Huetiana ou pensées diverses de M. Huetchez Jacques Estienne, 1722 - 436 páginas |
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... porté le flimbeau dans les tenebres de plufieurs parties de la Litérature , & qui a honoré fon fiecle par l'éminence de fon favoir ; il eft vra . néanmoins qu'il eft tombé dans une infi- nité d'erreurs groffieres 12 HUETIAN A.
... porté le flimbeau dans les tenebres de plufieurs parties de la Litérature , & qui a honoré fon fiecle par l'éminence de fon favoir ; il eft vra . néanmoins qu'il eft tombé dans une infi- nité d'erreurs groffieres 12 HUETIAN A.
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... porté les fpeculations philofophiques . Il eft furprenant que le Philofophe Panatius dans fon Traité des Offices , ait oublié de les définir , comme Ciceron le lui reproche . Mais ce qui eft encore plus furprenant , c'eft que Saint ...
... porté les fpeculations philofophiques . Il eft furprenant que le Philofophe Panatius dans fon Traité des Offices , ait oublié de les définir , comme Ciceron le lui reproche . Mais ce qui eft encore plus furprenant , c'eft que Saint ...
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... porté leurs armes depuis le Tigre jufqu'à la Loire ; à celles de Nabuchodonofor , de Sefoftris d'Alexandre , & de Céfar ? Pour conclure enfin ce long difcours , je regarde ce mépris de l'antiquité , comme une marque de la décadence de ...
... porté leurs armes depuis le Tigre jufqu'à la Loire ; à celles de Nabuchodonofor , de Sefoftris d'Alexandre , & de Céfar ? Pour conclure enfin ce long difcours , je regarde ce mépris de l'antiquité , comme une marque de la décadence de ...
Página 50
... porté fa curiofité dans les Hiftoi- res des peuples & des tems voifins de ceux qu'il vouloit illuftrer . Auffi n'y a - t - il point d'Hiftorien de notre nation , où il y ait tant à apprendre que dans celui - là . D'ailleurs il eft ...
... porté fa curiofité dans les Hiftoi- res des peuples & des tems voifins de ceux qu'il vouloit illuftrer . Auffi n'y a - t - il point d'Hiftorien de notre nation , où il y ait tant à apprendre que dans celui - là . D'ailleurs il eft ...
Página 89
... porté fon juge- ment fur les Comédies de Terence , il a trouvé que la force comique lui man- quoit : je dirois volontiers que la force poëtique manque à Ovide . Et en effet s'abandonnant , comme il faifoit , à fa fa- cilité de verfifier ...
... porté fon juge- ment fur les Comédies de Terence , il a trouvé que la force comique lui man- quoit : je dirois volontiers que la force poëtique manque à Ovide . Et en effet s'abandonnant , comme il faifoit , à fa fa- cilité de verfifier ...
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Huetiana, ou Pensées diverses de m. Huet, evesque d'Avranches.. Pierre-Daniel Huet Vista completa - 1722 |
Términos y frases comunes
æthere affez ainfi anciens Arabes atque auffi Auteurs avoient avoit befoin Bithynie Bochart c'eft C'eſt Caen caufe chofe Chymie ciens compofez confidere connoiffance connoître coûtume differentes diverfes efprit enfuite Epique eſt étoient étoit faifoient faifoit fans favant favoir fcience fe font fe trouve feconde felon femble fens fent feroit fervir feulement fiécle fignifie foient foit fon efprit fon nom fous fouvent ftile fuivant furnom gens Grecs hæc Heliotrope Hiftoire Homére homme inter ipfa j'ai Jofephe jufqu'à jugement l'efprit l'hiftoire l'ufage laiffé Lampyris langue Latine latinifation Lettres livre long-tems lorfqu'il lorfque Manile matieres menfa ment Myobarbum n'avoit n'eft n'étoit néceffaire obfervations Origene Ovide paffage paffé paffion paroît penfer pere perfonne Perraut Philofophie plufieurs poëfie Poëtes préfent prefque premiere propofe raifon reçû refte rime Romains s'eft Saint Scaliger Strabon Suéde tems tion toûjours ufage Virgile vûë
Pasajes populares
Página xii - La Reine de Suéde, qui, après avoir abdiqué la Couronne , s'étoit tranfplantée à Rome pour toujours, voulut l'attirer auprès d'elle en 1659. Mais l'ayanture de Bochart , demandé avec tant d'ardeur , & puis oublié dès qu'il parut , l'empêcha de fuccomber à la tentation de voir l'Italie. On le...
Página xii - Ces feize ans , il les paffa dans la patrie , fans emploi, tout à lui & à fes livres ; ne fe dérangeant que pour venir tous les ans fe montrer un ou deux mois à Paris. f 69 HlSTOÏR-ï Pendant ce temps-là , il eut des lueurs de fortune , dont il ne fut point ébloui'.
Página 4 - Litérature qui vivoient alors , & je recherchai leur amitié par mes vifites ou par mes lettres. Je fus connu d'eux , je fus aimé deplujlieurs , & je crus avoir part à Feftime .de quelques-uns.
Página 30 - ... & épuifées par une longue culture. On ne. voit plus de ces grappes énormes que rapportèrent les efpions deMoyfe de la terre de Chanaan.
Página 134 - ... car elles ne font pas toutes égales. Je dis du vélin plutôt que du papier , parce que je fuis perfuadé qu'il peut être plié & réduit en un plus petit efpace que le papier. Cela étant fuppofé , je dis enfuite qu'un morceau de vélin de cette grandeur pourroit tenir dans fa largeur une ligne qui contiendroit trente vers ; & qu'il pourroit tenir dans fa hauteur deux...
Página 3 - Je cède volontiers, disait-il, à beaucoup de gens « studieux , la gloire du succès de leurs études ; mais, « pour l'amour des lettres , je ne le cède à personne « du monde. J'ai apporté cette passion en naissant.
Página 247 - ... contenues dans cet ouvrage étoient nouvelles, peu connues, & découvertes par la méditation & les réflexions d'un efprit pénétrant & clairvoyant. Qu'au lieu de les qualifier Maximes , il eût été bien plus convenable de les appel 1er Réfltxiont morales.