Vie de Pierre Gassendi: prevôt de l'Église de Digne & Professeur de mathematiques au College royalJ. Vincent, 1737 - 486 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 72
Página
... est la vie d'un fçavant astronome , d'un profond philofophe , d'un excellent humaniste , d'un judi cieux hiftorien , & d'un habile mathématicien : à toutes ies con- noiffances que peut acquerir un homme , il joignoit toute la can- deur ...
... est la vie d'un fçavant astronome , d'un profond philofophe , d'un excellent humaniste , d'un judi cieux hiftorien , & d'un habile mathématicien : à toutes ies con- noiffances que peut acquerir un homme , il joignoit toute la can- deur ...
Página
... est dans les lettres qu'on fe peint naturellement : ces lettres font des ouvrages ad- mirables , on le trouve toûjours modefte , plein de candeur & d'honneur ; mais toûjours fça- vant . On ne vit jamais un hom- me avec tant de mérite ...
... est dans les lettres qu'on fe peint naturellement : ces lettres font des ouvrages ad- mirables , on le trouve toûjours modefte , plein de candeur & d'honneur ; mais toûjours fça- vant . On ne vit jamais un hom- me avec tant de mérite ...
Página
... garde de né- gliger . Sorbiere ne nous a donné qu'un éloge , il ne s'est point affujéti aux dates ; je l'ai redreffé quelquefois , ce qui n'empêche ǎ iiij pas que fon éloge ne foit une bonne piéce intime AVERTISSEMENT .
... garde de né- gliger . Sorbiere ne nous a donné qu'un éloge , il ne s'est point affujéti aux dates ; je l'ai redreffé quelquefois , ce qui n'empêche ǎ iiij pas que fon éloge ne foit une bonne piéce intime AVERTISSEMENT .
Página 11
... est vrai , ajoûte - t - il , que j'en ai tellement reconnu la vanité , que j'ai pris occafion d'appliquer mon efprit & de donner mon tems à de plus folides , de plus férieufes & de meil- . leures chofes ; & que j'en ai conçû un « tel ...
... est vrai , ajoûte - t - il , que j'en ai tellement reconnu la vanité , que j'ai pris occafion d'appliquer mon efprit & de donner mon tems à de plus folides , de plus férieufes & de meil- . leures chofes ; & que j'en ai conçû un « tel ...
Página 17
... est qu'il ne pouvoit croire qu'un fi grand homme fût l'auteur de tant de puerilités . Quoique ce foit fon premier ouvrage , il eft écrit avec tant de goût & de folidité , qu'il lui a acquis dans le monde fçavant , une très- grande ...
... est qu'il ne pouvoit croire qu'un fi grand homme fût l'auteur de tant de puerilités . Quoique ce foit fon premier ouvrage , il eft écrit avec tant de goût & de folidité , qu'il lui a acquis dans le monde fçavant , une très- grande ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez aftronome ainfi ajoûte auffi auroit avoient avoit Barancy Bernier c'eft c'eſt caufe chofe compofa comte d'Alais confeiller connoître d'Aix d'Epicure Defcartes Deſcartes Digne Diogene Laërce duc d'Angoulême éclypfe écrit écrivit efprit eftime éloge enfuite Epicure eſt étoient faifoit faint fans fanté fçavans fçavant fçavoir fciences feconde felon fendi fentimens fentiment feroit fervi fes amis feulement fiécle fieurs Fludd foin foit foleil folidité fous fouvent François Bernier fuis fuivant fujet furtout Gaff Gaffendi étoit Galilée Gautier Gui Patin homme ibid imprimer laiffé Lett lettre long-tems Luillier Lyon maniere Marſeille Mazaugues ment Merfenne Montmor Morin n'avoit n'eft n'étoit Naudé Neuré Nicolas Copernic obfervations ouvrage paffer parhelies parle paroître perfonne perfuadé Petri Gaffendi Peyrefc philofophie plaifir plufieurs plûtôt pouvoit préfent premiere prince profeffeur Provence raifon réponſe Serb ſon Sorb Sorbiere tems tion toûjours Tycho-Brahé Valef vuide Wendelin ככ כן
Pasajes populares
Página 364 - ... de votre bonne volonté. >> Souffrez que mes lettres interrompent » quelquefois vos méditations & votre » loifir ; je vous confulterai comme » l'oracle de la vérité pour m'éclair» cir de mes doutes, & fi vous voulez prendre la peine d'inftruire mon igno * i65».
Página 113 - Etrangers écoient ravis d'avoir trouvé un homme (î doux & fi fociable ; mais comme il ne parloit que de chofes fort ordinaires , ils ne crurent jamais...
Página 114 - ... retourna avec eux à Athènes , où il les logea chez lui. Ils n'y furent pas plutôt , qu'ils le pressèrent de les mener voir Platon. Le philosophe leur répondit en souriant : LE voici. Les étrangers surpris de n'avoir pas discerné le mérite de ce grand homme à travers les voiles de la modestie qui le couvroit , l'en admirèrent davantage....