Oeuvres de Regnard..: Notice sur RegnardDe l'Imprimerie de A. Belin., 1810 |
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... veuve . LISETTE . Une veuve a raison . J'aime mieux , prix pour prix , Deux amants comme il faut , que cinquante maris . Un époux est un vin difficile à revendre , On peut en essayer , mais il n'en faut pas prendre . MERLIN . Si tu ...
... veuve . LISETTE . Une veuve a raison . J'aime mieux , prix pour prix , Deux amants comme il faut , que cinquante maris . Un époux est un vin difficile à revendre , On peut en essayer , mais il n'en faut pas prendre . MERLIN . Si tu ...
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... veuve , sa sœur , ne sont dans ce pays Que pour un temps , et n'ont point de père à Paris . HECTOR . Valère a déserté la maison paternelle ; Mais ce n'est point à lui qu il faut faire querelle Et si monsieur son père avoit voulu sortir ...
... veuve , sa sœur , ne sont dans ce pays Que pour un temps , et n'ont point de père à Paris . HECTOR . Valère a déserté la maison paternelle ; Mais ce n'est point à lui qu il faut faire querelle Et si monsieur son père avoit voulu sortir ...
Página 108
... veuve , La comtesse sa sœur . HECTOR . Ce dessein me plaît fort ; J'aime un amour fondé sur un bon coffre - fort . Si vous vouliez un peu vous aider avec elle , Cette veuve , je crois , ne seroit point cruelle ; Ce seroit une éponge à ...
... veuve , La comtesse sa sœur . HECTOR . Ce dessein me plaît fort ; J'aime un amour fondé sur un bon coffre - fort . Si vous vouliez un peu vous aider avec elle , Cette veuve , je crois , ne seroit point cruelle ; Ce seroit une éponge à ...
Página 127
... donc , parlez donc . Apprenez , je vous prie , Que mortel , quel qu'il soit , ne me dit de ma vie Un mot douteux qui pût effleurer mon honneur . LE MARQUIS . Croiroit - on qu'une veuve auroit tant ACTE II , SCENE IV . 127.
... donc , parlez donc . Apprenez , je vous prie , Que mortel , quel qu'il soit , ne me dit de ma vie Un mot douteux qui pût effleurer mon honneur . LE MARQUIS . Croiroit - on qu'une veuve auroit tant ACTE II , SCENE IV . 127.
Página 128
Jean-François Regnard. LE MARQUIS . Croiroit - on qu'une veuve auroit tant de pudeur ? ANGÉLIQUE . Mais Valère vous aime ; et souvent ... LE MARQUIS . Qu'est - ce à dire , Valère ? un autre ici conjointement soupire ! Ah ! si je le ...
Jean-François Regnard. LE MARQUIS . Croiroit - on qu'une veuve auroit tant de pudeur ? ANGÉLIQUE . Mais Valère vous aime ; et souvent ... LE MARQUIS . Qu'est - ce à dire , Valère ? un autre ici conjointement soupire ! Ah ! si je le ...
Términos y frases comunes
ACTE Adieu affaire AGATHE aime Allons amant amour ANGÉLIQUE argent auroit avez avoit BARON belle billet CARLIN cents CHAMPAGNE chante charmante CHEVALIER chose ciel CLARICE cœur Colin collier comédie COMTESSE connoissance connoît courroux danser diable dire distrait donnée au théâtre DORANTE Dufresni êtes étoit femme fille gages GALONIER Gascon GÉRONTE grace HECTOR homme hymen Isabelle j'ai j'aime j'en jamais joueur l'amour Laissez-moi LAQUAIS LÉANDRE Léonor LISETTE long-temps m'en MADAME ADAM MADAME ARGANTE MADAME GROGNAC MADAME LA RESSOURCE main maître maîtresse maraud mariage MARINE MARQUIS MATHIEU CROCHET MERLIN mieux mille écus MME GROGNAC MME LA RESSOURCE monsieur Grifon monsieur Mathieu musicien NANETTE NÉRINE oncle parbleu parler paroît PASQUIN père plaisir portrait prendre prose Regnard rien s'il vous plaît sais SCAPIN SCÈNE VIII sérénade seroit sœur sort SOTENCOUR tendresse théâtre Italien TOUTABAS trictrac vais VALÈRE valet veuve veux vin de Champagne voilà vois
Pasajes populares
Página 170 - Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, Ou d'avoir perdu trop, ou bien gagné trop peu. Quel charme qu'un époux, qui, flattant sa manie, * Fait vingt mauvais marchés tous les jours de sa vie ; Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, Des singes, des pavés, un chantier, du charbon ; Qu'on voit à chaque instant prêt à faire querelle Aux bijoux de sa femme, ou bien à sa vaisselle Qui va, revient, retourne, et s'use à voyager Chez l'usurier, bien plus qu'à donner à manger...
Página 155 - Le jeu rassemble tout; il unit à la fois Le turbulent marquis, le paisible bourgeois. La femme du banquier , dorée et triomphante , Coupe orgueilleusement la duchesse indigente. Là , sans distinction , on voit aller de pair Le laquais d'un commis avec un duc et pair; Et, quoi qu'un sort jaloux nous ait fait d'injustices, De sa naissance ainsi l'on venge les caprices.
Página 98 - Ne verrai-je jamais les femmes détrompées De ces colifichets, de ces fades poupées, Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, Un nez de tous côtés de tabac barbouillé, Une lèvre qu'on mord pour rendre plus vermeille ' , Un chapeau chiffonné qui tombe sur l'oreille, Une longue steinkerque à replis tortueux, Un...
Página 185 - ... plus rien à perdre, et tes vœux sont comblés ! Pour assouvir encor la fureur qui t'anime , Tu ne peux rien sur moi : cherche une autre victime. HECTOR, à par t.
Página 154 - Ses 1ours sont enchaînés par des plaisirs nouveaux : Comédie , opéra , bonne chère , cadeaux ; II traîne en tous les lieux la joie et l'abondance ; On voit régner sur lui l'air de magnificence , Tabatières , bijoux : sa poche est un trésor ; Sous ses heureuses mains le cuivre devient or.
Página xxiii - Qui plairoit par sa nouveauté. Regnard le fit en vers, et de Rivière en prose : Ainsi, pour dire au vrai la chose, Chacun vola son compagnon. Mais quiconque aujourd'hui voit l'un et l'autre ouvrage, Dit que Regnard a l'avantage D'avoir été le bon larron.
Página 162 - Je suis pourtant fort connu dans la ville; Et, si vous l'ignorez, sachez que je faufile Avec ducs , archiducs , princes , seigneurs , marquis , Et tout ce que la cour offre de plus exquis ; Petits-maîtres de robe à courte et longue queue. J'évente les beautés et leur plais d'une lieue. Je m'érige aux repas en maître architriclin ; Je suis le chansonnier et l'âme du festin. Je suis parfait en tout. Ma valeur est connue ; Je ne me bats jamais qu'aussitôt je ne tue : De cent jolis combats je...
Página 172 - HECTOR. C'est la dernière fois, madame, absolument. On le peut voir encor sur le champ de bataille; II frappe à droite, à gauche, et d'estoc et de taille, II se défend, madame, encor comme un lion.
Página 188 - Il faut que de mes maux enfin je me délivre: J'ai cent moyens tout prêts pour m'empêcher de vivre, La rivière, le feu, le poison et le fer. HECTOR. Si vous vouliez, monsieur, chanter un petit air, Votre maître à chanter est ici: la musique Peut-être calmerait cette humeur frénétique.
Página 187 - Du mépris des richesses. La fortune offre aux yeux des brillants mensongers , Tous les biens d'ici-bas sont faux et passagers ; Leur possession trouble , et leur perte est légère : Le sage gagne assez quand il peut s'en défaire.