Imágenes de páginas
PDF
EPUB

de Rubruquis. xvII. Audience de Sartach. XVIII. Audiance de Baatou. XIX. Jugures & Neftoriens. 1256. xx. Audience de Mangou-can. xx1. Conference avec les Tuiniens. xx11. Retour de Rubruquis. XXIII. Jean de Parme dépofé. XXIV. Commencement de S. Bonaventure. xxv. Affaires de l'Univerfité de Paris. x x VI. Ermites de S. Aug. xxvII. Condamnation de Jean de Parme. XXVIII. Mort du roi Guillaume de Hollande. xxix. Affaires de P'Univerfité. xxx. Livre des perils des derniers temps. xxxi. Legation à Theodore Lafcaris. xxx11. Condamnation du livre des perils. XXX111. Soû- 1257. mission de 2. docteurs. XXXIV. Commencement de S. Thomas d'Aquin. xxxv. Condamnation de l'évangile éternel. xxxvI. Sicile offerte au roi d'Angleterre. XXXVII. Progrez de Mainfroi. XXXVIII. Double élection pour l'empire.xxxix. Arnauld archevêque de Treves. x L. Eglife du Nort. XLI. Affaires de l'Univerfité. XLII. Apologie des religieux 1258. mandians. XLIII. Lettre de faint Bonaventure. XLIV. Seval archevêque d'Yorc. x L v. Le pape à Viterbe. XLVI. Progrés d'Ecelin. XLVII. Guerre entre les Venitiens les Genois. XLVIII. Eglife de Salfbourg. x L Ix. Reglemens pour l'inquifition. 1. Conciles de Ruffec & de Montpellier. L 1. Arlot nonce en Angleterre. L11. Plaintes des Anglois contre leur roi. LIII. Amour de S. Louis pour la 1259. paix. L 1 v. Prife de Bagdad par les Tartares. L v. Leurs propofitions au roi de Hongrie. L v 1. Bulle contre les clercs concubinaires. LVII. Affaires de l'Univerfité. L v III. College de Sorbone. LIX. Statuts anciens des Chartreux. LX. Mort du tyran Ecelin. LXI. Mort de Theodore. Michel Paleologue empereur. LXII. Flagellans en Italie. LXIII. Carmes & Auguftins à Paris. LXIV. Albert le grand évêque de Ratisbone. L x v. Concile de Cologne. L x V 1. Concile de Cognac & autres. LXVII. Reglemens pour les Grecs de Chipre.

Αν

APPROBATION

De Monfieur LEGER,
Abbé de Bellozane.

I

Si la religion étoit l'ouvrage des hom

mes, il y a long-temps qu'elle feroit perie. Dans tous les fiecles les herefies, les fchifmes & les paffions les plus violentes l'ont continuellement attaquée fans avoir pû alterer la pureté de fa doctrine, les regles des mœurs & les principes effentiels de la difcipline établie par les Apôtres. Dieu fe rend à lui-même un témoignage éclatant en confervant fon églife au milieu de tant d'agitations & de troubles, & rien n'est plus glorieux à la religion que le perpetuel miracle de la foi. On verra dans ce dix-feptiéme tome de l'Hiftoire Ecclefiaftique, entre de grands exemples de pieré & de zele, de triftes évenemens & des défauts fcandaleux dans ceux

qui devoient être auffi refpectables par la pureté de leurs mœurs, qu'ils l'étoient

[ocr errors]

par leur dignité & par la place éminente qu'ils tenoient dans l'églife. Quelques uns des lecteurs pourroient en être troublez, fi on ne leur donnoit l'avis que faint Auguftin autrefois en femblable occafion, donna à la vierge Felicie: Je vous avertis de ne vous point troubler de tant de fcandales qui ont été prédits avant qu'ils fuffent arrivez, afin que nous nous fouvinffions qu'ils avoient été prédits, & que nous n'en fuffions point troublez: Te admoneo, ne graviùs perturberis his fcandalis, quæ ideò pradicta funt, ut quando venirent, reminisceremur esse pradicta, & non eis valdè commoveremur. Fait à Paris ce 25. Janvier 1714.

D. LEGER, Abbé de BELLOZANE.

APPROBATION

De Monfieur PASTEL, Docteur &
Profeffeur de Sorbone.

J'A

'Ai lû par ordre de Monfeigneur le Chancelier, un Manufcrit qui a pour titre le dix-feptiéme Volume de l'Hiftoire Ecclefiaftique de Monfieur Abbé Fleury.

Je n'y ai rien, trouvé qui ne foit con forme à la Foi catholique & aux bonnes mœurs, & j'ai continué à y admirer la fincerité & l'exactitude de l'Auteur, auffibien que le fond d'érudition qu'on admire dans les volumes precedens. Fait à Paris ce premier Decembre 1713.

PASTEL, Profeffeur de Sorbone.

72

CINQUIE' ME DISCOURS

SUR

L'HISTOIRE ECCLESIASTIQUE.

I. Ecole de Paris & de Boulogne.

N des moïens dont Dieu s'eft fervi pendant les derniers temps pour conferver la faine doctrine dans fon église, a été l'institution des Univerfitez, qui ne prirent ce nom qu'au commencement du treizième fiecle, quoique quelques-unes fuffent déja prefque formées fous le fimple nom d'écoles. J'ai marqué dans le troi3. Difcours fiéme difcours la fucceffion des écoles latines, n. 21. jufqu'à la fin du dixiéme fiecle; celle de Reims étoit alors la plus fameuse ; elle continua de l'être pendant tout le fiecle fuivant, & faint Bruno en fut le principal ornement. On y peut rapporter Rofcelin de Compiègne & les deux illuftres freres Anfelme & Raoul de Laon, puifqu'ils enfeignoient dans la province de Reims.

Liv. LXVI.

n. 25.

L'école de Paris étoit celebre dès la fin du Hift. liv. dixiéme fiecle, comme on voit dans la vie de LVII.2.31. faint Abbon de Fleury qui y vint étudier ; & peut-être le féjour de nos rois, qui en firent alors leur capitale, ne contribua pas peu à Y attirer de bons maîtres. La réputation de cette école augmenta confiderablement au commen

« AnteriorContinuar »