Vie de Pierre Gassendi: prevôt de l'Église de Digne & Professeur de mathematiques au College royalJ. Vincent, 1737 - 486 páginas |
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... jugement de l'Eglife Ca- tholique , Apoftolique & Romaine , dont je fais gloire d'être l'enfant , pour » la foi de laquelle je fuis prêt à verfer » jufqu'à la derniere goute de mon fang . Je prens Dieu & fes faints Evangiles à témoin ...
... jugement de l'Eglife Ca- tholique , Apoftolique & Romaine , dont je fais gloire d'être l'enfant , pour » la foi de laquelle je fuis prêt à verfer » jufqu'à la derniere goute de mon fang . Je prens Dieu & fes faints Evangiles à témoin ...
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... jugement , il faut pouvoir la com- prendre auparavant . Il convient qu'il a été obligé d'étudier les autres écrits de Fludd , pour deviner les principes qu'il fuit & qu'il établit , & ajoûte qu'il les a réduits en un corps . Il ne lui ...
... jugement , il faut pouvoir la com- prendre auparavant . Il convient qu'il a été obligé d'étudier les autres écrits de Fludd , pour deviner les principes qu'il fuit & qu'il établit , & ajoûte qu'il les a réduits en un corps . Il ne lui ...
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... jugement . Il n'a jamais approuvé ceux qui apprennent beaucoup , non pour devenir plus fages & plus judicieux , » mais pour fçavoir davantage , & fe faire eftimer par leur mémoire : rien » n'eft plus eftimable au contraire que » d ...
... jugement . Il n'a jamais approuvé ceux qui apprennent beaucoup , non pour devenir plus fages & plus judicieux , » mais pour fçavoir davantage , & fe faire eftimer par leur mémoire : rien » n'eft plus eftimable au contraire que » d ...
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... jugement ) il parle fort modeftement de lui - même . Je ne puis , lui dit - il , me glorifier d'autre chofe , finon que jaime la « fanne vérité . Pour ce qui regarde mes fenti- „ mens fur Epicure , vous femblez crain- « dre que je n ...
... jugement ) il parle fort modeftement de lui - même . Je ne puis , lui dit - il , me glorifier d'autre chofe , finon que jaime la « fanne vérité . Pour ce qui regarde mes fenti- „ mens fur Epicure , vous femblez crain- « dre que je n ...
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... jugement , & on lui permit de retourner a Florence dans une maison de campagne , d'où on lui défendit de fortir le refte de fes jours . Gaffendi & Límaël Bouillaud furent très - fenfibles à ce malheur : celui - ci prit la plume ...
... jugement , & on lui permit de retourner a Florence dans une maison de campagne , d'où on lui défendit de fortir le refte de fes jours . Gaffendi & Límaël Bouillaud furent très - fenfibles à ce malheur : celui - ci prit la plume ...
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Términos y frases comunes
affez aftronome ainfi ajoûte auffi auroit avoient avoit Barancy Bernier c'eft c'eſt caufe chofe compofa comte d'Alais confeiller connoître d'Aix d'Epicure Defcartes Deſcartes Digne Diogene Laërce duc d'Angoulême éclypfe écrit écrivit efprit eftime éloge enfuite Epicure eſt étoient faifoit faint fans fanté fçavans fçavant fçavoir fciences feconde felon fendi fentimens fentiment feroit fervi fes amis feulement fiécle fieurs Fludd foin foit foleil folidité fous fouvent François Bernier fuis fuivant fujet furtout Gaff Gaffendi étoit Galilée Gautier Gui Patin homme ibid imprimer laiffé Lett lettre long-tems Luillier Lyon maniere Marſeille Mazaugues ment Merfenne Montmor Morin n'avoit n'eft n'étoit Naudé Neuré Nicolas Copernic obfervations ouvrage paffer parhelies parle paroître perfonne perfuadé Petri Gaffendi Peyrefc philofophie plaifir plufieurs plûtôt pouvoit préfent premiere prince profeffeur Provence raifon réponſe Serb ſon Sorb Sorbiere tems tion toûjours Tycho-Brahé Valef vuide Wendelin ככ כן
Pasajes populares
Página 364 - ... de votre bonne volonté. >> Souffrez que mes lettres interrompent » quelquefois vos méditations & votre » loifir ; je vous confulterai comme » l'oracle de la vérité pour m'éclair» cir de mes doutes, & fi vous voulez prendre la peine d'inftruire mon igno * i65».
Página 113 - Etrangers écoient ravis d'avoir trouvé un homme (î doux & fi fociable ; mais comme il ne parloit que de chofes fort ordinaires , ils ne crurent jamais...
Página 114 - ... retourna avec eux à Athènes , où il les logea chez lui. Ils n'y furent pas plutôt , qu'ils le pressèrent de les mener voir Platon. Le philosophe leur répondit en souriant : LE voici. Les étrangers surpris de n'avoir pas discerné le mérite de ce grand homme à travers les voiles de la modestie qui le couvroit , l'en admirèrent davantage....