Vie de Pierre Gassendi: prevôt de l'Église de Digne & Professeur de mathematiques au College royalJ. Vincent, 1737 - 486 páginas |
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... , & qu'il fe trom- poit très - fouvent . Baillet , dans fa grande vie de Descartes , a rapporté plufieurs traits de la vie de Gaffendi dont j'ai fait ufage : ce n'eft prefque que de lui que j'ai tiré les cir- conftances de AVERTISSEMENT .
... , & qu'il fe trom- poit très - fouvent . Baillet , dans fa grande vie de Descartes , a rapporté plufieurs traits de la vie de Gaffendi dont j'ai fait ufage : ce n'eft prefque que de lui que j'ai tiré les cir- conftances de AVERTISSEMENT .
Página 91
... Descartes , auffi - bien qu'à Gaffendi ; celui - ci fut plus facile à gagner que l'autre . Jean Jacques Bouchard Parifien , qui étoit pour lors à Rome , Holftenius , cha- noine du Vatican , & plufieurs autres fçavans d'Italie & de ...
... Descartes , auffi - bien qu'à Gaffendi ; celui - ci fut plus facile à gagner que l'autre . Jean Jacques Bouchard Parifien , qui étoit pour lors à Rome , Holftenius , cha- noine du Vatican , & plufieurs autres fçavans d'Italie & de ...
Página 93
... Descartes . Un nommé Ferrier , ouvrier d'inftrumens de mathématiques , l'ayant prié de lui écrire en fa faveur , il n'ofa le faire en droiture , mais il s'adreffa à Reneri leur ami commun ; il parle dans cette lettre latine de Defcartes ...
... Descartes . Un nommé Ferrier , ouvrier d'inftrumens de mathématiques , l'ayant prié de lui écrire en fa faveur , il n'ofa le faire en droiture , mais il s'adreffa à Reneri leur ami commun ; il parle dans cette lettre latine de Defcartes ...
Página 164
... Descartes en vers . Ce poême n'a pas vû le jour ; mais Sorbiere qui l'avoit lû , prétendoit qu'on y entendoit mieux les principes de Def cartes , l'abbé Geneft , de l'academie Françoife , & c . après cette petite digref- fion ...
... Descartes en vers . Ce poême n'a pas vû le jour ; mais Sorbiere qui l'avoit lû , prétendoit qu'on y entendoit mieux les principes de Def cartes , l'abbé Geneft , de l'academie Françoife , & c . après cette petite digref- fion ...
Página 180
... Descartes ; mais il avoit ruiné fa fanté par fes lon- gues veilles , & étoit tombé dans de grandes infirmitez . Ennuyé des lon- gueurs d'une fiévre maligne qui l'affli- geoit depuis fix mois , il s'étoit ima- giné qu'un mariage pourroit ...
... Descartes ; mais il avoit ruiné fa fanté par fes lon- gues veilles , & étoit tombé dans de grandes infirmitez . Ennuyé des lon- gueurs d'une fiévre maligne qui l'affli- geoit depuis fix mois , il s'étoit ima- giné qu'un mariage pourroit ...
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Términos y frases comunes
affez aftronome ainfi ajoûte auffi auroit avoient avoit Barancy Bernier c'eft c'eſt caufe chofe compofa comte d'Alais confeiller connoître d'Aix d'Epicure Defcartes Deſcartes Digne Diogene Laërce duc d'Angoulême éclypfe écrit écrivit efprit eftime éloge enfuite Epicure eſt étoient faifoit faint fans fanté fçavans fçavant fçavoir fciences feconde felon fendi fentimens fentiment feroit fervi fes amis feulement fiécle fieurs Fludd foin foit foleil folidité fous fouvent François Bernier fuis fuivant fujet furtout Gaff Gaffendi étoit Galilée Gautier Gui Patin homme ibid imprimer laiffé Lett lettre long-tems Luillier Lyon maniere Marſeille Mazaugues ment Merfenne Montmor Morin n'avoit n'eft n'étoit Naudé Neuré Nicolas Copernic obfervations ouvrage paffer parhelies parle paroître perfonne perfuadé Petri Gaffendi Peyrefc philofophie plaifir plufieurs plûtôt pouvoit préfent premiere prince profeffeur Provence raifon réponſe Serb ſon Sorb Sorbiere tems tion toûjours Tycho-Brahé Valef vuide Wendelin ככ כן
Pasajes populares
Página 364 - ... de votre bonne volonté. >> Souffrez que mes lettres interrompent » quelquefois vos méditations & votre » loifir ; je vous confulterai comme » l'oracle de la vérité pour m'éclair» cir de mes doutes, & fi vous voulez prendre la peine d'inftruire mon igno * i65».
Página 113 - Etrangers écoient ravis d'avoir trouvé un homme (î doux & fi fociable ; mais comme il ne parloit que de chofes fort ordinaires , ils ne crurent jamais...
Página 114 - ... retourna avec eux à Athènes , où il les logea chez lui. Ils n'y furent pas plutôt , qu'ils le pressèrent de les mener voir Platon. Le philosophe leur répondit en souriant : LE voici. Les étrangers surpris de n'avoir pas discerné le mérite de ce grand homme à travers les voiles de la modestie qui le couvroit , l'en admirèrent davantage....