123 Dans un cercle badin si mes vers vont se lire, Fin de la cinquiéme Satire, In avaros , qui parcè & sordidè vivunt, ut relinquant hæredibus quod malè profundant. movit jam bruma focoti, Baille, Sabino? re lyrâ, dos tetrica vivunt tibi penting chorda? Mire opifex numeris veterum primordia vocum, Atque marem ftrepitum fidis intendise I atina, Mox juvines agitare jocos, do pollice huriet Contre la folie de ceux qui se.privent de l'uSage de leurs biens pour enrichir un heritier. EONE & lage Beauté, tendre soin d'une mére > Qui sçut si bien polir votre heureux cara Čtére, PROJAN, voici le tems de rotir les marons La Seine n'ouvre plus son sein aux avirons, Le pere des frimats tient son onde enchaînée, A quoi pendant le froid passez-vous la journée ? Un archer à la main auprés de vos tisons D'une douce Viole animez-vous les sons ? De Phédre au désespoir pour peindre les alarmes, De votre aimable voix lui prêtez-vous les charmes ? Vous qui pour le plaisir déclamez cent fois micux Que Chamelé jamais ne le fit à nos yeux? Egregios lufiffe fenes ? Mihi nunc Ligus ora Intepet, hybernatque meum mare , qua latus ingens Dant fcopuli, on multa litus fe valle receptat, Lunai portum eft opera cognofcere, cives; Cor jubet hoc Enni, poftquam deftertuit effo Maonides Quintus , pavone ex Pythagorao Heic ago fecurus vulgi, con quid preparet Auster Infelix pecori, fecurus, & angulus ille Vicini noftro quia pinguior : don si adeo omnes Vous voit-on d'un pied fin & d'un corps qu'on admire, Comme un ferme rocher qui combatu de l'onde |