Vie de Pierre Gassendi: prevôt de l'Église de Digne & Professeur de mathematiques au College royalJ. Vincent, 1737 - 486 páginas |
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... étoient pas capables de l'émouvoir ; il fçavoit aimer , & non pas hair , fon cœur étoit la droiture , la candeur , la probité même . Tel fut Pierre Gaffend * ou Gaffendi , * Gaffend étoit fon véritable nom , Bouche a mis à la tête de ...
... étoient pas capables de l'émouvoir ; il fçavoit aimer , & non pas hair , fon cœur étoit la droiture , la candeur , la probité même . Tel fut Pierre Gaffend * ou Gaffendi , * Gaffend étoit fon véritable nom , Bouche a mis à la tête de ...
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... étoient fi bien inftruits des cir- conftances de la vie de notre philofophe , Gaffendi nous apprend lui - même le con- traire dans fa lettre à Erycius Puteanus , l'an 1622. il le prie de faluer de fa part Wendelin . Il ne pourra pas fe ...
... étoient fi bien inftruits des cir- conftances de la vie de notre philofophe , Gaffendi nous apprend lui - même le con- traire dans fa lettre à Erycius Puteanus , l'an 1622. il le prie de faluer de fa part Wendelin . Il ne pourra pas fe ...
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... étoient regardés comme les pre- miers par leur profond fçavoir , & qu'ob- tenir l'amitié de ces deux - là , c'étoit obte- nir celle des autres . Ils l'aiderent de leurs lumieres & de leurs confeils . Gautier voulut l'avoir dans fa ...
... étoient regardés comme les pre- miers par leur profond fçavoir , & qu'ob- tenir l'amitié de ces deux - là , c'étoit obte- nir celle des autres . Ils l'aiderent de leurs lumieres & de leurs confeils . Gautier voulut l'avoir dans fa ...
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... étoient alors regardés comme des oracles , & il falloit être bien hardi pour ofer contredire Aristote . Son mérite lui faifoit tous les jours de nouveaux amis : un des principaux , fur Henri Dufaur de Pibrac , baron de la Fitte & de ...
... étoient alors regardés comme des oracles , & il falloit être bien hardi pour ofer contredire Aristote . Son mérite lui faifoit tous les jours de nouveaux amis : un des principaux , fur Henri Dufaur de Pibrac , baron de la Fitte & de ...
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... jamais de Dieu . Il ajoûte que fi fes principes étoient auffi vrais & auffi indubitables que ceux d'Euclyde , perfonne ne les eût rejetté ; que dès les 1624. commencemens , les Stoïciens , les Aca- demiciens , LIVRE I. 21.
... jamais de Dieu . Il ajoûte que fi fes principes étoient auffi vrais & auffi indubitables que ceux d'Euclyde , perfonne ne les eût rejetté ; que dès les 1624. commencemens , les Stoïciens , les Aca- demiciens , LIVRE I. 21.
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Términos y frases comunes
affez aftronome ainfi ajoûte auffi auroit avoient avoit Barancy Bernier c'eft c'eſt caufe chofe compofa comte d'Alais confeiller connoître d'Aix d'Epicure Defcartes Deſcartes Digne Diogene Laërce duc d'Angoulême éclypfe écrit écrivit efprit eftime éloge enfuite Epicure eſt étoient faifoit faint fans fanté fçavans fçavant fçavoir fciences feconde felon fendi fentimens fentiment feroit fervi fes amis feulement fiécle fieurs Fludd foin foit foleil folidité fous fouvent François Bernier fuis fuivant fujet furtout Gaff Gaffendi étoit Galilée Gautier Gui Patin homme ibid imprimer laiffé Lett lettre long-tems Luillier Lyon maniere Marſeille Mazaugues ment Merfenne Montmor Morin n'avoit n'eft n'étoit Naudé Neuré Nicolas Copernic obfervations ouvrage paffer parhelies parle paroître perfonne perfuadé Petri Gaffendi Peyrefc philofophie plaifir plufieurs plûtôt pouvoit préfent premiere prince profeffeur Provence raifon réponſe Serb ſon Sorb Sorbiere tems tion toûjours Tycho-Brahé Valef vuide Wendelin ככ כן
Pasajes populares
Página 364 - ... de votre bonne volonté. >> Souffrez que mes lettres interrompent » quelquefois vos méditations & votre » loifir ; je vous confulterai comme » l'oracle de la vérité pour m'éclair» cir de mes doutes, & fi vous voulez prendre la peine d'inftruire mon igno * i65».
Página 113 - Etrangers écoient ravis d'avoir trouvé un homme (î doux & fi fociable ; mais comme il ne parloit que de chofes fort ordinaires , ils ne crurent jamais...
Página 114 - ... retourna avec eux à Athènes , où il les logea chez lui. Ils n'y furent pas plutôt , qu'ils le pressèrent de les mener voir Platon. Le philosophe leur répondit en souriant : LE voici. Les étrangers surpris de n'avoir pas discerné le mérite de ce grand homme à travers les voiles de la modestie qui le couvroit , l'en admirèrent davantage....