Éloges des académiciens de l'Académie royale des sciences, morts depuis l'an 1699, Volumen2Chez les Libraires associés, 1766 - 578 páginas |
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... avoient fait une première Partie d'un Traité de la coupe des pierres , matière alors toute neuve : mais quand ils voulu- rent travailler à la feconde Partie , ils fen- tirent que leur Géométrie s'embarraffoit ; & ils s'adrefsèrent à M ...
... avoient fait une première Partie d'un Traité de la coupe des pierres , matière alors toute neuve : mais quand ils voulu- rent travailler à la feconde Partie , ils fen- tirent que leur Géométrie s'embarraffoit ; & ils s'adrefsèrent à M ...
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... avoient de plus exquis : ils y appor- toient les prémices de leurs Ouvrages , leurs projets , leurs réflexions , le fruit de leurs longues lectures ; & le jeune homme qu'ils vouloient inftruire , & à qui ils ne cherchoient guère moins à ...
... avoient de plus exquis : ils y appor- toient les prémices de leurs Ouvrages , leurs projets , leurs réflexions , le fruit de leurs longues lectures ; & le jeune homme qu'ils vouloient inftruire , & à qui ils ne cherchoient guère moins à ...
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... avoient été l'un à l'autre , ils contractè- rent une étroite liaison . > Après que M. l'Abbé de Louvois eut terminé cette carrière , en recevant le Bonnet de Docteur de Sorbonne , feu M. l'Archevêque de Rheims , fon oncle , lui donna de ...
... avoient été l'un à l'autre , ils contractè- rent une étroite liaison . > Après que M. l'Abbé de Louvois eut terminé cette carrière , en recevant le Bonnet de Docteur de Sorbonne , feu M. l'Archevêque de Rheims , fon oncle , lui donna de ...
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... avoient engagé dans l'étude des Mathématiques , prévinrent les périls d'un état fi agréable . Il n'avoit pas des goûts foibles , ni des demi - volontés ; il il fe plongea entièrement dans les exer- cices d'une piété 48 ÉLOGE.
... avoient engagé dans l'étude des Mathématiques , prévinrent les périls d'un état fi agréable . Il n'avoit pas des goûts foibles , ni des demi - volontés ; il il fe plongea entièrement dans les exer- cices d'une piété 48 ÉLOGE.
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... fon affiduité au Chœur . Mais enfin fa délicateffe de confcience même pour autrui , lui fit tout furmonter . Il fut Chanoine , & le fut à toute rigueur . > * Les Offices du jour n'avoient nulle préfé- rence fur ceux 50 É LOGE.
... fon affiduité au Chœur . Mais enfin fa délicateffe de confcience même pour autrui , lui fit tout furmonter . Il fut Chanoine , & le fut à toute rigueur . > * Les Offices du jour n'avoient nulle préfé- rence fur ceux 50 É LOGE.
Términos y frases comunes
abfolument affez affure Aftronomes aifément ainfi auffi auroit avoient avoit befoin Bianchini Bologne c'eft c'eſt Caffini caufe chofes choifi Chymie Clément XI Confeil confidérable connoiffances croyoit curiofité Czar de-là deffein déja Delifle devoit différens donna donnoit efpèce efprit ELOGE enfuite eſpèce eſt étoient étoit eût Fagon faifoit falloit fans fanté favant favoir fe trouva fecond fecours fecret felon fent feroit fervir feul fienne fimple fingulier foin foit font fous fouvent fuccès fuiv fujet fyftême Geoffroy Géométrie Gnomonique goût grace Hartfoëker Hire homme infinité Jardin Royal Journal des Savans jufqu'à l'Académie l'efprit l'Hiftoire Lagny laiffé Leyde Louvois Manfredi Maréchal de Tallard Marfigli Mathématiques Médecin ment Miniftre Montmort n'avoit n'eft n'étoit néceffaires Newton obfervations occafions paffer parallaxe penfer perfonne Philofophie Phyfique plaifir plufieurs poffible pouvoit préfent prefque Prince Profeffeur raifon refte Renau s'eft Saurin Savans Sciences tion Vaiffeaux Verney vouloit Voyez l'Hift
Pasajes populares
Página 298 - Sa philosophie a été adoptée par toute l'Angleterre ; elle domine dans la Société royale...
Página 56 - Petit, anglais, a fait voir dans son arithmétique politique, combien de connaissances nécessaires au gouvernement se réduisent à des calculs du nombre des hommes , de la quantité de nourriture qu'ils doivent consommer, du travail qu'ils peuvent faire , du temps qu'ils ont à vivre , de la fertilité des terres , de la quantité des naufrages dans les navigations, etc.
Página 288 - Descartes, et bannis pour jamais selon les apparences, y reviennent ramenés par M. Newton , armés d'une force toute nouvelle dont on ne les croyait pas capables, et seulement peut-être un peu déguisés.
Página 387 - Malgré son grand âge, par exemple, il passait des nuits dans les endroits les plus humides du jardin, couché sur le ventre, sans oser faire aucun mouvement, pour découvrir les allures, la conduite des limaçons, qui semblent en vouloir faire un secret impénétrable. Sa santé en souffrait, mais il aurait encore plus souffert de rien négliger. Il mourut le 10 septembre 1730, âgé de 82 ans. Il était en commerce avec les plus grands anatomistes de son temps, Malpighi, Ruysch, Pitcarne, Bidloo,...
Página 176 - Jean; et pour éteindre la guerre civile, il fut réglé que les deux frères régneraient ensemble.
Página 306 - ... de se reposer sur personne! Combien de grands hommes généralement applaudis ont gâté le concert de leurs louanges en y mêlant leurs voix ! Il était simple, affable, toujours de niveau avec tout le monde.
Página 172 - Varignon m'a fait l'honneur de me léguer tous fts papiers par fon teftamettt ; j'en rendrai au public le meilleur compte qu'il me fera pn/Jible : du refte je promets de ne rien détourner à mon ufage particulier des tréfors que j'ai entre les mains, & je compte que j'en ferai...
Página 288 - ... l'autre , plus timide ou plus modefte , a commencé fa marche par s'appuyer fur les phénomènes , pour remonter aux principes inconnus , réfolu de les admettre quels que...
Página 108 - Le roi lui répondit qu'il la lui accorderait, pourvu qu'il la lui demandât en cent vers qu'il ferait pendant le jeu ; mais cent vers bien comptés, pas un de plus ni de moins. Après le jeu, où il avait paru aussi peu occupé qu'à l'ordinaire , il dit les cent vers au roi.
Página 157 - Varignon , le logea avec lui .; & enfin , toujours plus touché de fon mérite , il réfolut de lui faire une fortune , qui le mît en état de fuivre pleinement fes talens & fon génie. Cependant cet abbé , cadet de Normandie , n'avoit que 1 800 livres de rente ; il en détacha 300 qu'il donna par contrat à M.