Anecdotes de la cour de Philippe-Auguste, Volumen1 |
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Le Duc de Bourgogne se connoisloit bien en vrai mérite : il faisoit cas d'une illustre naissan ce ; elle met , disoit - il , la vertu , dans son plus beau jour ; mais par malheur , ajoutoit - il , une grande élévation ne sert qu'à mieux ...
Le Duc de Bourgogne se connoisloit bien en vrai mérite : il faisoit cas d'une illustre naissan ce ; elle met , disoit - il , la vertu , dans son plus beau jour ; mais par malheur , ajoutoit - il , une grande élévation ne sert qu'à mieux ...
Página 52
Ce choix fait , nous partîmes ; mais Alberic eut le malheur d'être découvert : on le coupa ; il fut chargé par des Troupes li supérieures aux fiennes , que malgré toute sa valeur & fon opiniâtreté , il fut forcé de se retirer , après ...
Ce choix fait , nous partîmes ; mais Alberic eut le malheur d'être découvert : on le coupa ; il fut chargé par des Troupes li supérieures aux fiennes , que malgré toute sa valeur & fon opiniâtreté , il fut forcé de se retirer , après ...
Página 55
Que ma tendresse pour un Oncle si refpectable , & à qui je dois le peu que je vaux , me rend sensible le fouvenir de ce malheur ! Roger , me dit ce Héros , je meurs ; mais j'ai vécu tout le tems que je vous étois nécessaire : votre ...
Que ma tendresse pour un Oncle si refpectable , & à qui je dois le peu que je vaux , me rend sensible le fouvenir de ce malheur ! Roger , me dit ce Héros , je meurs ; mais j'ai vécu tout le tems que je vous étois nécessaire : votre ...
Página 86
Le malheur dont retentit ce Château , en fait un sejour de tristelle & de larmes , qui nous ordonne de suspendre le mariage de ma fille . Afluré de mon > er aort ll2- eftime & de ma reconnoissance , is 86 ANECDOTES DE LA COUR.
Le malheur dont retentit ce Château , en fait un sejour de tristelle & de larmes , qui nous ordonne de suspendre le mariage de ma fille . Afluré de mon > er aort ll2- eftime & de ma reconnoissance , is 86 ANECDOTES DE LA COUR.
Página 88
Quelle injuste crainte me faites - vous appercevoir , Mademoiselle , repartisje douloureusement ! Vous oublier : Non ; vous ne le croiez pas ! yous n'êtes pour ajouter ce malheur à celui qui m'accable : rassurez.
Quelle injuste crainte me faites - vous appercevoir , Mademoiselle , repartisje douloureusement ! Vous oublier : Non ; vous ne le croiez pas ! yous n'êtes pour ajouter ce malheur à celui qui m'accable : rassurez.
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