Théatre de M. Cailhava: Arlequin Mahomet, ou Le cabriolet volant. Premiere suite du Cabriolet volant, ou Arlequin cru fou, sultane et Mahomet. Le nouveau marié, ou Les importuns; opéra-comique. La bonne fille, opéra-comique. Les causes de la décadence du théâtre, et les moyens de le faire refleurir. L'égoïsme, comédie. Discours prononcé par Molière le jour de sa réception posthume à l'Académie françoise, avec la reṕonse. Compliment d'ouverture, prononcé par Belmont, sur le théâtre de la nation, le 12 avril 1779Chez la veuve Duchesne ..., Esprit ... [et] Théoph. Barrois jeune, 1781 |
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... yeux fermés à la lumiere n'appercevoient pas la fubli mité du Comique larmoyant . Heureux & mille fois heureux le jour où le Génie qui préfide à ce genre eut pitié de mon aveu- glement ! Il a laiffé tomber fur moi une étincelle A ij ...
... yeux fermés à la lumiere n'appercevoient pas la fubli mité du Comique larmoyant . Heureux & mille fois heureux le jour où le Génie qui préfide à ce genre eut pitié de mon aveu- glement ! Il a laiffé tomber fur moi une étincelle A ij ...
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... yeux , Parlez , parlez . ARLEQUI N. Tu peux te difpenfer d'ouvrir les yeux , je n'ai befoin que des oreilles . PIERRO T. Les voilà ouvertes . ARLEQUI N. Je te fais mon confident : en conféquence , je vais te raconter mes malheurs , afin ...
... yeux , Parlez , parlez . ARLEQUI N. Tu peux te difpenfer d'ouvrir les yeux , je n'ai befoin que des oreilles . PIERRO T. Les voilà ouvertes . ARLEQUI N. Je te fais mon confident : en conféquence , je vais te raconter mes malheurs , afin ...
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... jambes s'affoiblissent , votre ferviteur mes deux jambes . - La parole s'embarraffe dans mon gozier . - -Mes deux yeux ont tiré les rideaux.- Si j'avois au moins un fauteuil pour faire des contorfions à ' 18 ARLEQUIN MAHOMET ,
... jambes s'affoiblissent , votre ferviteur mes deux jambes . - La parole s'embarraffe dans mon gozier . - -Mes deux yeux ont tiré les rideaux.- Si j'avois au moins un fauteuil pour faire des contorfions à ' 18 ARLEQUIN MAHOMET ,
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... bras eft à vous . PANTALO N. Périffe l'indigne mortel qui vous offense , & qui me fait paroître coupable à vos yeux . ( Pierrot fair des éclairs à la fenêtre . ) LA PRINCESS E. Voyez - vous ces éclairs ? Ce 46 ARLEQUIN MAHOMET ,
... bras eft à vous . PANTALO N. Périffe l'indigne mortel qui vous offense , & qui me fait paroître coupable à vos yeux . ( Pierrot fair des éclairs à la fenêtre . ) LA PRINCESS E. Voyez - vous ces éclairs ? Ce 46 ARLEQUIN MAHOMET ,
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... yeux la plus ingrate des Princesses ; mais bientôt , guidé par ma colere , je vais la punir de fes injuftes caprices . — La punir ! que dis - je ? à préfent que je fuis auprès d'elle , je fens mon courroux s'évanouir , & faire place à l ...
... yeux la plus ingrate des Princesses ; mais bientôt , guidé par ma colere , je vais la punir de fes injuftes caprices . — La punir ! que dis - je ? à préfent que je fuis auprès d'elle , je fens mon courroux s'évanouir , & faire place à l ...
Términos y frases comunes
affez Allons Amant amour ANNETTE ARGENTINE ARLEQUI ARLEQUIN auffi Auteurs BAHAMA Bahaman BAILLI befoin bonheur c'eft C'eſt cabriolet Caffem CASSEM ceffe cher CHEVALIER chofe CLERMONT CLITAN DRE CLITANDRE cœur Comédie Comédiens CONSTANCE DURAN D DURAND eſt êtes étoit fans fcène fe jette fecond fecret femme fens fentiments feroit fervir feul FLORIM FLORIMON foin foit fommes fonge font fous fouvent fuccès fuis fur-tout ganchou gens grace j'ai j'en JEANNOT l'y afoir laiffer Madame Mahomet maître MARQUIS MARTON MÉDECIN DE CHIENS MME FLORIMO Moliere Monfieur Musco n'eft n'eſt oncle OPÉRA-COMIQUE paffe PANTALON paroître penfe pere perfonnes PHILEM PHILEM O PHILEMON Pieces PIERROT plaifir plufieurs POLIDOR préfent premiere Princeffe PRINCESSE raiſon reconnoiffance refforts refte rien Rofette ROSETTE SCAPIN SCENE VII ſes SIMON SIMONIN ſon SUZON TAILLE FER TAILLEFER Tartuffe Théâtre Troupe vais veux vîte voilà vois
Pasajes populares
Página 471 - Meilleurs , le fouvenir de ce que vous avez fait pour la gloire du théâtre de la nation , c'eft le feul hommage que nous puiffions vous rendre ; employer tous nos foins pour mériter les bienfaits dont vous avez comblé nos prédéceffeurs , c'eft le feul tribut que nous puiffions vous promettre.