Huetiana ou pensées diverses de M. Huetchez Jacques Estienne, 1722 - 436 páginas |
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... tems , dont il fait un fi bon ufage pour l'utilité publique . Sie tôt qu'il a connu mon befoin par le rap port de quelqu'un de nos amis communs , il a quitté toutes fes occupations pour fatisfaire mes defirs ; & je recevois ce que ...
... tems , dont il fait un fi bon ufage pour l'utilité publique . Sie tôt qu'il a connu mon befoin par le rap port de quelqu'un de nos amis communs , il a quitté toutes fes occupations pour fatisfaire mes defirs ; & je recevois ce que ...
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... tems . > Ce grand nombre de Savans qui fleu- rirent vers la fin du quinziéme fiecle , & au commencement du feiziéme , me paroiffent bien plus eftimables que ceux de notre tems . Nous avons tant de fe-- cours pour devenir favans , & nous ...
... tems . > Ce grand nombre de Savans qui fleu- rirent vers la fin du quinziéme fiecle , & au commencement du feiziéme , me paroiffent bien plus eftimables que ceux de notre tems . Nous avons tant de fe-- cours pour devenir favans , & nous ...
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... tems . Les Allemans ne font plus fi grands qu'ils étoient autre- fois ; & la taille des Gaulois n'excéde pas tant celle des Romains , que du tems de Céfar . Tout cela fuppofé , n'eft - il ( 1 ) La Hontan , Mémoir . de l'Amériq . Lettr ...
... tems . Les Allemans ne font plus fi grands qu'ils étoient autre- fois ; & la taille des Gaulois n'excéde pas tant celle des Romains , que du tems de Céfar . Tout cela fuppofé , n'eft - il ( 1 ) La Hontan , Mémoir . de l'Amériq . Lettr ...
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... tems a changé ces heu reux tempéramens . Les tréfors de la na- ture ne font plus dans cette premiére abondance . Les corps humains fe fen- tent de cet épuifement . On en peut juger par leur diminution , & par la briéveté de leur vie ...
... tems a changé ces heu reux tempéramens . Les tréfors de la na- ture ne font plus dans cette premiére abondance . Les corps humains fe fen- tent de cet épuifement . On en peut juger par leur diminution , & par la briéveté de leur vie ...
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... tems de Vi- truve ; à peine en eft - elle présentement la feptième partie . Peut - on douter que la nature des efprits n'ait fuivi celle des corps ? Cela paroîtra fi croyable à qui- conque raifonnera conféquemment , qu'on s'étonnera que ...
... tems de Vi- truve ; à peine en eft - elle présentement la feptième partie . Peut - on douter que la nature des efprits n'ait fuivi celle des corps ? Cela paroîtra fi croyable à qui- conque raifonnera conféquemment , qu'on s'étonnera que ...
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Huetiana, ou Pensées diverses de m. Huet, evesque d'Avranches.. Pierre-Daniel Huet Vista completa - 1722 |
Términos y frases comunes
æthere affez ainfi anciens Arabes atque auffi Auteurs avoient avoit befoin Bithynie Bochart c'eft C'eſt Caen caufe chofe Chymie ciens compofez confidere connoiffance connoître coûtume differentes diverfes efprit enfuite Epique eſt étoient étoit faifoient faifoit fans favant favoir fcience fe font fe trouve feconde felon femble fens fent feroit fervir feulement fiécle fignifie foient foit fon efprit fon nom fous fouvent ftile fuivant furnom gens Grecs hæc Heliotrope Hiftoire Homére homme inter ipfa j'ai Jofephe jufqu'à jugement l'efprit l'hiftoire l'ufage laiffé Lampyris langue Latine latinifation Lettres livre long-tems lorfqu'il lorfque Manile matieres menfa ment Myobarbum n'avoit n'eft n'étoit néceffaire obfervations Origene Ovide paffage paffé paffion paroît penfer pere perfonne Perraut Philofophie plufieurs poëfie Poëtes préfent prefque premiere propofe raifon reçû refte rime Romains s'eft Saint Scaliger Strabon Suéde tems tion toûjours ufage Virgile vûë
Pasajes populares
Página xii - La Reine de Suéde, qui, après avoir abdiqué la Couronne , s'étoit tranfplantée à Rome pour toujours, voulut l'attirer auprès d'elle en 1659. Mais l'ayanture de Bochart , demandé avec tant d'ardeur , & puis oublié dès qu'il parut , l'empêcha de fuccomber à la tentation de voir l'Italie. On le...
Página xii - Ces feize ans , il les paffa dans la patrie , fans emploi, tout à lui & à fes livres ; ne fe dérangeant que pour venir tous les ans fe montrer un ou deux mois à Paris. f 69 HlSTOÏR-ï Pendant ce temps-là , il eut des lueurs de fortune , dont il ne fut point ébloui'.
Página 4 - Litérature qui vivoient alors , & je recherchai leur amitié par mes vifites ou par mes lettres. Je fus connu d'eux , je fus aimé deplujlieurs , & je crus avoir part à Feftime .de quelques-uns.
Página 30 - ... & épuifées par une longue culture. On ne. voit plus de ces grappes énormes que rapportèrent les efpions deMoyfe de la terre de Chanaan.
Página 134 - ... car elles ne font pas toutes égales. Je dis du vélin plutôt que du papier , parce que je fuis perfuadé qu'il peut être plié & réduit en un plus petit efpace que le papier. Cela étant fuppofé , je dis enfuite qu'un morceau de vélin de cette grandeur pourroit tenir dans fa largeur une ligne qui contiendroit trente vers ; & qu'il pourroit tenir dans fa hauteur deux...
Página 3 - Je cède volontiers, disait-il, à beaucoup de gens « studieux , la gloire du succès de leurs études ; mais, « pour l'amour des lettres , je ne le cède à personne « du monde. J'ai apporté cette passion en naissant.
Página 247 - ... contenues dans cet ouvrage étoient nouvelles, peu connues, & découvertes par la méditation & les réflexions d'un efprit pénétrant & clairvoyant. Qu'au lieu de les qualifier Maximes , il eût été bien plus convenable de les appel 1er Réfltxiont morales.