Les femmes du temps passéMorizot, 1863 - 440 páginas |
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... aimait le jeu et s'amusait au petit jeu , car tout l'amu- sait ; c'était la plus belle joueuse du monde . En public , elle était sérieuse et mesurée ; en particulier , causante , sautante , voltigeante autour du roi et de madame de ...
... aimait le jeu et s'amusait au petit jeu , car tout l'amu- sait ; c'était la plus belle joueuse du monde . En public , elle était sérieuse et mesurée ; en particulier , causante , sautante , voltigeante autour du roi et de madame de ...
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... aimait plus des choses d'ici - bas que ses chiens et ses carpes . Il leur portait du pain et passait chaque jour toute une heure au chenil et au bassin à les voir manger . Quand la duchesse de Bourgogne était encore là , il aimait à ...
... aimait plus des choses d'ici - bas que ses chiens et ses carpes . Il leur portait du pain et passait chaque jour toute une heure au chenil et au bassin à les voir manger . Quand la duchesse de Bourgogne était encore là , il aimait à ...
Página 19
... aimait le mieux ; à quoi l'ac- trice ayant consenti , fut bien surprise de n'entendre de la part de Dumarsais que deux ou trois : Bon , cela ! et , quoique un peu humi- liée , ne persista pas avec moins de politesse à lui demander le ...
... aimait le mieux ; à quoi l'ac- trice ayant consenti , fut bien surprise de n'entendre de la part de Dumarsais que deux ou trois : Bon , cela ! et , quoique un peu humi- liée , ne persista pas avec moins de politesse à lui demander le ...
Página 50
... aimait avec la même vivacité et le même aveuglement , car elle n'a jamais vu que par les yeux de son amant ; du moment qu'elle l'avait choisi , elle ne voyait que ses amis et n'avait que ses goûts . Cette exactitude de soumission ...
... aimait avec la même vivacité et le même aveuglement , car elle n'a jamais vu que par les yeux de son amant ; du moment qu'elle l'avait choisi , elle ne voyait que ses amis et n'avait que ses goûts . Cette exactitude de soumission ...
Página 54
... aimait encore , fut sacrifié au duc d'Orléans , qu'elle n'ai- mait pas encore . Martial , répéta - t - elle , mais d'une voix que ne connaissait pas Martial , souvenons - nous , mais adieu ! » M. de Nocé passait alors ; elle lui prit ...
... aimait encore , fut sacrifié au duc d'Orléans , qu'elle n'ai- mait pas encore . Martial , répéta - t - elle , mais d'une voix que ne connaissait pas Martial , souvenons - nous , mais adieu ! » M. de Nocé passait alors ; elle lui prit ...
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Términos y frases comunes
adieu aimait allait amant amoureux beau beauté belle c'était carrosse chanter charmante château Claudine de Tencin cœur comédie comédienne comte cour courtisans Coustou Crébillon croyait d'Alembert dame danse Dieu dire disait dit-il duc d'Orléans duchesse de Berry Dufresny êtes femme fille Gacé Grétry homme j'ai jamais jolie jouer jour l'abbé l'amour l'esprit l'Opéra larmes Lecouvreur lettre Louis XV madame d'Averne madame d'Étioles madame de Châteauroux madame de Mailly madame de Parabère MADAME DE POLIGNAC madame de Pompadour madame de Warens madame du Chastelet madame Récamier mademoiselle Clairon mademoiselle de Camargo mademoiselle de Lespinasse mademoiselle de Marivaux mademoiselle Gaussin mademoiselle Guimard main maîtresse maréchal Marivaux Marmontel marquise Martial monde monsieur mort mourir n'avait n'était parler passé passion pauvre philosophe pied pleurer poëte Popelinière portrait prince PRINCESSE DE LAMBALLE Régent reine rien savait seule soir Sophie Arnould souper Tencin théâtre Tournelle Vanloo Versailles vint voilà voix Voltaire voulait voulut yeux
Pasajes populares
Página 22 - Qui souffre plus de sa déloyauté ? Je ne croirai cet enfant de ma vie; Mais cette fois il a dit vérité. Ce même Amour, Vénus, et Melpomène, Loin de Paris faisaient...
Página 388 - La malheureuse fin d'un engagement trop * tendre me conduisit enfin au tombeau : c'est « le nom que je donne à l'ordre respectable où « j'allai m'ensevelir, et où je demeurai quelque « temps si bien mort, que mes parents et mes « amis ignorèrent ce que j'étais devenu.
Página 90 - M. le duc d'Orléans était de taille médiocre au plus, fort plein, sans être gros, l'air et le port aisé et fort noble, le visage large, agréable, fort haut en couleur, le poil noir et la perruque de même. Quoiqu'il eût fort mal dansé, et médiocrement réussi à l'académie, il avait dans le visage, dans le geste, dans toutes ses manières une grâce infinie, et si naturelle qu'elle ornait...
Página 390 - Qu'un auteur empesé et fardé paroît fade en » comparaison! Celui-ci ne court point après l'esprit, » ou plutôt après ce qu'on appelle ainsi. Ce n'est point » un style laconiquement constipé, mais un style coulant, » plein et expressif. Ce n'est partout que peintures et » sentiments, mais des peintures vraies et des sentiments
Página 366 - Jamais Iphigénie, en Aulide immolée, N'a coûté tant de pleurs à la Grèce assemblée Que dans l'heureux spectacle à nos yeux étalé En a fait sous son nom verser la Champmeslé 2.
Página 389 - peine, mon cher frère, à reprendre un peu de « vigueur quand on s'est fait une habitude de sa « faiblesse; et qu'il en coûte à combattre pour la » victoire , quand on a trouvé long-temps de la « douceur à se laisser vaincre...
Página 7 - Roi tout d'un coup avec colère, qui jusque-là n'avait dit mot, qu'est-ce que cela me ferait ? Est-ce qu'elle n'a pas déjà un fils ? et, quand il mourrait, est-ce que le duc de Berry n'est pas en âge de se marier et d'en avoir ? et que m'importe qui me succède des uns ou des autres ! Ne sont-ce pas également mes petits-fils...
Página 293 - Toute la nature va se couvrir pour moi d'un crêpe funèbre ; mais elle ne me manquera pas , elle ne sera plus rien pour moi. En rentrant tous les jours dans ma triste et sombre retraite , si propre à l'état de mon cœur , je croirai voir écrites sur la porte les terribles paroles que le Dante a mises sur la porte de son enfer : Malheureux qui...
Página 265 - Galley, avançant son tablier et reculant la tête, se présentait si bien et je visai si juste, que je lui fis tomber un bouquet dans le sein ; et de rire. Je me disais en moi-même : Que mes lèvres ne sont-elles des cerises! comme je les leur jetterais ainsi de bon cœur!
Página 5 - Mme de Maintenon, qu'elle n'appelait jamais que ma tante, pour confondre joliment le rang et l'amitié : en particulier, causante, sautante, voltigeante autour d'eux, tantôt perchée sur le bras du fauteuil de l'un ou de l'autre, tantôt se jouant...