Nouvelle étude sur le chant lémural: les Frères Arvales, et l'écriture cursive des Latins

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Vve E. Belin et fils, 1884 - 232 páginas
 

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Página 146 - Romains avaient exactement les mêmes opinions. Si l'on cessait d'offrir aux morts le repas funèbre, aussitôt les morts sortaient de leurs tombeaux ; ombres errantes, on les entendait gémir dans la nuit silencieuse. Ils reprochaient aux vivants leur négligence impie ; ils cherchaient à les punir, ils leur envoyaient des maladies ou frappaient le sol de stérilité. Ils ne laissaient enfin aux vivants aucun repos jusqu'au jour où les repas funèbres étaient rétablis. Le sacrifice, l'offrande...
Página i - ... hoc novies dicit nee respicit : umbra putatur 440 colligere et nullo terga vidente sequi. rursus aquam tangit Temesaeaque concrepat aera et rogat, ut tectis exeat umbra suis. cum dixit novies " Manes exite paterni," respicit et pure sacra peracta putat.
Página 151 - ... ibi sacerdotes/ clusi, succincti, libellis acceptis, carmen descindentes tripodaverunt in verba haec: Enos Lases iuvate,/ [e]nos Lases iuvate, enos Lases iuvate.
Página 6 - ... un être malfaisant, celui qu'on honorait était un dieu tutélaire. Il aimait ceux qui lui apportaient la nourriture. Pour les protéger, il continuait à prendre part aux affaires humaines; il y jouait fréquemment son rôle. Tout mort qu'il était, il savait être fort et actif. On le priait ; on lui demandait son appui et ses faveurs. Lorsqu'on rencontrait un tombeau, on s'arrêtait, et l'on disait : «toi qui es un dieu sous la terre, sois-moi propice*.
Página 151 - Priestern angestimmt wurde: ibi omn(es) lumemulia cum rafrinis acceperunt et deas unguentaverunt, et aedes clusa e(st) ; omnes foras exierunt. Ibi sacerdotes clusi, succincti, libellis acceptis, carmen...
Página 155 - Pio Felici Augusto, pontifici maximo, tribunicia potestate, consuli, patri patriae, proconsuli et Gaio Julio Vero Maxino, nobilissimo Caesari: civitas Severiana Nemetum leugae quatuor [seil, a Lopoduno].
Página 173 - Neve lue rue Marmar sins incurrere in pleores Satur fu fere Mars limen sali sta berber Semunis Alternis advocapit conctos Enos Marmor iuvato Triumpe.
Página 173 - ... vielleicht Manches daran auszusetzen haben ; aber ist denn auch die moderne Theorie vollkommen im Rechte? ich glaube nicht, kann aber hier diesen Punkt, der eine selbstständige Darstellung verlangt, nicht weiter erörtern. Nach meiner Ansicht würde also das ganze Lied so lauten: E nos Lasos iuvate Nevel verve Marmar sins incurrere in pleoris: Satur fu, fere Mars: limen sale, sta berber.
Página 146 - ... qu'elle devait aimer après les agitations et le travail de cette vie; il lui fallait errer toujours, sous forme de larve ou de fantôme, sans jamais s'arrêter, sans jamais recevoir les offrandes et les aliments dont elle avait besoin. Malheureuse, elle devenait bientôt malfaisante. Elle tourmentait les vivants, leur envoyait des maladies, ravageait leurs moissons, les effrayait par des apparitions lugubres, pour les avertir de donner la sépulture à son corps et à elle-même.

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