régles qu'il croit qu'on doit obferver pour juger s'il eft innocent ou criminel: 1. Connoitre le fond de fa confcience, être inftruit de toute fa vie: 2. Examiner fon caractere d'efprit, fa fanté, fon tempéramment; & fi l'on Soupçonnoit de la folie ou de noires vapeurs, tenter quelques remedes:: 3.Demander à la Communauté des prieres pour lui. 245 XXXIX. Let. A un Ecclefiaftique. Il lui marque qu'il fera bien d'accepter un Benefice fimple,& la raifon qui doit l'y déterminer. Qu'il doit prier Dieu de le conduire en tout par fon efprit.. 256 XL. Let. A un Eccléfiaftique. Il ne lui confeille pas d'accepter la place de Grand Vicaire. Qu'il y a des tems où il vaut mieux demeurer. Simple particulier, & laiffer le foin des affaires aux perfonnes plus hardies. Que ce feroit lâcheté, fi l'on ne pensoit qu'à éviter le travail mais qu'on n'en peut être accufé, quand il s'agit du falut éternel.

"Qu'il ne doit point rendre compte des raifons de fon refus. 258 XLI. Let. A Madame la Comtele de G. fur la mort de M. fon mari. Motifs de confolation au milieu de fon affliction, & obligation de fe confacrer à Dieu fans partage, puifqu'il a rompu fes liens. Qu'elle n'a plus de prétexte pour excufer les diftractions de fon efprit, ni le partage de fon cœur, & qu'il eft tems de ne plus penfer qu'à une alliance éternelle avec un époux qui eft efprit & lumiere.

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XLII. Let. A un Prêtre de l'Oratoire, Professeur dans un Séminaire, fur la maniere d'inftruire les Séminariftes, XLIII. Let. A Madame la Comtele de.... fur les avantages de la folitude, & fur la maniere d'en profiter. XLIV. Let. A une Demoiselle, aut fujet d'un Eccléfiaftique qu'elle lui avoit recommandé. Il lui envoie une copie de l'Ecrit fur les Exoraifmes, dont il lui dit plufieurs par

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