Les voleurs,: tragédie en prose, en cinq actes;Chez la citoyenne Toubon, 1795 - 176 páginas |
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... j'ai eu l'orgueil ou plutôt le besoin de l'entreprendre . Jeune homme , cet ouvrage d'un jeune homme a allumé mon âme ; j'ai voulu éviter à cette production brûlante , l'affront d'être retouchée par une main sexagénaire ; j'ai pensé que ...
... j'ai eu l'orgueil ou plutôt le besoin de l'entreprendre . Jeune homme , cet ouvrage d'un jeune homme a allumé mon âme ; j'ai voulu éviter à cette production brûlante , l'affront d'être retouchée par une main sexagénaire ; j'ai pensé que ...
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... j'ai osé entreprendre . J'ai également profité de la littérale et excellente traduction que MM . Friedel et Bonneville ont donné de la pièce des Voleurs , dans le douzième volume du nouveau théâtre allemand ; dans nombre d'en- droits je ...
... j'ai osé entreprendre . J'ai également profité de la littérale et excellente traduction que MM . Friedel et Bonneville ont donné de la pièce des Voleurs , dans le douzième volume du nouveau théâtre allemand ; dans nombre d'en- droits je ...
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... j'ai évi- té avec le plus de soin , a été d'affaiblir l'énergie de l'original ; j'ai même cru quelquefois l'avoir augmentée . Autant que je l'ai pu du moins , je lui ai conservé son caractère étranger , et souvent gigantesquo ; j'ai ...
... j'ai évi- té avec le plus de soin , a été d'affaiblir l'énergie de l'original ; j'ai même cru quelquefois l'avoir augmentée . Autant que je l'ai pu du moins , je lui ai conservé son caractère étranger , et souvent gigantesquo ; j'ai ...
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... j'ai perdu ma patrie pour l'échanger contre le genre humain que je connaissais à peine en imagination , Un singulier mal - entendu de la nature , m'avait condamné à me faire poëte dans la ville où j'étais né ; mon penchaut pour la poé ...
... j'ai perdu ma patrie pour l'échanger contre le genre humain que je connaissais à peine en imagination , Un singulier mal - entendu de la nature , m'avait condamné à me faire poëte dans la ville où j'étais né ; mon penchaut pour la poé ...
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... j'ai prise ; je me tais sur le reste : je ne me crois permis , sous au- cun prétexte , d'en demander raison à un prince qui jusqu'à cet instant m'avait servi de père . » A présent toutes mes relations sont dissoutes ; le public est seul ...
... j'ai prise ; je me tais sur le reste : je ne me crois permis , sous au- cun prétexte , d'en demander raison à un prince qui jusqu'à cet instant m'avait servi de père . » A présent toutes mes relations sont dissoutes ; le public est seul ...
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Les Voleurs,: Tragédie En Prose, En Cinq Actes... Friedrich Schiller,Augustin François Creuzé de Lesser,Imprimerie de Glisau Et Pierret Sin vista previa disponible - 2023 |
Términos y frases comunes
Adieu affreux Allemagne âme Amélie amis assas assassins assez BERG bonheur bras brigands camarades caveau CHARLES château chef ciel cœur comte de Boëk comte de Boldork COMTE DE MOOUR courage crime d'Amélie DANIEL désespoir Dieu douleur ducats enfans Est-ce éternelle exterminer femme féroce fils forêt FRANCO FRANÇOIS frémis frère FRITZLER grace Grand-voleur GRIM GRIMM HERMAN heureux horrible j'ai j'étais jamais jette jeune homme juges l'ai l'Allemagne l'aumonier larmes Leipsick loix long-temps m'as m'est main malédiction malheureux MANN méchans MELI moi-même monseigneur MOO U R mort mourir n'ai pables pardon parler pensée père pistolet pleurer poignard portrait PRÉSIDEN prince RAATZ RAATZMANN regards reste rien ROLLE R ROSINSK sabre sais sang scélérat SCENE VII SCHOUFTER SCHOUFTERLE Schyller SCREVZER sera seul Sois sort SPIEGEL SPIEGELBERG tête théâtre tremble tribunal sanguinaire vais vengeance vengeur veux vieillard VIEUX MOO VIEUX MOOUR Vive le capitaine voilà voleurs VOYAGEUR Wetzlar yeux
Pasajes populares
Página 8 - J'écris comme citoyen du monde. Je ne sers aucun prince. De bonne heure, j'ai perdu ma patrie pour l'échanger contre le genre humain, que je connaissais à peine en imagination.
Página 70 - Que le scélérat de quelque rang qu'il soit, tremble, en apprenant qu'il existe des juges incorruptibles qui pèsent dans la même balance l'homme qui repose sous le chaume et l'homme entouré du faste de l'opulence.
Página 64 - ... vive, pour être long-tems malheureux ; si la fatalité me lie au terrible métier où elle m'a conduit, est-ce à moi de m'y opposer? Quand l'éternel dit au soleil de dessécher nos plaines , aux torrens d'inonder les campagnes dévastées; quand il ordonne aux vents brûlans de porter la mort dans nos contrées ; — s'il fait naître un de ces tyrans qui se jouent de la vie des peuples, est-ce à nous de sonder la profondeur de ses décrets, de lui demander compte des motifs de tant de désastres?...
Página 79 - Comte avait déjà répandu l'épouvante. Un vieillard poussé par la frayeur se précipite à mes pieds pour demander la vie. Dans ce moment un coup de feu qui sans doute m'était destiné , le blesse au bras; je le relève, le rassure, et luimettant dix ducats dans la main , je le fais transporter dans une maison voisine. — Si le fait n'est pu» tel , je t'abandonne ma tête.
Página 1 - Toubon, libraire sous les galeries du théâtre de la République, à côté du passage vitré, 1794.
Página 148 - Dans ce désert.... au fond de cette tour.... en proye à tous les tourmens de la vie, .... de la mort, un fils a fait enfermer ce vieillard, et. ..que sert-il de le cacher?. amis, ce vieillard est mon père.
Página 11 - Nos âmes, trempées par le malheur, sont devenue* capables de fortes émotions, se sont ouvertes aux beautés grandes, majestueuses, pittoresques; et désormais un trait sublime, un mot d'amour, et surtout un cri de douleur répondra à toutes les âmes allumées (sic). Le passage est fait de notre littérature belle, mais étroite, mais comprimée, mais molle quelquefois, à une littérature plus vaste, plus libre, plus sentimentale et surtout plus énergique. Un beau trait tuera une belle critique.
Página 43 - ... ce bras changera sur-le-champ en cadavre le premier qui tremble, hésite, ou recule ; et qu'on en fasse autant de moi , si je lèse mon serment.
Página 10 - ... que je crains, que je respecte; je ne sais quoi de sublime s'empare de moi à cette idée ! Je n'aurai pour juge que le cœur d* l'homme.
Página 38 - ... dire avec orgueil , quand je m'assieds à mon repas: ce sont mes ruses , mon courage de lion et mes veilles qui me l'ont gagné 5 être respecté des grands et des petits .... R o LLER , l'Interrompant.