mn 2 2 + mx mu ز ; d'où l'on déduit AI= AM = MC +CI= cc = max.+dm". Il faut à present trouver une seconde valeur de DE(x). Les triangles rectangles LDM, LEP, sont semblables, ayant l'angle I commun ; c'est pourquoi Mz(f). MD (m) :: LE(etox). EP =****; & ML). LD(e) :: LE (F le+x). LP="tex. Mais les triangles rectangles semblables MLD, MNB, donnent ML (f). MD (m) :: MN ( nm). BM = d'où l'on déduit BP = BM + ML-LP *ff- : ma-ex, à cause de ML" (+ff)=MD*(mm) + LD? (+ ee). Enfin les triangles rectangles BEP, BFH, sont semblables, puisqu'en ôtant des angles égaux E BF, MBf, l'angle commun MBF, les angles restans EBP, FBH, sont égaux; c'est pourquoi BP (mm-ex). EP ( oma m* ) :: BH = AG(u) - BK (6). FH = FG(X) + GH = AK(«); d'où l'on cire x = qui donne zt az tu u mn mm j 2 em +mx mnz - emz+ amn + bem * + ef - bm + ae mny + dmu dz bm C'est l'équation de la courbe que décrit le point F, (fig. 32 ), laquelle équation appartient à l’ellipse, puisque zz & puu ont le même signe +*; & le produit uz ne s'y trouvant point, * 440. 1', la ligne des coupées AG(u) est parallele au diametre* * lequel diametre est l'axe, puisque l'ordonnée FG(2) eft perpendiculaire à la ligne des coupées AG(u). 2°. DM V ) coeficient de uu, marque le raport du parametre au diametre*, & par consequent auffi le raport du quarré du second diametre au quarré du premier diametre. Quand la ligne droite de que décrit le concours des deux preiniers côtés EA, EB, est coupée par la circonfe FFff DN 439. n bm am ant en l ade + น m DN rence AMBNA; quand elle est par exemple de, l'équation devient 2h + az U U + 744 bom u =0, qui appartient T+. bde dnt en 440. à l'hyperbole par raport au diametre, parceque*— uu a le 438. signe --- ; AG est parallele à l'axe* ; puisque uz ne s'y trouve pas, & que FG(z) est perpendiculaire sur AG (u), & DM (E) 439. exprime le raport du parametre au diametre*, comme aussi le raport du quarré du second diametre au quarré du premier diametre. Quand la droite de touche la circonference AMBNA & devient de, alors les triangles MDC, CEI, MDL s'évanouissent, & il ne reste que les triangles AEI,F AG,MAN, MBN, BEP, BFH; & fi l'on fait une figure pour ce cas, on trouvera en se servant de ces triangles une équation à la parabole dans laquelle uz &uu ne se trouvent point ; ce qui 438. fait voir que AG est parallele au diametre * qui doit être l'axe, puisque FG(X) est perpendiculaire sur AG («), REMARQUE. UAND une section conique est décrite, & qu'on a une ligne droite donnée de poliţion AG parallele à l'axe; pour trouver l'axe, il n'y a qu'à mener deux perpendiculaires à AG qui se terminent de côté & d'autre à la courbe , & mener une droite par les points du milieu de chacune, ce sera l'axe, COROL LAIKE I. 446. On peut aisément mener une tangente de la courbe par N F.G. XXXII, l'un des deux poles, comme B, sans même qu'elle soit tra cée. Il faut mener par le pole A une droite AQ jusqu'à la donnée DE (on peut facilement l'imaginer, & les lignes dont on ya parler, qu'on n'a pas tracées dans la figure 32, pour éviter la confusion) qui fasse avec AB l'angle QAB =EAF; puis mener QB , & tirer par B la ligne Bf, qui fasse avec QB l'angle QBf= EBF, & cette ligne Bf fera tangente au point B : Car en imaginant la situation des deux premiers côtés AE, BE dans le temps que le second côté AF est couché sur AB, & décrit la portion de courbe infiniment petite au point B; il est clair que dans cette situation 445. QUAND l'angle BAQ est égal à EAF, & QBF = EBF, & qu'à ce II. dont cing points font donnés. 447. Comme l'on décrit une ligne droite dont on a deux points, Fra. XXXIII, un cercle dont on a trois points, on peut de même décrire par la methode precedente une section conique déterminée telle qu'on voudra; lorsqu'on en a cinq points A, B, C,G, F, il faut en joindre trois, A, B, C, par les lignes AB, AC, BC, & prendre deux de ces points A & B pour poles; mener par les autres points F,G, les lignes FA, FB, GA,GB; faire les angles FAE, GAK égaux chacun à l'angle CAD complement à deux droits de l'angle CAB; & faire l'angle FBE égal à l'angle ABG complement à deux droits de l'angle ABC, & GBK = ABC; mener la ligne droite EDK par les points E & K, où les lignes AE, BE & AK, BK se rencontrent. Si l'on fait avec des regles des angles égaux à EAF, EBF, & si faisant tourner ces angles sur les poles A & B, on fait toujours en sorte que les premiers côtés AE, BE se coupent sur la droite EDK, il est clair que le point F qui est le concours des deux seconds côtés AF, BF décrira la section conique qui passera par les cinq points donnés. Si l'un des cinq points ou une partie des cinq points étoit à A VERTISSEMENT. 448. SI I au lieu d'une ligne droite De l'on faisoit parcourir au Fig. XXX. point de concours E des deux premiers côtés AE, BE des & XXXI. angles mobiles EAF, EBF, une des sections coniques, laquelle on voudra, qui passât par l'un des poles, par exernple par A, le point de concours F des deux seconds côtés ÁF, FFff ij le point BF, décriroit une courbe du second genre, c'est à dire, dont Avertissement. fans avoir besoin d'autres ouvrages. Des COURBES QUI NE SONT PAS GĖOMETRIQUES. 449. Outre les courbes geometriques, dont les coordonnnées UTRE sont de simples lignes droites par le moyen desquelles on exprime un raport commun à tous les points de chacune de ces courbes par une équation algebrique , où les inconnues ont un nombre déterminé de dimensions; il y a une infinité d'autres courbes dans chacune desquelles il y a, comme dans les courbes algebriques, un raport commun à tous leurs points que l'Analyse exprime par une équation ; mais ce ne peut pas être en y employant de simples lignes droites pour coordonnées qui ayent entr'elles un commun raport , qui puisse être exprimé par une équation algebrique, ce seroient des courbes geometriques ; mais dans quelques-unes on se sert pour l'une ou l'autre des coordonnées, & quelquefois pour toutes les deux, de lignes courbes , comme d'arcs de cercle, ou d'arcs d'autres courbes; ou bien l'on se sert de lignes droites pour coordonnées ; mais que l'on suppose égales à des arcs de cercles ou d'autres courbes; dans quelquesunes les abcisses partent d'un même point, & les ordonnées sont des arcs de courbes; dans quelques autres les coordonnees quoiqu'elles soient des lignes droites ou des arcs de courbes, elles supposent encore la quadrature de quelques courbes, c'est à dire l'expression des coordonnées dans l'équation de ces courbes, contient l'expression de la quadrature de quelque courbe divisée par quelque ligne. Il y en a 593 , Quelques-uns appellent ces lignes mechaniques; d'autres - Quoiqu'on puisse exprimer les principales proprietés de DES LIGNES 450. Si l'on imagine que le rayon CA prolongé à l'infini, du Fic. XXXIV. cercle AED, se meut en tournant autour du centre C, en commençant au point A, & allant de A vers E, D, A, & qu'en même temps un point C parte de C, & se meuve sur le rayon CA de maniere qu'il arrive au point A en même temps que CA; la ligne CB A que décrit le point C par ce mouvement, s'appelle spirale. "Sa proprieté principale se déduit de la formation, qui est que la circonference AEDA est à un arc quelconque AED pris depuis l'origine A jul FFff iij SPIRALES. |