Anecdotes de la cour de Philippe-Auguste, Volumen1 |
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Página 64
Je vis une mere qui , sans être humiliée de la beauté surprenante de sa fille , étoit fiere de la sienne . Madame de Rosoi n'avoit pas encore trente - deux ans , & elle n'en paroisfoit pas vingt - cinq : sa beauté , & les graces qui ...
Je vis une mere qui , sans être humiliée de la beauté surprenante de sa fille , étoit fiere de la sienne . Madame de Rosoi n'avoit pas encore trente - deux ans , & elle n'en paroisfoit pas vingt - cinq : sa beauté , & les graces qui ...
Página 66
Je suis charmé , mon fils , de m'appercevoir combien vous êtes content du Seigneur de Rosoi , de fa femme & de sa fille : si vous aviez quelques années de plus , vous auriez vû le digne Rosoi à la Cour , aimé & estimé de Louis le jeune ...
Je suis charmé , mon fils , de m'appercevoir combien vous êtes content du Seigneur de Rosoi , de fa femme & de sa fille : si vous aviez quelques années de plus , vous auriez vû le digne Rosoi à la Cour , aimé & estimé de Louis le jeune ...
Página 76
instant , Madame de Rosoi entra's elle parut surprise & offensée de me trouver aux genoux de sa fille ; elle nous regarda d'un æil severe . Alix , dont le désordre avoit encore augmenté à la vûë de fa mere , fut à elle , & en se jettant ...
instant , Madame de Rosoi entra's elle parut surprise & offensée de me trouver aux genoux de sa fille ; elle nous regarda d'un æil severe . Alix , dont le désordre avoit encore augmenté à la vûë de fa mere , fut à elle , & en se jettant ...
Página 77
J'étois dans cette situation , & douloureuse , & pleine de charmes , quand le Seigneur de Rosoi , venant à moi les bras ouverts , me dit : Roger , vous êtes mongendre ; ma fille vous aime . Sa mere vient de me conter ce qui s'est -passé ...
J'étois dans cette situation , & douloureuse , & pleine de charmes , quand le Seigneur de Rosoi , venant à moi les bras ouverts , me dit : Roger , vous êtes mongendre ; ma fille vous aime . Sa mere vient de me conter ce qui s'est -passé ...
Página 80
Madame de Rofoi me reçut avec politesse , mais toujours froidement : cette froideur non méritée , & trop soutenuë , m'inquiéta ; je le dis à mon pere , qui me répondit : La tendreffe d'une mere pour sa fille , cause seule cette ...
Madame de Rofoi me reçut avec politesse , mais toujours froidement : cette froideur non méritée , & trop soutenuë , m'inquiéta ; je le dis à mon pere , qui me répondit : La tendreffe d'une mere pour sa fille , cause seule cette ...
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aime Alix allez amitié arriver aſſez auſſi avez avoit Barres beauté bonheur Bretagne c'eſt cæur Camp caractere charmes cher Raoul Comte de Rethel Couci Cour crainte d'abord d'Alix d'être dame Dammartin déja demander devoir digne dire dis-je diſcours dit-elle doit donner douleur enfin eſt étoit faiſoit fans faveur femme fils force frere garder gloire heur heureux homme j'ai j'avois j'étois jetter jours Lettre m'en Madame de Roſoi Made Mademoi Mademoiſelle de Rocheville Mademoiſelle de Roſoi Mademoiſelle du Mez main malheur Maréchal ment mere moiſelle mort nouvelles ordres parler paſſion peine pere peut-être Philippe plaiſir porte pouvoit preſque Prince pris qu'à quitta regarder rendit rendre répondit reprit rien Robert Rofoi Roger ſa fille ſans Seigneur ſes ſeul ſon ſuis ſur tems tendre tendreſſe touché trouver vais venir vertu veux Vicomte vive vois yeux