Oeuvres de Regnier ...Chez Lyon & Woodman, 1730 |
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... force il rompoit le camp qui l'affiegeoit ; 55 Et pouffant plus avant les troupes espanchées , Le matin en chemife il furprit les tranchées . Là Paris délivré de l'Espagnole main , Se deschargeoit le col de fon joug inhumain . La ...
... force il rompoit le camp qui l'affiegeoit ; 55 Et pouffant plus avant les troupes espanchées , Le matin en chemife il furprit les tranchées . Là Paris délivré de l'Espagnole main , Se deschargeoit le col de fon joug inhumain . La ...
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... force le foible eft foulé du puiffant , 110 Que la rufe ravit le bien à l'innocent ; Vers 9 1 . REMARQUE S. Où , changeant de vifage , & c . ) Virg . Æn . 6. v . 47. parlant de la Sibylle : Subito non vultus , non co- lor unus , Non ...
... force le foible eft foulé du puiffant , 110 Que la rufe ravit le bien à l'innocent ; Vers 9 1 . REMARQUE S. Où , changeant de vifage , & c . ) Virg . Æn . 6. v . 47. parlant de la Sibylle : Subito non vultus , non co- lor unus , Non ...
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... force de canon , J'aime une amour facile , & de peu de défence . Si je voy qu'on me rit , c'est là que je m'avance , REMARQUES . le Et Vers 18. Qu'il ne m'en est resté | 83 , & 84. ce qui fait connoitra une goutte de fang . ) Il y a un ...
... force de canon , J'aime une amour facile , & de peu de défence . Si je voy qu'on me rit , c'est là que je m'avance , REMARQUES . le Et Vers 18. Qu'il ne m'en est resté | 83 , & 84. ce qui fait connoitra une goutte de fang . ) Il y a un ...
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... force m'arrache Les cris qu'au fond du cœur la réverence cache . Puis donc que mon refpect peut moins que fa douleur , 60 Jelâche mon difcours à l'éfort du malheur ; Et pouffé des ennuis dont mon ame eft atteinte , Par force je vous ...
... force m'arrache Les cris qu'au fond du cœur la réverence cache . Puis donc que mon refpect peut moins que fa douleur , 60 Jelâche mon difcours à l'éfort du malheur ; Et pouffé des ennuis dont mon ame eft atteinte , Par force je vous ...
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... force ma patience . J'accufe ma foibleffe , & fage à mes defpens , Si je t'aymay jadis , ores je m'en repens ; Et brifant tous ces nœuds , dont j'ai tant fait de conte , 10 Ce qui me fut honneur , m'eft ores une honte , Penfant m'ofter ...
... force ma patience . J'accufe ma foibleffe , & fage à mes defpens , Si je t'aymay jadis , ores je m'en repens ; Et brifant tous ces nœuds , dont j'ai tant fait de conte , 10 Ce qui me fut honneur , m'eft ores une honte , Penfant m'ofter ...
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Términos y frases comunes
affez ainfi amour Aprés auffi avecque avoit beau c'eft C'eſt cefte chanfons chofe Ciel cœur compofé d'amour d'eftre deffein deffus defirs Defportes Defpreaux Dieu Dieux difcours dire Edition édition de 1608 efprit eftant eftoit eftrange eftre Elégie Epigramme eſt étoit euft fage faifant faint falut fans fçait fçavoir fçay fecrets felon femble fens fent feroit fervir feul fiécle fignifie foit font fous fouvent François fuft fuis fuivantes fujet gouft grace Henri IV homme Horace humeur j'ay l'édition de 1642 l'efprit laiffe Lapithe m'en Malherbe mefme merite Monfieur mont Hélicon Mufe n'ay n'eft Nicolas Rapin noftre Note fur Ovide paffé paffion parle penfe Philofophe plaifir Poëte pourquoy premiere édition puiffe quoy Rabelais raifon refte Regnier REMARQUES rien Ronfard s'eft Satire SATYRE tefte tems Tercet toûjours tousjours vertu vice voftre Voyez la Note vray yeux
Pasajes populares
Página 116 - La douleur aux traits vénéneux, Comme d'un habit épineux Me ceint d'une horrible torture. Mes beaux jours sont changés en nuits ; Et mon cœur tout flétri d'ennuis N'attend plus que la sépulture.
Página 118 - Portes n'est pas net, du Bellay trop facile; Belleau ne parle pas comme on parle à la ville; II a des mots hargneux, bouffis et relevés, Qui du peuple aujourd'hui ne sont pas approuvés. Comment...
Página 118 - Colomby et autres de ses amis le feuilletoient sur sa table, et Racan lui demanda s'il approuvoit ce qu'il n'avoit point effacé : « Pas plus que le reste, » dit-il. Cela donna sujet à la compagnie, et entre autres à Colomby, de...
Página 120 - Prendre garde qu'un qui ne heurte une diphtongue ; Épier si des vers la rime est brève ou longue ; Ou bien si la voyelle, à l'autre s'unissant, Ne rend point à l'oreille un vers trop languissant.
Página v - Le mari mourut le 14 de février 1597 à Paris, où il avoit été député pour les intérêts de la ville de Chartres, dont il étoit actuellement échevin, et fut enterré dans l'église de Saint-Hilsire.
Página 114 - L'homme que vous savez m'a dit qu'il n'aime rien. Madame, à votre avis, ce jourd'hui suis-je bien? Suis-je pas bien chaussé? ma jambe est-elle belle? Voyez ce taffetas: la mode en est nouvelle; C'est œuvre de la Chine. A propos, on m'a dit Que contre les clinquants le...
Página 26 - Grimaçant son discours, semble avoir la colique ; Suant, crachant, toussant, pensant venir au point, Parle si finement, que l'on ne l'entend point. Un autre, ambitieux, pour les vers qu'il compose, Quelque bon bénéfice en l'esprit se propose ; Et dessus un cheval comme un singe attaché, Méditant un sonnet, médite une évêché.
Página 239 - Encor' si le transport dont mon ame est saisie Avoit quelque respect durant ma frenaisie , Qu'il se reglast selon les lieux moins importans, Ou qu'il fist choix des jours, des hommes ou du...
Página 214 - Il donne quelque chose à notre passion ; Et qui, jeune, n'a pas grande dévotion, II faut que, pour le monde, à la feindre il s'exerce. C'est entre les dévots un étrange commerce, Un trafic par lequel , au joli temps qui court, Toute affaire fâcheuse est facile à la cour.
Página 36 - Du siècle les mignons, fils de la poule blanche, Ils tiennent à leur gré la fortune en la manche ; En crédit élevés, ils disposent de tout, Et n'entreprennent rien qu'ils n'en viennent à bout. ' Mais quoi ! me diras-tu, il t'en faut autant faire.