Histoire romaine, depuis la fondation de Rome jusqu'à la bataille d'Actium, c'est-à-dire jusqu'à la fin de la République, Volumen1chez la veuve Estienne [puis], 1739 |
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... forcé à fe ren- . dre habile dans l'art militaire quand même il n'y auroit pas été porté par fon inclination naturelle .. Il ne vint à bout de les foumettre que par la patience & les ména gemens , moins attentif à les dom- ter par la force ...
... forcé à fe ren- . dre habile dans l'art militaire quand même il n'y auroit pas été porté par fon inclination naturelle .. Il ne vint à bout de les foumettre que par la patience & les ména gemens , moins attentif à les dom- ter par la force ...
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... forces . C'eft cet objet qui doit faire une des principales parties de l'étude de l'Hiftoire Romaine , parce qu'el- le en eft l'ame ; & que la vûe des dar- dattes , des faits , des fiéges , des batailles VI PREFACE .
... forces . C'eft cet objet qui doit faire une des principales parties de l'étude de l'Hiftoire Romaine , parce qu'el- le en eft l'ame ; & que la vûe des dar- dattes , des faits , des fiéges , des batailles VI PREFACE .
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... forces de l'Etat . Cependant le contraire arriva , & elles ne fer- virent qu'à conferver & à affermir la liberté . Si l'autorité avoit été toute entiére entre les mains du Sé- nat , elle auroit pu dégénérer bien- tôt en tyrannie & en ...
... forces de l'Etat . Cependant le contraire arriva , & elles ne fer- virent qu'à conferver & à affermir la liberté . Si l'autorité avoit été toute entiére entre les mains du Sé- nat , elle auroit pu dégénérer bien- tôt en tyrannie & en ...
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... force étran- gére . Il arrivoit que fouvent d'un a Multitudo omnis , ficut natura maris , per fe immobilis eft : venti & auræ cient . Ita aut tranquillum aut pro- cellæ in vobis funt , & côté caufa atque origo om- nis furoris penes auc ...
... force étran- gére . Il arrivoit que fouvent d'un a Multitudo omnis , ficut natura maris , per fe immobilis eft : venti & auræ cient . Ita aut tranquillum aut pro- cellæ in vobis funt , & côté caufa atque origo om- nis furoris penes auc ...
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... force , mit Rome en état de mettre fur pié , dès le temps du fixiéme Roi , un corps de troupes de quatre - vingts mille hommes , & bientôt après de plus de deux cens mille combattans . Cette a Pauperes fatis fti- beros educarent . Liv ...
... force , mit Rome en état de mettre fur pié , dès le temps du fixiéme Roi , un corps de troupes de quatre - vingts mille hommes , & bientôt après de plus de deux cens mille combattans . Cette a Pauperes fatis fti- beros educarent . Liv ...
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Términos y frases comunes
Affemblées affez aiant ainfi Albains Amulius auffi auroit avoient avoit Brutus c'eft caufe chofe citoiens confidérable Confuls Corio Coriolan d'Halicarnaffe deffein déja dieux difcours Dionyf efprits enfans enfuite ennemis enſemble Eques étoient étoit Etrufques Fabius facré fage faloit falut fans feconde fecours fefoient fefoit felon fent fervice fervir fes troupes feul foin foit foldats fous foutenir fouvent fuffent fuite fuivi fujet guerre Herniques jufqu'à jufte juftice l'Affemblée l'Etat laiffer Latins Lavinium Liv.lib Loix lontems Magiftrats maniére Marcius ment moien n'avoit n'étoient n'étoit paffer paroitre Patriciens patrie perfonne Peuple Romain Plébeïens plufieurs Plutarque pouvoit préfent prefque premiére puiffance raifon raport refte rent République Rois Rome Romulus Sabins Sénat Sénateurs Servius Servius Tullius ſes Tarquin tems Tibre tion Tite-Live Tribuns Tullus Veïens voifins Volfques vûe دو دو دو رو رو رو دو رو رو وو
Pasajes populares
Página 245 - ... trouver des vues plus justes et moins d'entêtement. L'entreprise n'étoit pas sans de grandes difficultés. Ce prince avoit affaire au peuple de toute la terre le plus fier et le plus jaloux de ses droits ; et , pour l'obliger à en relâcher une partie , il falloit le savoir tromper par l'appât d'un bien plus considérable. Les Romains payoient en ce temps-là par tête un tribut au profit du trésor public ; et comme dans leur origine la fortune des particuliers étoit...
Página 46 - Jeunèfle des villes qu'il foumettoit à fes armes, de ne la point réduire en fervitude, & de ne pas laifler incultes les terres des pays conquis. Au contraire , il envoioit des Romains habiter ces mêmes pays , & il leur donnoit une partie du terrain à cultiver.
Página 18 - Faustule, frappé d'un prodige si étonnant, emporta les deux enfans dans sa bergerie , et les remit à sa femme Laurentia pour les élever. Quelques-uns prétendent que les débauches de cette femme lui avoient fait donner par les bergers le nom de louve , et q"ue c'est ce qui a donné lieu à ce récit fabuleux. C'est ainsi que Romulus et Rémus naquirent : c'est ainsi qu'ils furent nourris.
Página lxx - ... et les mœurs, ou, pour dire tout en un mot, le caractère tant des peuples dominans en général que des princes en particulier, et enfin de tous les hommes extraordinaires, qui par l'importance du personnage qu'ils ont eu à faire dans le monde , ont contribué en bien ou en mal au changement des Etats et à la fortune publique.
Página 495 - Av.jC que dans le tems que nous travaillions de concert à la réunion des deux Ordres de la. République , aucun Patricien n interrompit ceux qui étaient chargés des intérêts du Peuple, &• qu'on en convint même exprès, afin que chaque parti pût expofer fes raifens avec plus d'ordre & de tranquillité.
Página 248 - Compagnies de la première Clafle furent partagées en deux ordres, comme je l'ai déjà dit. Le premier, compofé des plus âgés, étoit deftiné pour la garde & la défenfe de la ville ; & les quarante autres Compagnies , formées des plus jeunes , dévoient marcher en campagne , & aller à la guerre. Ils avoient tous pareilles armes offenfives & défenfives. Les offenfives étoient le javelot , la pique ou la halebarde , & l'épée : & ils avoienf pour armes défenfîves le cafque , la cuirafle...
Página 47 - Romulus fçut de fes ennemis faire fes premiers citoyens , & changer , en aflez peu de tems , une très - petite colonie en un grand & nombreux peuple. Quand il bâtit Rome , il n'avoit que trois mille hommes de pied & trois cens chevaux au plus ; & quand il difparut aux yeux de fon peuple, l'infanterie montoit à quarantefix mille hommes , & la cavalerie à plus de mille. Les Rois , fes...
Página lxxx - Confidérations fur .les caufes de la grandeur des Romains & de leur décadence, qui eft fort coart , mais très-folide, & très-capable de donner une jufte idée du caractère de ce Peuple.
Página 21 - Mais aufïîtôt que ce Prince vit les Conjurés venir à lui d'un air triomphant , il convoque les Albains. Il leur rappelle les attentats de fon frère contre lui : il raconte l'origine & la naifTance de fes petits - fils ; comment ils avoient été élevés , comment il les avoit reconnus.
Página 458 - Ce serait à moi à m'acquitter, « à mon tour, de la parole que je vous ai donnée. « Mais une brigue plus puissante que l'autorité même « d'un dictateur empêche aujourd'hui l'effet de ma