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ANDRONICUS, Livius, imite les Comédies Grec ques, & les fait représenter à Rome, 89. Anglomanie portée à l'excès. Modes ridicules, indécentes, 476.

Architecture. Mauvais goût qu'elle adopte, 465. ARISTOPHANE. Ses Comédies fatiriques

37.

Leur force & leur vérité, généralement applaudies, 38.

• 33•

Arts & Sciences à Rome; caufe de leur décadence, 131. Beaux Arts dégradés en France par les caprices de l'ignorante opulence, 347. ASPASIE (Courtifanne. Sa coquetterie, fes talens, fon application à l'étude & à la fcience du gouvernement, 31. Son mérite réel Son crédit, 34. Ses talens ne la fauvent pas de l'opprobre, 36. Accufée d'impiété, & défendue par Périclès, 35. Son ingratitude, 34. Athènes. Époque de fa grandeur, 25. Équité de fes jugemens dans les jeux où le génie & les talens fe difputoient entr'eux la victoire, 27. Progrès & caufe de la perfection des Arts & des Sciences à Athènes, ibid. Moment & caufes de fa décadence dans les Sciences & la Morale, 81. ATHENIENS. Leur caractère favorable aux progrès des Spectacles, 98. Avoient plus de moyens pour réuffir dans la Tragédie que les Romains, 99. AUGUSTE, Empereur. Grands & illuftres Perfonnages dont la Cour étoit compofée, 120. AVOCATS. A quel deffein ils recherchent le fuffrage de Voltaire, 399. Leur vrai caractère, ibid.

AUTEURS ANCIENS. Ont contribué à former les meilleurs Ecrivains d'entre les Modernes, 168. -Attaqués par le Bel-Efprit, 334. Leur étude trop négligée, ibid. & 337. Difputes fur les Anciens & les Modernes. Ses fuites déplorables

B.

BARDES. Poëtes, Muficiens & premiers Savans chez les Gaulois, 216. Marchoient toujours à la tête des armées. Refpect qu'on avoit pour

cux, 217.

BEAUVAIS, (M. de) ancien Evêque de Sénez; Caractère de fon éloquence & de fes discours, 313. Belles-Lettres & Goût. Principe de leur décadence, 1.

BELLOI & SAURIN. Mauvais Poëtes tragiques; ce que l'on en doit penfer, 435. Bienfances, généralement violées, 480. BOILEAU Defpréaux, l'un de Auteurs les plus eftimables de fon fiécle , 332. Idée de fes ouvrages, 333. Terraffe le Bel-Efprit, 334. Prend le parti des Anciens contre les Modernes, ibid. 335.

BOSSUET, (le grand) rétablit l'éloquence Françoife; nobleffe & majefté de fon difcours fur l'Hiftoire Univerfelle, 297. Ses Oraifons funèbres, 298. Comparé à Périclès, ibid. 299. Accufé par les Ecrivains de nos jours, den'avoir pas eu affez de Philofophic, 341.

BOURDALOUE, (le Pere) Prédicateur. Caractère & force de fes difcours, 309. Modèle des

Prédicateurs, 310.

BROTIER, (M. l'Abbé) de l'Académie des BellesLettres. C'eft à fes foins que nous devons la fuperbe édition de Tacite, dont il a réparé les lacunes, 161.

BRUMOI. (le Pere) Ce qu'il dit de la Comédie chez les Grecs, 37.

BRUNCK, (M.) prépare une édition complette du Théâtre des Grecs, 53. (Nota. Sa fuperbe & favante édition de SOPHOCLE a paru au moment

où cette Partie de mon ouvrage étoit déja im-
529
primée.
BUFFON. (M. le Comte de ) Le feul qui ait appré-
cié au jufte Ariftote, Théophrafte & Pline, &
qui les ait furpaflés, 204. Son Hiftoire Naturelle
doit être préférée, 208, 229.

Bureaux d'Efprit de nos jours. Comment on
y décide, & ce qui en résulte, 328.

C.

,

CARNÉADE & DIOGÈNE, Grecs. Donnent des
leçons de Philofophie à Rome, 85.- Caton
le Cenfeur engage le Sénat à les renvoyer, 86.
Catéchismes Philofophiques, 483. Répandent
par-tout leur doctrine pernicieufe, 484.
Catéchisme de Morale, en oppofition avec les
Catéchismes Evangéliques propofé comme
prix, dont l'Académie Françoise doit être juge,
sos. Ce que l'on en peut efpérer, 509..
CATON le Cenfeur fait fes plus douces occupa-
tions, dans fa vieilleffe, de l'étude de la langue
Grecque, 88. Eloge de fes Difcours, 102. Ses
Préceptes fur les devoirs & les connoiffances de
la vie ruftique font écrits avec autant de force
que d'élégance, 137.

CECILIUS. Bon Poëte comique, 91.
Charlatanifme & Folie. Leur empire actuel, 467.
CHARLEMAGNE, Empereur. Reftaurateur des Let-
tres, 231. Ses Capitulaires. Ecoles qu'il fait
ouvrir. Savans qu'il appelle à fa Cour, 232.
-Bien durable qu'il procure, & par quels moyens,
235. Calomnié par un Hiftorien infidèle & cy-
nique, 238. Fauffeté de l'établissement de la
Cour Weimiqu:, ou Inquifition en Veftphalie
Par ce Prince, 239.
ten des Loix établies pour la Saxe, 246.
Il pourvoit au mai

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CHEVALERIE & TOURNOIS. Leur institution, 262
Galanterie qui s'y joint, 263. Education févère
des Chevaliers dans leur enfance, 264.
Chevaliers anciens. Leur loyauté, 266. Leur
force & bravoure, ibid. Contribuent à faire
fleurir la Poéfie, 267.

-

CICERON. Son fentiment fur l'action de l'Ora-
teur, 59. Ce qu'il remarque fur Démosthène,
68. Sur les Orateurs Grecs, 76, 77. Porte
l'éloquence Romainè à fa perfection, & par
quels moyens, 107, 108.- Jugement fur fes
différens ouvrages philofophiques, 111.-Dut
aux Orateurs Grecs la perfection où il s'éleva,
113. Ridicule de fes détracteurs, à Rome, 170.
COCHIN, célèbre Avocat. Déprimé par ses foi-
bles fucceffeurs, 396, 400.- Témoignage que
lui rend M. l'Abbé Auger, Traducteur de Dé-
mofthène, 401.

COLBERT, (le Miniftre ) feconde les vues de
Louis XIV, 319. Son génie ; fes grandes vues
pour la gloire & la profpérité de la France,
320.

COLLÉ, bon Chanfonnier, 454.

Comédie à Athènes. Sa licence fatirique, 36, 39.
Défenfe d'y nonimer les perfonnes, 39. Se-
cond âge de la Comédie Grecque, 40.
Comédie Françoife, devenue trifte & larmoyante,
437. Sujets bas qu'elle adopte, 438. Pleureufe
ou indécente, 440. Auteurs qui ont confervé
le goût de la vraie Comédie, tels que Regnard,
Piron, Greffet, &c. 443.

COMMODE, Empereur. Son règne met le comble
à la corruption des Mours & des Lettres, 215,
Comtés en Allemagne. Premiers Officiers de Juftice
dans leur district, 246.

CORNEILLE, (le grand) crée & perfectionne la
langue Françoife, 187, Le premier Auteur da

fiècle de Louis XIV, 288. Ses chefs-d'œuvre,
fes études; circonftances qui donnent de l'é-
nergie à fes fentimens, 289. Sa vielleffe
chancelante, 319. Causes qui ont déterminé sa
maniere, 289, 324.

CRÉBILLON. (le Tragique) Comment il traite
la Tragédie, 344.Son ftyle peu correct,
mais énergique, & fouvent fublime, 345.
CRETELLE. M. de la ) Jugement fingulier qu'il
porte fur le Chancelier d'Agueffeau, & fur
Cochin, célèbre Avocat, 395. Son Galimatias
philofophique, 397..

D.

DACIER, (Madame) écrit pour les Anciens con-
tre les Modernes, 335.

D'AGUESSEAU. L'illuftre Avocat-Général & Chan-
celier; ce que l'on ofe dire de fon éloquence,
398.Eloge qu'il mérite, 402. Ridicule
jugement de M. de la Cretelle, qui traite cel
Grand-Homme de Philofophe timide, 403.
D'ALEMBERT. (Jean le Rond) Sa deftinée litté-
raire, 414. Ses prétentions mal-fondées, 415.

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-

--

Bureau d'Affurance qu'il tenoit, ibid. —Son
Effai fur les gens de Lettres, 416. Affecte
l'exérieur grave de la Philofophie; contribue
à l'inftitution des Eloges hiftoriques pour le prix
Académique attire la Cour & la Ville aux
Affemblées publiques de l'Académie, 417.
Décadence des Arts & Sciences à Rome; fon
époque, 169.

DÉMÉTRIUS de Phalère, change le goût de l'élo-
quence, l'altère, 77. Caractère de fon élo-
quence, ibid.
DEMOSTHENE, le premier des Orateurs.) Comment
il fe forme & furmonte les obftacles de la

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