| Voltaire - 1764 - 418 páginas
...j'entends , madame , , c'eft le blafon ; c'eft à la vérité une fcience fort profonde : mais elle n'eft plus à la mode , depuis qu'on a perdu l'habitude de faire peindre fes armes aux portières de fon carofle '; c'était la" chofe du monde la plus utile dans un état... | |
| Voltaire - 1771 - 370 páginas
...j'entends , madame , c'eft le blafon j c'eft à la vétité une fcience fort profonde : mais elle n'eft plus à la mode , depuis qu'on a perdu l'habitude de faire peindre fes armes aux portières de fora carrofle ; c'était la chofe du monde la plus utile dans un État... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1804 - 628 páginas
...de contre- pal, de lambe! ••' de face , £t tout ce que Scgoing dj.ni ton Mercure entasse, «< Le blason , dit Voltaire , étoit à la vérité une...peindre ses armoiries aux portières de son carrosse. C'étuit la chose la plus inutile dans un Etat bien policé. D'ailleurs, cette étude seroit une étude... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1804 - 636 páginas
...fttin, Défît, Je contre-pal, de lambcl et de face , Et uut ce gué Segoing dam ton M«tcute ent&ste. * Le blason , dit Voltaire , étoit à la vérité une...mais elle n'est plus à la mode depuis qu'on a perdu l'ha-r bitude de faire peindre ses armoiries aux portières de son carrosse. C'étoit la chose la plus... | |
| Louis Maïeul Chaudon - 1805 - 540 páginas
...pal, de coatre-pil , de lamí el et de face , ïî tout eu que Seguing dans son Mercure entasse. « Le blason , dit Voltaire , étoit à la vérité une science fort profonde ; mais elle n'est plus л la mode depuis qu'on a perdu l'habitude de faire peindre ses armoiries aux portières de son carrosse.... | |
| François Marie Arouet de [prose] Voltaire - 1809 - 528 páginas
...f entends, madame, c*est le blason. C'est à la vérité une science fort profonde; mais elle n est plus à la mode, depuis, qu'on a perdu l'habitude de faire peindre ses armes aux portières de son carrosse; c'était la chose du monde la plus utile dans un état bien policé.... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 páginas
...commençait, vous dis- je, par un B, et finissait par un on. Ah! j'entends Madame , c'est le blason ; c'est à la vérité une science fort profonde: mais elle...depuis qu'on a perdu l'habitude de faire peindre ses armes aux portières de son carosie; c'était la chose du monde la plus utile dans un état bien policé.... | |
| Christian Ludwig Ideler - 1818 - 636 páginas
...commençait, vous dis-*je, par un S, et finissait par un on. Ah! ^entends Madame, c'est le blason ; c'est à la vérité une science fort profonde: mais elle...depuis qu'on a perdu l'habitude de faire peindre ses armes aux portières de son carosse; c'était la chose du monde la plus utile dans un état bien policé.... | |
| Voltaire - 1821 - 438 páginas
...dis je, par un fi, et finissait par un on. — Ah, j'entends , madame, c'est le blason: c'est, àla vérité, une science fort profonde; mais elle n'est...depuis qu'on a perdu l'habitude de faire peindre ses armes aur portières de son carrosse; c'était la chose du monde la plus utile dans un état bien policé.... | |
| Voltaire - 1826 - 524 páginas
...vous dis-je, par un B, et finissait par un on. — Ah, j'entends! madame; c'est le blason : c'est , à la vérité , une science fort profonde ; mais...depuis qu'on a perdu l'habitude de faire peindre ses armes aux portières de son carrosse; c'était la chose du monde la plus utile dans un état bien policé.... | |
| |