CHAPITRE HUITIEME. L'Hydroftatique. LIquide; ce que c'eft: depuis le n. 976 Vale, jufqu'au 979 n. 980 Fond d'un liquide: depuis le n. 983 jufqu'au 988 n. 987 Premiére furface d'un liquide, Tous les filets ou colomnes d'un liquide tendent à s'écouler par les côtez du vase & les uns à la place des autres : depuis le n. 989 jufqu'au Les forces d'un liquide augmentent à proportion de fa profondeur: depuis le n. 992 jusqu'au 991 998 Chaque colomne du liquide fait par chacun de fes côtez un effort égal à toute fa force, & doit être foutenue par plufieurs forchacune égale à la íienne : depuis le ces, n. 1001 jufqu'au Ravage des riviéres, 1009 1020 n. 1005 & 1006 Les liquides de force inégale pour fuivre une même direction, doivent fe féparer, & le plus fort aller devant le plus foible : depuis le n. 1012 jufqu'au Les quatre élemens des anciens, imitez par quatre liqueurs depuis le n. 1021 jusqu'au 1025 Cet effet vient de l'équilibre des liqueurs, n. 1016 Vin qui paffe au travers de l'eau, ou qui nage deffus: depuis le n. 1027 jufqu'au Pourquoi le vin demeure mêlé avec l'eau n. 1037 nier, Raifon de cet effet, apportée par Mr Polin. 1039 & 1040 Les colomnes d'un même liquide font en équilibre quand elles font au niveau, quoiqu'inégales en largeur: depuis le n 1041 jufqu'au 1044 Jets d'eau remontent à peu près aussi hauc que leurs fources, n. 1045 Chaque partie du fond d'un vafe ne porte qu'une colomne qui lui eft perpendicu laire de la largeur de cette partie du fond & de la profondeur du liquide, n.1047 Une colomne oblique, quoique plus longue, ne charge pas plus la partie du fond où elle appuye: depuis le n. 1048 jus-. qu'au 1065 Quand un vafe eft plus étroit à l'entrée qu'au fond, le peu de liquide qui eft à l'entrée, fait fur le fond le même effet, que fi le vafe étoit d'un bout à l'autre de la même largeur qu'au fond, & rempli du liquide depuis le n. 1066 jufqu'au 1075 Le fond d'un vafe ne foutient qu'une.colom-ne de la largeur du fond & de la profon-deur du liquide: depuis le n. 1077 jufqu'au 10.85 Quand il faut foutenir un liquide, la force doit s'eftimer par la profondeur du liquide, & par la largeur de l'ouverture par où il faut le foutenir, n. 1087 Expériences de Mr Pafcal fur l'équilibre des. liqueurs depuis le n. 1090 jufqu'au 1100 Ces expériences imitées d'une maniére plus aifée par le fyphon,, 1..1101 & 1102 L'inégalité des hauteurs de l'eau dans le fyphon à branches inégales en largeur, ne prouve rien contre les principes cideflus établis depuis le n. 1103 jufqu'au n. 1109 Raifons de cette inégalité, n. 1107 & 1108 n. III2 Démontrée par une expérience, n. 1113 & 1114 1118 Explication de quelques Auteurs réfutéc: depuis le n. 1115 jusqu'au n. Raifons de toutes ces expériences, n. 1120› Objections contre ces raifons, & réponses : depuis le n. 1121 jufqu au 1124 Corps folides en libration avec des liquides. qui ne les touchent pas par toutes leurs furfaces: depuis le n. 1140 jufqu'au 1156 Corps folides en libration avec des liquides qui les touchent par toutes leurs furfaces: depuis le n. 1157 jusqu'au 1169 Corps qui doivent s'arrêter & fe ferrer l'un contre l'autre dans un liquide: depuis le m 1170 jufqu'au Batteau fur les caux, Trains de bois, 3 1172 n. 1174 &.1175 n. 1176 Différentes maniéres de connoître les pefanteurs relatives des liqueurs: depuis le n. 1177 jufqu'au Pourquoi le vinaigre pefe plus que le vin,. 1195 n. 1182 L'équilibre des corps fe rompt, lorsqu'ils. font portez en d'autres liquides, que ceux où ils étoient en équili re: depuis Un le n. 1187 jufqu'au 1189 1228 corps folide qui a moins de force qu'un égal volume du liquide où il eft cnfoncé, pour fuivre la direction de ce liquide, & qui pour ce fujet eft contraint d'aller vers la premiére furface de ce liquide, doit continuellement hâter fon mouve ment: depuis le n. 1197 jufqu'au 1217 Et ce corps doit hâter fon mouvement, fuivant la progreffion arithmétique des nombres impairs 1, 3, 5, &c. de telle forte que les efpaces parcourus foient les quarrez des tems: depuis le n. 1218 julqu'au Ce qui change ou empêche cet effet, n. 1229 & 1230 On peut fe brifer en frappant contre l'eau, comme fi on frappoit contre une pierre, n. 1231 & 1232. Un corps attaché par le moyen d'une corde au fond d'un liquide étant moins fort qu'un pareil volume de ce liquide, doir faire plufieurs vibrations, fi la corde fait d'abord un angle avec la direction du liquide depuis le n. 1233 jufqu'au 1244 Pourquoi l'agitation d'un liquide continue quelque moment après que la caufe qui fembloit l'agiter, a ceffé depuis le n. 1247 jufqu'au 1258 L CHAPITRE NEUVIE'ME. 'Etendue eft composée d'une infinité de parties continues, de toute forte de figures, n. 1260 pás le Dont les unes ont, & les autres n'ont mouvement primitif: depuis le n. 1262. -jufqu'au 1276 Les parties qui ont le mouvement primitif, ont dû compofer un liquide qui n'ait point de parties qui ne foient liquides: depuis le n. 1271 jusqu'au Liquidé parfait, Ether, 1280 n. 1277 n. 1278 Les parties qui n'ont pas le mouvement primitif, font molles, à ne les considérer que par elles-mêmes : depuis le n. 1281. jufqu'au Mais elles deviennent dures par la preffion de l'Ether depuis le n. 1289 jufqu'au : 1288 1291 Elles deviennent même les plus difficiles de tous les corps, à divifer: depuis le n. 1292 jufqu'au peur, fi on veut, admettre des 1306 n. 1307 n. 1308 corps de plus fubtils en plus fubtils à l'infini: de puis le n. 1308 jufqu'au 1311 Il en faut d'une fubtilité qui furpaffe notre n. 1312 & 1313 imagination, Corps naturels depuis le n. 1314 jufqu'au . Matiére, m. 1318 |