Maximien: tragédieChez Le Breton, 1738 - 91 páginas |
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... erreur , je voulois empêcher , L'affaffinat affreux que fa rage médite . ⠀- ~ FAUSTA . Je ne fçais que penfer , je demeure interdite . AURELE . Votre cœur incertain se trouble & fe confond : J'interpréte aisément ce filence profond ...
... erreur , je voulois empêcher , L'affaffinat affreux que fa rage médite . ⠀- ~ FAUSTA . Je ne fçais que penfer , je demeure interdite . AURELE . Votre cœur incertain se trouble & fe confond : J'interpréte aisément ce filence profond ...
Página 14
... erreur n'a jamais abandonné fon cœur : Voilà de tous nos maux la déplorable source , A préfent que mon Pere eft fans autre reffource Tout lui paroît permis , il céde au défespoir . EUDOXE . Vous connoiffez la loi d'un rigoureux devoir ...
... erreur n'a jamais abandonné fon cœur : Voilà de tous nos maux la déplorable source , A préfent que mon Pere eft fans autre reffource Tout lui paroît permis , il céde au défespoir . EUDOXE . Vous connoiffez la loi d'un rigoureux devoir ...
Página 15
... erreur , je fais un parricide . Je m'y perds ; cependant il faut que je décide .... Grand Dieu ! c'eft à toi feul à me déterminer , De tes rayons divins daigne m'illuminer . M'abandonneras - tu ? Non , je ne le puis croire : Le fujet de ...
... erreur , je fais un parricide . Je m'y perds ; cependant il faut que je décide .... Grand Dieu ! c'eft à toi feul à me déterminer , De tes rayons divins daigne m'illuminer . M'abandonneras - tu ? Non , je ne le puis croire : Le fujet de ...
Página 24
... erreurs & de travaux , Affez de vains lauriers ont furchargé ma tête , Le mépris des grandeurs conquête . vaut mieux que leur Le tems a découvert à mes yeux enchantés , Le néant de ces biens , fi fauffement vantés ; Leur éclat déformais ...
... erreurs & de travaux , Affez de vains lauriers ont furchargé ma tête , Le mépris des grandeurs conquête . vaut mieux que leur Le tems a découvert à mes yeux enchantés , Le néant de ces biens , fi fauffement vantés ; Leur éclat déformais ...
Página 25
... plus , laiffez couler vos larmes ; Je fçais où vous puifez ces indignes allarmes : Mon ennemi triomphe , & caufe votre effroi ; Il fe venge à la fois , & de vous & de moi . C Quelle prévention , quelle erreur eft la vôtre ? Ma TRAGEDI E.
... plus , laiffez couler vos larmes ; Je fçais où vous puifez ces indignes allarmes : Mon ennemi triomphe , & caufe votre effroi ; Il fe venge à la fois , & de vous & de moi . C Quelle prévention , quelle erreur eft la vôtre ? Ma TRAGEDI E.
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Términos y frases comunes
affez affreux aifément Ainfi ALBIN allarmes Allez amour auffi AURELE aveu C'eft C'en eft C'eſt cœur complice CONSTANTIN coupable crime criminel cruel d'Aurele deffeins déformais deftin deſtinée Diadême Dieux Diocletien dis-je dois DOMI MINA NUS Eft-ce eft-il ennemi Epoux eſpoir eſt êtes EUDOXE Expofant facrifier fang fans ceffe fatal Faufta FAUSTA fçais fçait fçaurai fçavez fecret fenfible fens feroit fervir feul fignaler Fille foibleffe foient foin foit fombre font foupçons fource fous fouvent frémis fuis fuivi fuivre fujet funefte funeſte fupplice fuprême fureur gloire Hélas Hymen inftant inftruite j'ai Jufte Ciel l'amour l'Empereur l'Impératrice laiffe m'en Madame mains malheureux Maurice MAXIMIEN mortel n'eft néceffaire NUS TIO ILLU paroître parricide Pere perfide pitié pleurs pourroit préfent premiere Puis-je PULCHERIE Qu'ai-je reconnoiffance refte regner s'eft SCENE VII Seigneur ſon tems tendreffe traître trépas trifte Trône vengeance venger veux vois vous-même yeux ZAHAROFF FUND
Pasajes populares
Página 44 - Repandront dans les coeurs toute leur barbarie. Il n'arrive que trop que le zéle irrité, Combat mieux pour l'erreur que pour la vérité. Cependant vous vivez parmi ces Infidèles: Voilà ce qui me livre à des frayeurs mortelles. Je vous vois entouré de tous vos ennemis, Ils font auprès de vous également admis ; ït votre Garde même en eft toute remplie": A qui confiez-v»us le fbin de votre viô ? N'eft-elle qu'à vous feul pour l'expofer ainfî ? CONSTANTIN.
Página 57 - S'allume dans mon cœur, & coule dans mes veines; Non, je n'écoute plus des remontrances vaines : Je m'abandonne à vous tranfports impétueux , De l'amour qu'on outrage enfans tumultueux. Oui, je mettrai le comble à mon malheur extrême: Bornons tous nos defirs à la grandeur fuprême Inutiles grandeurs dont j'étois fi charmé, Tout reçoit fon éclat du bomheur d'être aimé ; Je l'étois d'une Epoufe & d'un ami fidèle....