Le recueil du Parnasse,: ou nouveau choix de piéces fugitives en prose & en vers, Volumen1,Parte2 |
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La Jonquille ! .... Ah , ce nom me donne une va .: peur ! Revenons donc au Lys ... Eh , fi donc ! il est fade : A. force d'étre blanc ... Le Lys vous rend malade ? Passons à d'autres fleurs ... Que vous dirai - je enfin ?:
La Jonquille ! .... Ah , ce nom me donne une va .: peur ! Revenons donc au Lys ... Eh , fi donc ! il est fade : A. force d'étre blanc ... Le Lys vous rend malade ? Passons à d'autres fleurs ... Que vous dirai - je enfin ?:
Página 330
Ils sçauront que notre Art , fi fécond en merveilless Se rend maître des cours en charmant les oreilles : Qu'il peut seul exprimer , en de vives couleurs , Leurs craintes , leurs délirs , leur joye & leurs douQue tu sçais bien encor les ...
Ils sçauront que notre Art , fi fécond en merveilless Se rend maître des cours en charmant les oreilles : Qu'il peut seul exprimer , en de vives couleurs , Leurs craintes , leurs délirs , leur joye & leurs douQue tu sçais bien encor les ...
Página 353
... l'obéissance parfaite qu'il rend & qu'il fait rendre au Souverain , suit une loi supérieure aux Souverains mêmes , & ne reconnoît d'autre empire que celui de la raison & de la vérité qui l'assujettissent aux Puissances légitimes ?
... l'obéissance parfaite qu'il rend & qu'il fait rendre au Souverain , suit une loi supérieure aux Souverains mêmes , & ne reconnoît d'autre empire que celui de la raison & de la vérité qui l'assujettissent aux Puissances légitimes ?
Página 359
Il n'en est pas ainsi de l'hommage que l'on rend à la simplicité des Meurs : c'est un tribut légitime dont personne ne veut se dispenser : moins on paroît empressé à le prétendre , plus DU PARNASSE . 359.
Il n'en est pas ainsi de l'hommage que l'on rend à la simplicité des Meurs : c'est un tribut légitime dont personne ne veut se dispenser : moins on paroît empressé à le prétendre , plus DU PARNASSE . 359.
Página 409
Me trompai - je ? ta sainte fláme Fait brillerà mes yeux l'auguste vérité , Une invisible main rend le calme à mon ame , Et fixe mon cæur agité . Ma raison se réveille & reprend son empire , De mes sens révoltés la tyrannie expire ...
Me trompai - je ? ta sainte fláme Fait brillerà mes yeux l'auguste vérité , Une invisible main rend le calme à mon ame , Et fixe mon cæur agité . Ma raison se réveille & reprend son empire , De mes sens révoltés la tyrannie expire ...
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aimable Ainſi amour auſſi avoit beau beauté belle Bergere bonheur briller C'eſt cæur Cavalier charmes cher chercher Ciel corps coup couronne cours cruel Dame déja devoir Dieu Dieux digne dire Divinité doit donner doux éclat enfin eſprits eſt étoit fans fidele fiévre fils fleurs fond font fort fortune gens gloire grace guerre heureux homme j'ai jeune jour Juſtice l'Amour l'autre l'un Lettres lieu loin Loix main Maître malade malheur mieux mille monde mort n'en n'eſt Nature noble nouveau nouvelle Ouvrage paix parler peine pere perſonne petits Peuple plaiſirs pluſieurs porte premier Prince propre Public qu'à qu'en qu'un raiſon rend rendre rien s'il Saint ſans ſes ſeul ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſuis ſur tantôt tems tendre terre tête Tircis tour traits trouble trouve véritable vertu veut veux voit vrai yeux zele Zéphire
Información bibliográfica
| Título | Le recueil du Parnasse,: ou nouveau choix de piéces fugitives en prose & en vers, Volumen1,Parte2 Le recueil du Parnasse,: ou nouveau choix de piéces fugitives en prose & en vers, Etienne André Philippe de Prétot |
| Autor | Etienne André Philippe de Prétot |
| Colaborador | Antoine-Claude Briasson |
| Editor | Chez Briasson, ruë S. Jacques, à la Science., 1743 |
| Procedencia del original | Universidad de Oxford |
| Digitalizado | 13 Abr. 2007 |
| Exportar cita | BiBTeX EndNote RefMan |