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teur d'une Hydriatique, c'est-à-dire d'un traité des eaux médicinales, Dilinga, 1568, in-8°; l'Histoire de la dent d'or et du jugement qu'on en doit porter, Francfort, 1597, in-8°, etc. RUMPHIUS (GEORGES-EVERARD), né en 1627, était docteur en médecine de l'université d'Hanau, et de l'académie des curieux de la nature. Il passa à Amboine, où il devint consul et ancien marchand, ce qui ne l'empêcha pas d'employer ses momens de loisir à la recherche des plantes du pays, quoiqu'il n'eût jamais pris de leçons de botanique. Cette science avait tant d'attraits pour lui, qu'il y devint habile de lui-même. Quoiqu'il eût perdu la vue à l'âge de 43 ans, au goût et au toucher il connaissait la nature et la figure de la plante. Il réunit en douze livres ce qu'il avait ramassé de plantes du pays où il s'était établi, et les dédia, en 1690, aux gouverneur et conseil de la compagnie des Indes. Ils ne furent cependant pas imprimés alors; mais Jean Burman les mit au jour, depuis 1740 jusqu'en 1750, en 6 vol. in-fol., qui ont ordinairement des titres de 1751, sous le titre d'Herbarium Amboinense, en 1755. Burman y joignit un Auctuarium avec la table, qui se relient ordinairement à la fin du tome 6. Cet ouvrage comprend 702 planches, y compris le frontispice gravé, deux portraits, les nos 84 et 107 du tome 3, qui sont doubles; le no 90 du tome 5 qui manque, et le no 75 du même vol. qui est double. On a encore imprimé de Rumphius, Imagines piscium testaceorum, Leyde, 1711, in-fol.. réimprimé en 1739; la première est recherchée pour les figures. Rumphius avait fait l'histoire politique d'Amboine; mais elle n'a pas vu le jour. On en conserve un exem plaire dans le dépôt de la compagnie des Indes à Amsterdam, et un à Amboine.

RUNGIUS (DAVID), savant théologien luthérien, né en Poméranie en 1564, enseigna la théologie à Wittemberg avec beaucoup de réputation, et assista au colloque de Ratisbonne en 1601. Il mourut en 1604. On a de lui des Commentaires sur la Genèse, l'Exode, le Lévitique, les deux Epitres aux Corinthiens, l'Epitre de saint Jacques, etc.

RUPERT. Voy. ROBERT DE BAVIÈRE. RUPERT (SAINT), évêque de Wormes, alla prêcher la foi dans la Bavière, sur la fin du 7e siècle, et y convertit Théodon, duc de Bavière, qu'il baptisa avec un grand nombre de personnes de toutes sortes de conditions. Quelque temps après il fixa son siége épiscopal à Jevave, ville que l'on appelle aujourd'hui Salzbourg. Il mourut le 25 mars 718. Il descendait du sang royal de France.

RUPERT, pieux et savant bénédictin du 12° siècle, né dans le territoire d'Ypres, fut abbé de Deutsch, et s'acquit une grande réputation par sa piété, par sa science et par ses ouvrages. Il mourut le 11 février 1135, à 44 ans. On a de lui 10 des Commentaires sur l'Ecriture sainte, dans lesquels il traite diverses questions de théologie, selon la méthode scolastique, 20 un traité De Officiis, qui est regardé comme son principal ouvrage; 3° un grand traité de la Trinité, et plusieurs autres livres. Toutes les œuvres de Kupert ont été imprimées à Paris en 1638, cn 2 vol. in-fol., et à Venise, 1748 à 1752, 4 vol. in-fol.

RUPERT (CHRISTOPHE-ADAM), né à Altorf en 1610, était bon poète, bon orateur et bon historien. Il fut pendant neuf ans professeur en histoire à Altorf, et y mourut en 1647.

11 a

composé des Commentaires sur Florus, Velleius Paterculus, Salluste, Valère Maxime, etc. On a aussi de lui Mercurius epistolicus et oratorius ; Orator historicus, etc.

RUSBROCH ou RUSBROECH (JEAN), prieur des chanoines réguliers de saint Augustin, au monastère de Groenendall, près de Bruxelles, prit son nom du lieu de sa naissance, qui est un village sur la Senne, entre Halle et Bruxelles. Il s'occupa tellement de la méditation, et s'acquit une telle réputation par ses ouvrages de spiritualité, qu'il fut surnommé le très-excellent contemplatif et le docteur divin. Il mourut le 2 décembre 1381, à 88 ans. La meilleure édition de ses œuvres, traduites de flamand en latin, par Laurent Surius, chartreux, est celle de Cologne, 1692, in-4o, où l'on trouve sa vie, composée par Henri de Pomère; elles ont fait du bruit dans l'affaire des quiétistes.

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RUSCA (ANTOINE), théologal de Milan, mort en 1645, et l'un des savans attaches à la bibliothèque Ambroisienne, par Frédéric Borromée, a donné De inferno et statu dæmonum, ante mundi exitium, Mediolani, 1621, in-4o,

rare.

RUSCA (CHARLES-FRANÇOIS), habile peintre en portraits, né à Lugano en 1701, mourut à Milan en 1769.

RUSCONI (CAMILLE), célèbre sculpteur, né Milan, s'est établi à Rome, où il est mort en 1728. Le tombeau de Grégoire XIII, à Saint-Pierre, et celui du prince Sobieski aux Capucines, qu'il a orné desculptures, sont admirés avec justice.

RUSH WORTH (JEAN), écrivain anglais, célèbre par ses recueils historiques de tout ce qui s'est passé dans les parlemens depuis 16 8 jusqu'en 1644, en 6 vol. in-fol. It descendait d'une bonne famille du Northumberland. 11 naquit vers 1607, devint en 1643 secrétaire de Thomas Fairfax, général des troupes du parlement, et eut divers autres emplois; mais après la dissolution du dernier parlement, il vécut obscurément à Westminster et fut ensuite constitué prisonnier pour deltes. 11 mourut dans sa prison, au bout de 6 ans, en 1690, à 83 ans.

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RUSSEL (GUILLAUME, lord), fut un des nouveaux ministres choisis par le roi en 167, et en 1680 il fut élu député au parlement par le comté de Bedford. Charles I n'avait point d'enfans; le duc d'Yorck professait la religion romaine. Le lord Russel, attaché jusqu'au fanatisme à la religion protestante, fit tout son possible pour faire passer à la chambre haute le bill d'exclusion, que la chambre basse avait porté contre le duc d'Yorck. Ce parlement et un suivant, cassés avaient anéanti le bill; mais les esprits n'en étaient pas plus modérés. Le lord Russel fut accusé de haute trahison, comme ayane projeté d'attenter à la vie du roi, et fuc décapité le 2: juillet 1683.

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RUSSIE. Ses souverains sont peu connus jusqu'à Jean Basilowitz, qui affranchii sa nation de la domination des Tartares, et jeta les fondemens da puissant empire de Russie. Ce fat lai qui prit le titre de czar. Il régna depuis 1450 jusqu'en 1505,

Basile Iwanowitz. Jean Basilowitz. Fodor Bosirowitz. * Boris Godounove, depuis jusqu'à. Basile Kusiri, usurpaleur. Dimitri ou Demetrius, im

*

posteur. Dimitri, impostcur,

gne.

1533

1584

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1605

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1598

1605

¿ 1606

1606

1610

Vladislas, prince de Polo

1613

1611

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Dimitri IP, imposteur.
Michel Foderowits.

Alexis Michaelowits.

Fodor Alexiowitz.

Iwan et Pierre ler, ensemble. * Pierre ler, seul. * Catherine.

Pierre 1.

* Anne Iwanowa

*

Catherine Alexiewna.

Voyez l'Histoire universelle de Puffendorf; les différentes Histoires da czar Pierre les Lois et Consilivions de la czarine Catherine 11, 1775, in-4°, ou 2 vol. in-12.

RUST GEORGLS), se rendit habile dans la connaissance de l'Eritare sainte, des saints Pères et de l'histoire ecclesiastique. Il devint ensuite doyen de Connor, puis évêque de Dromore en Irlande. I mourut jeune, au mois de décembre 1670. On a de lai quelques ouvrages

RUSTICI (JEAN-FRANÇOIS), habile sculpteur du 6e siècle, natif de Florence, vint se fixer en France en 1528, et fut employé par Francois Ier à plusieurs ouvrages considérables. Ses statues sont la plupart en bronze, et les connais eers en font grand cas.

RUTGERS (Janus), conseiller du roi de Sacde, né à Dordrecht, mort à la Baie en 625, à 36 ans, a commenté dérens auteurs anciens, et a donné l'aria lectiones, 6.8 in-4° des Poésies latines, avec celles d'Aleinsius, Elzévir, 1653, in-12.

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pèro d'Isaïe, et aïeul de David. Voyez NOLM.

RUTH D'ANS (PAUL-ERNEST), né à Verviers, ville du pays de Liége, le 23 février 1653, d'une famille patricienne, après avoir pris le degré de bachelier à Louvain, viut à Paris, et s'attacha à M. Artauld, dont il suivit les cousei's, et avec lequel il ia uue étroite amitié. Il assista à la mort de ce célèbre docteur en 1694, et il apporta son cœur à Port-Royal- desChamps le 9 novembre de la mème année. Ce fut dans cette cérémonie qu'il fit le discours français que l'on trouve sous le nom de M. Guelphe, dans l'abrégé de la vie de M. Arnauld, par le père Quesnel. M. Ruth d'Aus ayant été cxilé dans les Pays-Bas par une lettre de cachet le 17 janvier 1704, M. de Précipiano, archevêque de Malines, l'accusa d'hérésie; mais il s'en justifia par une Apologie, et par une Lequête à M. le marquis de Bedmar. If alla aussi exprès à Rome pour se justifier auprès du pape innocent X11, qui le reçut favorablement, le fit protono taire apostolique, voulut qu'il prit le bonnet de docteur en théologie an college de la Sapience à Rome, ei te déclara innocent per un bref quil lui donna. M. Fath d'Ans mourut à Bruxelles le 24 février 728. Il était aumonier de madame la duchesse de Bavière, chanoine de Sainte-Gudule à Bruxelles, et doyen de église cathédrale de Tournai. C'est lui qui a composé le foe et le 1 vol. de l'Année chrétienne de M. Le Tourneux. 11 est encore auteur de quelques autres ouvrages.

RUTHERFORTH (THOMAS), né le 13 octobre 1712, fut de la société de Spalding, à laquelle il communiqua un nouveau miroir concave, et diférens instrumens de mathématiques, dont on trouve la description dans les Mémoires de cette société. 11 a publié, en outre, Essai sur la nature et les obligations de la vertu, 1744, in-8°; Système de philosophe naturelle, 1748, 2 vol. in-40; des Sermons, etc. Il est mort le 5 octobre 1771, et a laissé des enfans. On lui a élevé un monument avec une épithaphe dans l'église de Barley, dont il était curé.

RUTILIE, célèbre dame romaine, sœur de Publius Rufus, qui souffrit

constamment l'injustice de son exil, et femme de Marcus-Aurélius Cotta, ent un fils de grand mérite, qu'elle aima tendrement, et dont elle sup→ porta la perie avec beaucoup de couruge. Ce fils s'appelait Caïus - Aurélius Coita. Il ctait grand orateur, et fut consul 72 ans avant J.-C. Sénèque propose ceite vertueuse dame pour exemple, dans le livre qu'il écrivit, pendant son exil, pour consoler sa mère.

RUTILIUS (CLAUDIUS-NUMATIANUS GALLOS), homme d'un grand savoir et d'une grande réputation, était préfet de Rome, lorsque cette ville fut prise par Alaric en 410. On a de lui un Itinéraire en vers élégiaques, dans lequel il se déchaine contre les solitaires et contre les juifs, en faveur du paganisme. La meilleure édition de cet Itinéraire est celle d'Amsterdam, 1686, in-12, avec les notes de plusieurs savans, ou dans Poetæ laiini minores, Leyde, 1731, 2 vol. in-4°. On croit que ce célèbre écrivain était natif de Toulouse. M. Le Franc l'a traduit en français avec des notes.

RUVEREUS. Voy. RONÈKE.
RUVIGNY. Voy. GALIOWAI.

RUYSCH (FRÉDÉRIC), l'un des plus savans anatomistes, médecins et naturalistes qui aie at paru en Hollande, naquit à la Heie le 23 mars 1638, d'une bonne famille; il y pratiqua la médecine avec succès et fut appelé à Amsterdam en 1665 pour y être professeur en anatomic. Il y exerca cet emploi avec une réputation extraordinaire, et fit dans l'anatomie plusieurs découvertes importanics. C'est lui en particulier qui est comme l'inventeur de l'art de préparer et de conserver les cadavres. Il fut reçu de l'académie des sciences de Paris en 727, et mourut à Amsterdam le 22 février 1731, à 93 ans. On a de lui un grand nombre de savans ouvrages, Amsterdam, 1737, 4 vol. in-4°. Les principaux sont Dlucidatio valvularum in vasis limphaticis et lacteis; Thesaurus animalium primus; Description du jardin des plantes d'Amsterdam; de Commelin, 1697 et 1701, 2 vol. in - fol., figures. Il avait un très-beau cabinet d'histoire naturelle. Henri Ruysch son fils, mort en 1727, fut aussi un habile médecin, savant dans l'histoire naturelle, dans l'ana

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tomie et dans la botanique. Il a donné le Jonsthon de Animalibus, sous le titre de Theatrum animalium, 1718, 2 vol. in-fol., augmenté.

RUYTER (MICHEL-ADRIEN), né à Flessingue en 1607, d'un bourgeois de cette ville, fut successivement matelot, contre-maître, pilote, capitaine de vaisseau, commandeur, contreamiral, vice-amiral,et enfin lieutenant amiral-général, qui est la plus haute dignité à laquelle il pouvait aspirer, celle d'amiral étant attachée à la gualité de gouverneur de Hollande. Ruy ter se signala en diverses occasions. Il secourut les Portugais contre les Espagnols, s'acquit une gloire immortelle devant Sale, combattit plusieurs fois les Anglais, prit quantité de vaisseaux turcs avec le fameux renégat Amand de Dias, qu'il fit pendre en 1655. Il alla, en 1659, au secours du roi de Danemarck contre les Suédois, et donna des marques d'une valeur extraordinaire dans l'ile de Funen, ce qui le fit annoblir lui et toute sa famille. Il mit à la raison les corsaires d'Alger en 1661, prit un grand nombre de vaisseaux sur la côte de Guinée en 1665, et remporta une victoire considérable sur les Anglais en 1666. Tant de belles actions le firent élire, la même année, lieutenant- amiral-général. Il continua de se signaler jusqu'en 1676, qu'il fut blessé mortellement d'un coup de canon, dans un combat qu'il donna aux Français devant la ville d'Agouste en Sicile. Il mourut de sa blessure peu de jours après. Son corps fut porté à Amsterdam, où les états-généraux lui firent dresser un superbe monument. Sa vie, écrite en flamand par Gérard Brand, in-fol., a été traduite en français.

RUZANTES (LE). Voyez BEOLCUS. RYAN (LACY), gentilhomme anglais, né à Westminster en 1694, manifesta de bonne heure son inclination pour le théâtre. En 1710 il fut introduit dans la compagnie de Hay-Market, et mourut en 1771. L'opéra du Savetier, en un acte, est de lui; il a eu part à plu

sieurs autres.

RYCKAERT (DAVID), peintre d'Anvers, où il était né en 1615, devint directeur de l'académie en 1651; s'étant occupé de sujets rians et toujours piquans, on ne sait pourquoi, à

l'âge de cinquante ans, il n'a plus fait que des diableries dégoûtantes, telles que la tentation de saint Antoine, qu'il a répétée plusieurs fois. Ses tableaux de ce genre ne furent pas moins recherchés que les autres.

RYCKEL. Voy. DENYS.

RYCKIUS (THÉODORE ), avocat à la Haie, et ensuite professeur en histoire à Leyde, mourut en 1690. Il a donné une excellente édition de Tacite Leyde, 1687, 2 vol. in-12; de Stephanus Bisantinus, 1684, in-fol. On trouve dedans sa dissertation De primis Italiæ colonis.

RYER (ANDRÉ DU), sieur de Malesair, né à Marcigny dans le Mâconnais, fut gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, et chevalier du SaintSépulcre, dans le 17e siècle. Il séjourna long-temps à Constantinople pour le service du roi, et fut consul de la nation française en Egypte. Il apprit les langues turque et arabe, et mourut après son retour en France. On a de lui 1o une Grammaire turque en latin, Paris, 1630, in-4; 2o une traduction française de l'Alcoran (Elzévir), 1649, in-12, Amsterdam, 1770, 2 vol. in12, qui n'est point estimée, et dans laquelle il a mêlé mal à propos les rêveries des commentateurs mahométans avec le texte de Mahomet; 3o une traduction française de Gulistan, ou de l'Empire des roses, composé par Sadi, prince des poètes turcs et persans, Paris, 1634, ‘in-8°. Gentius a traduit le même livre en latin sous le titre de Rosarium politicum.

RYER (PIERRE DU), fameux historiographe du roi, et l'un des quarante de l'académie française, était né à Paris en 1605, d'Isaac du Ryer, dont on a quelques poésies pastorales, et qui mourut vers 1631. Il s'acquit de la réputation par ses traductions,quoi. qu'elles fussent peu exactes, parce qu'étant aux gages des libraires il n'avait pas le loisir de les rendre parfaites. Du Kyer fut pourvu d'une charge de secrétaire du roi en 1626; mais ayant fait un mariage peu avantageux, il vendit cette charge en 1633. Il devint ensuite secrétaire de César, duc de Vendôme, eut un brevet d'historiographe de France avec une pension sur le sceau, et mourut à Paris le 6 novembre 1658, à 53 ans. On a de lui

des traductions françaises d'un trèsgrand nombre d'ouvrages. Le style de du Ryer est pur et coulant ; il écrivait avec une grande facilité en vers et en prose; et l'on ne peut douter qu'il ne fût capable de donner d'excellens ouvrages au public, si la nécessité de fournir aux dépenses de sa famille ne lui eût ôté le temps et le loisir de les perfectionner. Il a fait aussi dix-neuf tragédies; on se souvient encore d'Alcyonée, de Saül et de Scévole.

RYMER (THOMAS), fut chargé par la reine Anne de mettre au jour les traités des rois d'Angleterre avec les

autres puissances. Ils parurent sous ce titre Fœdera, conventiones, et cujuscumque generis acta publica, etc., Londres, 1704 et suiv., 17 vol. in-fol. Sanderson y en joignit trois autres en 1726. Le tout a été réimprimé à Londres en 1727 et suiv., 20 vol. in-fol., et à la Haie, 1739 et suiv., 10 vol. in-fol. Cette dernière est plus ample et de plus petit caractère.

RYSSEN (LÉONARD), s'est fait connaître par sa Justa detestatio libelli Beverlandi de Peccato originali, 1680, in-8°, peu commun.

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