Jugemens des savans sur les principaux ouvrages des auteurs, revûs par m. de la Monnoye. [With] Anti-Baillet, ou Critique du livre de m. Baillet, par mr. Ménage, avec les Observations de mr. de la Monnoye & les Reflexions sur les Jugemens des savans [by A. Boschet]. [With the addition of] Jugemens des savans sur les auteurs qui ont traité de la rhétorique, par m. Gibert. 8 tom. [in 17].Aux depens de la compagnie, 1725 |
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... racine aux différends que fa conduite faifoit naître fur la nature & le nom du Sonnet , affurant qu'il n'avoit point d'autre deffein que de faire de petits Poëmes de xiv . Vers , qu'il laiffoit à cha- cun la liberté d'appeller Madrigaux ...
... racine aux différends que fa conduite faifoit naître fur la nature & le nom du Sonnet , affurant qu'il n'avoit point d'autre deffein que de faire de petits Poëmes de xiv . Vers , qu'il laiffoit à cha- cun la liberté d'appeller Madrigaux ...
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... Racine ( 3 ) . Il fait mourir les deux freres d'Antigone Eteocle & Polynice enfans de Jocafte , dès le commencement de fon troifiéme Acte . Le reste eft en quelque forte le commencement d'une autre Tra- gédie , où l'on entre dans des ...
... Racine ( 3 ) . Il fait mourir les deux freres d'Antigone Eteocle & Polynice enfans de Jocafte , dès le commencement de fon troifiéme Acte . Le reste eft en quelque forte le commencement d'une autre Tra- gédie , où l'on entre dans des ...
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... Racine Tom . II . de fes Oeuvres , pag . 447. Ed . d'Amft . 1724 . 3. ¶ . Mairet méritoit bien une place dans le livre des Enfans célébres puifque dans fon Epitre dédi- catoire des galanteries du Duc d'Offone , à Antoine Brun Procureur ...
... Racine Tom . II . de fes Oeuvres , pag . 447. Ed . d'Amft . 1724 . 3. ¶ . Mairet méritoit bien une place dans le livre des Enfans célébres puifque dans fon Epitre dédi- catoire des galanteries du Duc d'Offone , à Antoine Brun Procureur ...
Página 345
... au Par- terre , Mais fi - tôt que d'un trait de fes fatales mains La être de quatre ? 1. Nicol . Boil . Defpréaux , Epitre v11 . à Racine Vers 19. & fuiv . Moliére . La Parque l'eût rayé du nombre des Hu P5 POETES MODERNES . 345.
... au Par- terre , Mais fi - tôt que d'un trait de fes fatales mains La être de quatre ? 1. Nicol . Boil . Defpréaux , Epitre v11 . à Racine Vers 19. & fuiv . Moliére . La Parque l'eût rayé du nombre des Hu P5 POETES MODERNES . 345.
Página 373
... Racine . Il l'avoit étudié attentivement , & l'avoit obfervé de plus près qu'aucun au- tre , depuis qu'il étoit entré dans la même carriére ; de forte que tout ce qu'il a pâ dire à fa gloire , eft d'autant moins fufpect de flaterie & de ...
... Racine . Il l'avoit étudié attentivement , & l'avoit obfervé de plus près qu'aucun au- tre , depuis qu'il étoit entré dans la même carriére ; de forte que tout ce qu'il a pâ dire à fa gloire , eft d'autant moins fufpect de flaterie & de ...
Términos y frases comunes
affés affure aifé auffi auroit Auteur avoient avoit ayent Balzac Borrichius c'eft c'eſt cenfure Chapelain chofes Comédie compofé confidérer connoître Corneille Critiques deffein Defpréaux Difcours Differtation dire diverfes efprit eftime Epigrammes Epique eſt étoit éxemple faifoit faint favoir fe trouve fecond felon femble fens fent fentimens fervir fes Piéces fes Poëfies feul fiécle foient foit font fous le titre fouvent ftyle fuivant fujet Ghilini Godeau Heinfius Italien Jean Jean Chapelain Jéfuite Journal des Savans jugement l'Académie l'an l'efprit laiffé Lopé Lope de Vega Malherbe maniére Maynard Meffieurs Ménage mort Mufes n'avoit n'eft n'eſt n'étoit natif neille Nicolas Obferv Odes Oeuvres paffer paffions Parnaffe paroît particuliérement Pelliffon penfées perfonne perfuader plaifir plufieurs Poë Poëfies Poëme Poëte François Poëte Latin Poëtique prefque premiére puiffe Racan Racine raifon Rapin refte réuffi Rofteau s'eft Santeuil Sarafin Satire tems teur tion Tragédie Urbain VIII Virgile
Pasajes populares
Página 5 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
Página 530 - Je sais sur leurs avis corriger mes erreurs, Et je mets à profit leurs malignes fureurs. Sitôt que sur un vice ils pensent me confondre...
Página 338 - Qui mît à les polir fa gloire & fon étude ; Mais , Molière, à ta gloire il ne manqueroit rien, Si parmi les défauts que tu peignis fi bien , Tu les avois repris de leur ingratitude.
Página 13 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir. Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes; Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.
Página 274 - Bienheureux Scuderi! dont la fertile plume Peut tous les mois fans peine enfanter un volume...
Página 109 - ... de ses fautes, que sans achever de les lire, il les mit en pièces. Mais la nuit suivante, comme il étoit au lit, et que tout dormoit chez...
Página 293 - Vendrait au poids de l'or une once de fumée. Mais en vain, direz-vous, je pense vous tenter Par l'éclat d'un fardeau trop pesant à porter. Tout chantre ne peut pas, sur le ton d'un Orphée, Entonner en grands vers la Discorde étouffée ; Peindre Bellone en feu tonnant de toutes parts, Et le Belge effrayé fuyant sur ses remparts.
Página 339 - L'un, défenseur zélé des bigots mis en jeu, Pour prix de ses bons mots le condamnoit au feu '. L'autre, fougueux marquis, lui déclarant la guerre, Vouloit venger la cour immolée au parterre. Mais...
Página 292 - L'un peut tracer en vers une amoureuse flamme ; L'autre d'un trait plaisant aiguiser l'épigramme : Malherbe d'un héros peut vanter les exploits ; Racan, chanter Philis, les bergers et les bois : Mais souvent un esprit qui se flatte et qui s'aime Méconnaît son génie et s'ignore soi-même...
Página 336 - Molière : car les anciens poètes comiques n'ont que des valets pour les plaisants de leur théâtre; et les plaisants du théâtre de Molière sont les marquis et les gens de qualité. Les autres n'ont joué dans la comédie que la vie bourgeoise et commune, et Molière a joué tout Paris et la cour.