Le paysan parvenu, ou les memoires de M***, Volumen2Chez Prault, Pere, Quay de Gesvres, au Paradis., 1734 |
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... Son difci- ple pleuroit , en lui difant adieu & pleuroit tout feul . Je pris auffi congé du jeune enfant , qui s'écria d'un ton qui me fendit le cœur . Hé quoi ! tout le monde me quit- te donc ? Je ne répartis à cela que par unt foûpir ...
... Son difci- ple pleuroit , en lui difant adieu & pleuroit tout feul . Je pris auffi congé du jeune enfant , qui s'écria d'un ton qui me fendit le cœur . Hé quoi ! tout le monde me quit- te donc ? Je ne répartis à cela que par unt foûpir ...
Página 50
... Son babil m'ennuya beaucoup moi , mais il n'empêcha pas que fon caractere ne me plût , parce qu'on fentoit qu'elle ne jafoit tant , que parce qu'elle avoit l'inno- cente foibleffe d'aimer à parler , & comme qui diroit une bonté de cœur ...
... Son babil m'ennuya beaucoup moi , mais il n'empêcha pas que fon caractere ne me plût , parce qu'on fentoit qu'elle ne jafoit tant , que parce qu'elle avoit l'inno- cente foibleffe d'aimer à parler , & comme qui diroit une bonté de cœur ...
Página 52
... son tems assez volontiers . Il faut bien fe fentir de ce qu'on eft : toute femme a du caquet , ou s'amufe avec plai- fir de celui des autres ; l'amour du babil eft un tribut qu'elle paye à fon fexe . Il y a pourtant des femmes ...
... son tems assez volontiers . Il faut bien fe fentir de ce qu'on eft : toute femme a du caquet , ou s'amufe avec plai- fir de celui des autres ; l'amour du babil eft un tribut qu'elle paye à fon fexe . Il y a pourtant des femmes ...
Página 88
... elle ne fut pas maî- treffe d'obferver cette œconomie- là : Son cœur s'épancha , j'en tirai tout ce qu'il méditoit pour moi ; & peut - être qu'à fon tour , elle tira du du mien plus de tendreffe qu'il n'en avoit à lui 88 LE PAYSAN.
... elle ne fut pas maî- treffe d'obferver cette œconomie- là : Son cœur s'épancha , j'en tirai tout ce qu'il méditoit pour moi ; & peut - être qu'à fon tour , elle tira du du mien plus de tendreffe qu'il n'en avoit à lui 88 LE PAYSAN.
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Le paysan parvenu, ou Les memoires de M***. Pierre CARLET DE CHAMBLAIN DE MARIVAUX Vista completa - 1735 |
Términos y frases comunes
affez Agathe aife ainfi auffi auroit avez avoient avois avoit befoin berd c'eft c'eſt c'étoit cadette Catherine caufe cauſe chambre Charte Normande chofe clameur de Haro cœur Confeil coufine Cuiſine d'efprit déja devoit dévots Dieu difcours difoit dire dis-je dit-elle Doucin Eft-ce enfuite enſemble eſt êtes étoient étoit faifoit faint falloit falut fans fanté fçai fçais fçait fçaurois fçavoir fecret femble femme fentiment feroit fervi fervice feule fille fœur foit fongez fous fouvent fuis garçon Genevieve grace Hôteffe j'ai j'avois j'en j'étois Jacob là-deffus laiffer long-tems m'en Madame Made Mademoiſelle Haberd maiſon Maîtreffe maniere ment moiſelle Monfieur n'avoit n'eft n'en n'eſt n'y avoit paffe pardi parler Payfan PAYSAN PARVENU penfe perfonne phyfionomie plaifir pouvoit prefent prefque prenois puifque queftion refte répon répondis-je répondit-elle rien roiffe teffe tems toûjours Vallée venoit verité vifage voilà voyois vûë