Vie de Pierre Gassendi: prevôt de l'Église de Digne & Professeur de mathematiques au College royalJ. Vincent, 1737 - 486 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 21
Página 51
... obligé de la faire cuire pour en ôter la crudité : or fi∞ la nature avoit voulu que l'homme fe nourrît de chair cuite , elle la lui auroit préparée , comme elle a foin de lui faire cuire les fruits qui font « d'un grand goût , qu'elle ...
... obligé de la faire cuire pour en ôter la crudité : or fi∞ la nature avoit voulu que l'homme fe nourrît de chair cuite , elle la lui auroit préparée , comme elle a foin de lui faire cuire les fruits qui font « d'un grand goût , qu'elle ...
Página 74
... obligé d'étudier les autres écrits de Fludd , pour deviner les principes qu'il fuit & qu'il établit , & ajoûte qu'il les a réduits en un corps . Il ne lui ca- che pas que fi ce n'avoit pas été pour lui faire plaifir , il ne fe fût ...
... obligé d'étudier les autres écrits de Fludd , pour deviner les principes qu'il fuit & qu'il établit , & ajoûte qu'il les a réduits en un corps . Il ne lui ca- che pas que fi ce n'avoit pas été pour lui faire plaifir , il ne fe fût ...
Página 92
... obligé de le differer jufqu'au 20. Juillet 1631 . De tant de fçavans , cet Ambaffadeur n'eut pour compagnons que François Galaup de Chafteuil d'Aix , très - habile hebraïfant , qui mourut le 15. May 1644. en odeur de fainteté au Mont ...
... obligé de le differer jufqu'au 20. Juillet 1631 . De tant de fçavans , cet Ambaffadeur n'eut pour compagnons que François Galaup de Chafteuil d'Aix , très - habile hebraïfant , qui mourut le 15. May 1644. en odeur de fainteté au Mont ...
Página 201
... obligé à lui payer une fomme , ce n'avoit été que par le confeil des Prélats de l'Affemblée , que c'étoit un ufage pratiqué dans toutes les autres . Le Car- dinal ne voulut pas l'écouter : Vous êtes heureux , lui dit - il , de n'avoir ...
... obligé à lui payer une fomme , ce n'avoit été que par le confeil des Prélats de l'Affemblée , que c'étoit un ufage pratiqué dans toutes les autres . Le Car- dinal ne voulut pas l'écouter : Vous êtes heureux , lui dit - il , de n'avoir ...
Página 214
... obligé d'y revenir . Ce Traité ne vit le jour qu'en 1646 . Ses occupations journalieres , & tant d'ouvrages qu'il avoit compofez depuis fon retour , ne l'empêchoient pas de continuer fes obfervations aftronomi- ques : il en fit une à la ...
... obligé d'y revenir . Ce Traité ne vit le jour qu'en 1646 . Ses occupations journalieres , & tant d'ouvrages qu'il avoit compofez depuis fon retour , ne l'empêchoient pas de continuer fes obfervations aftronomi- ques : il en fit une à la ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez aftronome ainfi ajoûte auffi auroit avoient avoit Barancy Bernier c'eft c'eſt caufe chofe compofa comte d'Alais confeiller connoître d'Aix d'Epicure Defcartes Deſcartes Digne Diogene Laërce duc d'Angoulême éclypfe écrit écrivit efprit eftime éloge enfuite Epicure eſt étoient faifoit faint fans fanté fçavans fçavant fçavoir fciences feconde felon fendi fentimens fentiment feroit fervi fes amis feulement fiécle fieurs Fludd foin foit foleil folidité fous fouvent François Bernier fuis fuivant fujet furtout Gaff Gaffendi étoit Galilée Gautier Gui Patin homme ibid imprimer laiffé Lett lettre long-tems Luillier Lyon maniere Marſeille Mazaugues ment Merfenne Montmor Morin n'avoit n'eft n'étoit Naudé Neuré Nicolas Copernic obfervations ouvrage paffer parhelies parle paroître perfonne perfuadé Petri Gaffendi Peyrefc philofophie plaifir plufieurs plûtôt pouvoit préfent premiere prince profeffeur Provence raifon réponſe Serb ſon Sorb Sorbiere tems tion toûjours Tycho-Brahé Valef vuide Wendelin ככ כן
Pasajes populares
Página 364 - ... de votre bonne volonté. >> Souffrez que mes lettres interrompent » quelquefois vos méditations & votre » loifir ; je vous confulterai comme » l'oracle de la vérité pour m'éclair» cir de mes doutes, & fi vous voulez prendre la peine d'inftruire mon igno * i65».
Página 113 - Etrangers écoient ravis d'avoir trouvé un homme (î doux & fi fociable ; mais comme il ne parloit que de chofes fort ordinaires , ils ne crurent jamais...
Página 114 - ... retourna avec eux à Athènes , où il les logea chez lui. Ils n'y furent pas plutôt , qu'ils le pressèrent de les mener voir Platon. Le philosophe leur répondit en souriant : LE voici. Les étrangers surpris de n'avoir pas discerné le mérite de ce grand homme à travers les voiles de la modestie qui le couvroit , l'en admirèrent davantage....