Oeuvres complètes: avec la traduction en français

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Firmin Didot Frères, Fils et Cie, 1869 - 869 páginas
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LE REMEDE D'AMOUR, traduction nouvelle
LES COSMÉTIQUES , fragment; traduction
LES HALIEUTIQUES, fragment;
LES MÉTAMORPHOSES, traduction nouvelle
par MM. Louis Puget, Th. GuiarcI, Chevriau et
Fouquicr 254
Lettre X, àMacer 780
Lettre XI, à Rutïn 78,"
Livreih 788
Lettre I", à sa femme Ibid.
Lettre II, à Cotta 792
Lettre III, à Fabius Maximus : 794
Lettre IV, à Rufin 797
Lettre V, a Maxime Cotta 799
Lettre VI, à un ami 800
Lettre VII, à ses amis 802
Lettre VIII, a Maxime 805
Lettre IX, à Brutus Ibid.
LivKr. IV 806
Lettre I", à Scxtus-Pompée Ibid.
Lettre H, "a Sévère 807
Lettre III, à un ami inconstant 808
Lettre IV, à Sextus-P.ompée 809
Lettre V, au même 810
Lettre VI, à Brutus 842
Lettre VII, à VesUlis 845
Lettre VIII, à Suillius 844
Lettre IX, à Graecinus 816
Lettre X, à Albinovanus 819
Lettre XI, à Gallion 824
Lettre XII, à Tuticanus 822
Lettre XIII, à Carus 825
LettreXIV, à Tuticanus 824
LrttreXV, à Sexlus-Pompée 826
Lettre XVI, à un envieux 827
CONSOLATION A LIVIE-AUGUSTA, sur la mort de Drusus-Néron, son fils;
L'IBIS, traductioii nouvelle par le même 845
LE NOYER,
ÉPIGRAMMES sur les Amours et les Métamor-
phoses $74
 

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Página 88 - Tu nous aurais fourni des rimes à milliers. Il n'est plaine en ces lieux si sèche et si stérile Qui ne soit en beaux mots partout riche et fertile. Là plus d'un bourg fameux par son antique nom Vient offrir à l'oreille un agréable son. Quel plaisir de te suivre aux rives du Scamandre...
Página 243 - Amphitrite. utque erat et tellus illic et pontus et aer, sic erat instabilis tellus, innabilis unda, lucis egens aer: nulli sua forma manebat, obstabatque aliis aliud, quia corpore in uno frigida pugnabant calidis, umentia siccis, mollia cum duris, sine pondere habentia pondus.
Página 372 - Medioque ut limite curras, Icare, ait, moneo : ne, si demissior ibis, Unda gravet pennas ; si celsior, ignis adurat. Inter utrumque vola : nec te spectare Booten, Aut Helicen jubeo, strictumve Orionis ensem. Me duce, carpe viam.
Página 30 - Postquam desierant vela videre tua ? Aut ego diffusis erravi sola capillis, Qualis ab Ogygio concita Baccha deo : Aut mare prospiciens in saxo frigida sedi, Quamque lapis sedes, tam lapis ipsa fui.
Página 99 - Phoebo aut ubi nox abiit nee tamen orta dies. ilia verecundis lux est praebenda puellis, qua timidus latebras speret habere pudor. ecce, Corinna venit, tunica velata recincta, Candida dividua colla tegente coma, qualiter in thalamos formosa Sameramis isse dicitur et multis Lais amata viris.
Página 85 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Página 357 - Tirynthe traîna Cerbère attaché à des liens de fer; malgré sa résistance, il lui fit voir la lumière du jour dont ses regards obliques fuyaient les rayons éclatants. Dans les transports de sa rage terrible, le monstre remplit en même temps les airs de ses triples aboiements et répandit une écume blanchâtre sur la verdure des campagnes; une plante en naquit, dit-on, qui, puisant dans le sein de la terre un aliment fécond, acquit en grandissant une vertu funeste. Comme sa tige vigoureuse...
Página 146 - quid', ait, 'tibi sunt mea damna dolori? me tenuit moriens deficiente manu.' si tamen e nobis aliquid nisi nomen et umbra restat, in Elysia valle Tibullus erit. obvius huic venies hedera iuvenalia cinctus tempora cum Calvo, docte Catulle, tuo ; tu quoque, si falsum est temerati crimen amici, sanguinis atque animae prodige Galle tuae.
Página 306 - Le» dieux ont exaucé sa prière : leurs deux corps réunis n'en forment plus qu'un seul : comme on voit deux rameaux attachés l'un à l'autre croître sous la même écorce et grandir ensemble, ainsi la Nymphe et le berger, étroitement unis par leurs embrassements, ne sont plus deux corps distincts : sous une double forme, ils ne sont ni homme ni femme : ils semblent n'avoir aucun sexe et les avoir tous les deux.
Página 45 - Ma taille est petite : mais j'ai un nom qui peut remplir toute la terre; c'est la taille de mon nom que je porte moi-même.

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