Dimanche en eft un pour les Chrétiens, Pag. 228 Conduite des premiers Fidèles dans les jours de Dimanche & de Fête, Ibid. Les Juifs, les Payens, & les Chrétiens avoient chacun leur Fête: différence qu'il y avoit entre eux pour les célébrer

fommes obligés de rendre à Dieu, Ibid. Ce feroit une noire ingratitude de fe refufer à la fanctification de ce faint jour, 238 Comme c'étoit à la fan&tification du Sabbat qu'on reconnoiffoit les Juifs, c'eft à l'obfervation du Dimanche qu'on reconnoît le Chrétien, Ibid. Le Dimanche des Chrétiens étant bien audeffus du Sabbat des Juifs, il s'enfuit que leur piété doit éclater davantage en ce faint jour, 239 Quel à été le deffein de l'Eglife en commandant l'obfervationdu Dimanche & des

Fêtes, 240 Vains efforts des fiécles

paflés pour anéantir l'obfervation du Dimanche,

241

Ce qui n'eft point arrivé dans ces fiécles reculés, femble nous menacer de nos jours,

242

Tout femble s'accorder pour anéantir l'obfervation du Diman

che & des Fêtes,

Pag. 242 L'obfervation du Dimanche n'eft pas feulement un fimple témoignage de la fainteté de la Religion, elle en eft auffi une preuve publique, 243 Comme les premiers Fidéles s'appliquoient à fanctifier le Dimanche, 244 La folemnité du Sabbat des Juifs apprend quelle doit être la folemnité du Dimanche des Chréties, 245 Les bénédictions que doivet recevoir ceux qui fanctifient les Dimanches & les FêIbid. Menaçes contre ceux qui ne fanctifient point le Dimanche, 247 Comment l'on doit entendre qu'il faut lanctifier les Dimanches & les Fêtes, Ibid. A quoi fant fingulièrement deftinés les jours des Dimanches & des Fêtes, 248 Quelles font les œuvres opres à fanctifier

tes,

le Dimanche & les Fêtes, Ibid. Pour fanctifier le Dimanche il ne suffit pas de vacquer à certaines œuvres qui feroient regardées comme bonnes les autres jours, il faut de plus qu'elles foient faintes de leur natu

re, 249 Confeils des faints Peres pour bien obferver le Dimanche, 251 Les diverfes illufions dans lesquelles tombent les Chrétiens au fujet du Dimanche & des Fêtes, Ibid. La conduite des premiers Fidéles fur ce point, fait la confufion des Chrétiens de nos jours, Les motifs de l'Eglife en interdifant les cuvres ferviles les jours de Dimanche & de Fête, 253 Ne peut-on pas fe divertir les jours de Fêtes, 254

252

L'on ne peut difconvenir qu'il n'y ait quelques divertiffemens

ont rapport au Dimanche & tendent par conféquent toutes à l'honneur & au culte de Dieu, 260 La célébration des Fêtes des Saints ne s'eft introduire que pour honorer l'Auteur de la Sainteté, 261 Après tant de prérogatives attachées à l'obfervation du Dimanche, oferoit-on le refuser à fanctifier ce faint jour ? Ibid. C'eft à fa Paroiffe fur tout qu'on doit aller pour célébrer le Dimanche & les Fêtes, 262 Ce qui doit remplir de confufion les Catholiques, c'eft que les hérétiques font plus religieux obfervateurs qu'eux du faint Dimanche, 263 L'on trouve dans la fanЄtification des Dimanches & des Fêtes de puiffans fecours pour le falut,

264 Tout dans la célébration de nos Fêtes excite à la piété, 265,

Les Dimanches & les Fêtes font des jours de repos, où l'on

peut examiner à loifir ce que l'on a fair durant la femaine, Ibid. Ce que défend la Loi les jours de Dimanches & de Fêtes, 266 Les œuvres ferviles étoient défendues aux Juifs fous des peines rigoureuses, 267 L'on apporte mille prétextes pour le foustraire à la fanctification des Dimanches, Ibid. Premiere excufe. On ne

peut pas ces jours-là toujours prier & toujours lire, 268 Ce que font les vrais Chrétiens pour fanctifier le Dimanche, détruit les vains prétextes des femmes du monde, Ibid. L'on fe croit en droit de jouer le Dimanche, parce que l'on ne donne pas dans d'autres excès plus condamnables: injuftice de cette préten

tion, 269 L'illufion de ceux qui

font entrer dans les divertiffemens permis les fpectacles, & qui ne s'en font aucun fcrupule, Ibid. Si l'on étoit véritablement Chrétien, l'on abandonneroit tout pour fanctifier le Dimanche, La Religion nous ordonne de fanctifier les Dimanches, & l'avarice nous fait regarder ces jours faints comme des jours perdus,

270

271

Il ne fuffit pas de s'abftenir les jours faints de ce que la Religion défend, il faut encore faire ce qu'elle ordonne,

272

le précepte de la fanctification du Dimanche fe bornoit à entendre la Meffe, pourquoi le Seigneur l'au roit-il promulgué avec tant d'appareil ?

Si

273

La même Loi qui nous impofe de fanctifie le matin du Diman che, nous ordon de confacrer le re du jour au fervice

pour

ceffaires, il faut en profiter, non-feulement ceffer tout travail défendu mais fe montrer actif au fervice de Dieu, 282

Les Fêtes des Saints procurent auffi de grandes faveurs, Ibid. Le Dimanche doit être employé en œuvres pieuses, 28 Le reproche que Dieu faifoit aux Juifs pourroit s'adreffer à bien des Chrétiens 284

L'on ne fanctifie point le Dimanche en entendant fimplement la Meffe, 285 Exercices propres à fan&tifier le Dimanche, 286

L'on ne fanctifie gueres

du faint Dimanche que le matin, encore eft ce bien foible

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